Mini-récit

(…) ce vain bruit de paroles               qu’on appelait conversation dans Babylone » Micromegas: « Quant à son esprit, c’est un des plus cultivés que nous ayons: il sait beaucoup de choses. ». Il est décrit comme un savant. - Mise en place du récit Dans les deux contes: «  Il y avait » propre au conte. « Il y avait à Babylone » « Il y avait dans une de ces planètes »    Notion de temps: Zadig: « Du temps du roi Moabdar » Micromégas: allusion à Blaise Pascal XVIIè siecle  Notion de lieu: 

bataille (hommage à son père) Les « 3000 moustaches grises criaient ‘vive l’empereur’ » : c’est l’enthousiasme des soldats dévoués pour leur empereur, leur dieu. 2/ Mise en valeur des hommes a) Héritage épique utilisé par VH « Ces récits » = le récit de VH = épopées orphiques VH se compare à Orphée (=poète des dieux) cela montre l’orgueil de VH. La mythologie va donner au texte, le registre fantastique. b) Mise en valeur de l’armée -organisation précise – rigueur et efficacité

Les essais documentaires, articles d’usuels et de la presse, les genres narratifs dont les récits mythologiques, La poésie, les textes sacrés… Réaliste mais aussi lyrique et pathétique émerveiller, susciter l’admiration rapporter des actions héroïques ; récit à la gloire d’une personne ou d’une idée épique Descriptif, narratif, parfois argumentatif Les genres narratifs et notamment l’épopée et les récits mythologiques, le théâtre, la poésie, les textes sacrés… Le tragique, le lyrique, le pathétique

la nuit, Celle que j’ai préféré est La Parure. Je trouve que Maupassant a un style d’écriture très agréable, cette nouvelle se lit vite et aisément, la construction du récit est très bien faite, cohérente et le schéma narratif est clair, je trouve que c’est important et que cela aide à la compréhension globale du récit. J’ai apprécié la façon dont Mathilde est décrite. Dans l’incipit l’auteur raconte la réalité de Mathilde sans émettre de jugement ce qui m’a laissé dans un premier temps

l-Ouvert la nuit paru en 1922 Les lecteurs jugèrent que ce livre décrivait fidèlement, quoique de façon osée, la crise morale des années folles (1920s) Le genre est caractérisé de "roman poétique" ou "récits précieux". Le phénomène se rapproche de celui du Nouveau Roman. On trouve exprimés les deux grands thèmes de l'auteur: l'exotisme et l'érotisme, annoncés par la première phrase de La nuit catalane: "J'allais voyager avec une dame". Sur six nouvelles, cinq se déroulent dans des villes étrangères

Maitre d’ouvrage, Fabuliste donc un regard critique Axe 1 : L’art du récit / un récit vivant a) Jeu des discours (DI, DD, DIL) Hétérometrie (Hémistiche + Octosyllabe+ Alexandrin) Technique de persuasion. DD entre le lion et le cerf + scène de dialogue b) Schéma narratif très construit Grande place au dialogue Passé Simple  Temps du récit = récit vivant c) Un grand réalisme Temps de narration= temps du récit Pouvoir de la parole Mots humains utilisés par animaux  personnification

Commentaire composé Ce texte est un extrait du recueil Fables écrit par Jean de La Fontaine qui fût écrit au 17ème siècle. Ce texte est donc une fable et son titre est « les deux coqs ». La fable est un récit rédigé en prose ou en vers. Il met souvent en scène des animaux avec pour intention de dispenser un enseignement. Le but de la fable est didactique. Dans la préface de son 1er recueil de fable (1678) La Fontaine précise qu’une fable comporte 2 parties : * Le «corps »  * L « âme »

serait-ce que pour quelques temps au cours de son histoire, et qui ont changé sa Vie en lui transmettant les vraies valeurs humaines ! Il se rappelle et raconte les anecdotes de sa trajectoire de Vie, à travers la méthode basée sur la construction du récit reposant en particulier sur le procédé récurrent du retour en arrière (flashback). Le sens général du roman - dont le maître-mot reste la "Mémoire" - offre une réflexion plus particulière à travers le mélange de réalisme et de romantisme, de conte

serait-ce que pour quelques temps au cours de son histoire, et qui ont changé sa Vie en lui transmettant les vraies valeurs humaines ! Il se rappelle et raconte les anecdotes de sa trajectoire de Vie, à travers la méthode basée sur la construction du récit reposant en particulier sur le procédé récurrent du retour en arrière (flashback). Le sens général du roman - dont le maître-mot reste la "Mémoire" - offre une réflexion plus particulière à travers le mélange de réalisme et de romantisme, de conte

par le rêve, la surexcitation mentale, et se nourrit d'illusions et de terreurs. 1 Les hallucinations dont paraît souffrir le protagoniste du Horla ouvrent la voie du fantastique intérieur, plutôt psychopathologique. La folie devient dans le récit fantastique un thème qui par sa susceptibilité de recevoir plusieurs interprétations possibles peut être considéré comme un procédé particulier nécessité par les conditions spéciales du genre. D'autant plus quand on considère le fantastique,