Minimum wage

ménages ne peuvent avoir accès pleinement aux droits fondamentaux que sont la santé, le logement et l’éducation. Ainsi, 2 millions de ménages en France perçoivent l’un des 4 principaux minima sociaux : revenu minimum d’insertion, allocation de parent isolé, allocation aux adultes handicapés et minimum vieillesse. Même les classes moyennes sont en difficulté à cause d’un revenu « trop élevé » pour espérer toucher des minima conséquents, mais trop faibles pour subvenir à tous leurs besoins. Le phénomène

environ 930€/mois pour des dépenses de logement (charges incluses) de 520€, c’est-à-dire plus de la moitié des revenus. 53% des personnes interrogées lors du Rapport 2008 de la Fondation Abbé Pierre sur le Mal logement sont allocataire du Revenu Minimum d’Insertion (aujourd’hui Revenu de Solidarité Active). Ce sont également des personnes avec des problèmes d’insertion. Les deux-tiers sont en conflit avec leurs propriétaires, et 85% des foyers sont logés dans des studios, ou deux-pièces. Le constat

dans l'assistance et lutter plus efficacement contre la pauvreté : tels sont les objectifs du revenu de solidarité active (RSA). Vingt années nous séparent de l'adoption unanime par le Parlement de la loi du 1er décembre 1988 instaurant le revenu minimum d'insertion (RMI). Celui-ci, qui a consacré le principe d'universalité de l'aide sociale, a permis de répondre à l'apparition d'une pauvreté d'un genre nouveau et s'est rapidement imposé comme l'un des piliers du système de protection sociale français

application le 1er Juin 2009 (loi n°2008-1249 du 1er Décembre 2008 généralisant les revenus de solidarité active et réformant les politiques d'insertion). Le RSA est une nouvelle prestation qui remplace deux minima sociaux éxistants : le Revenu Minimum d'Insertion (RMI) et l'Allocation Parents Isolés (API). Pour bénéficier du Revenu de Solidarité Active, il faut : - être âgé de 25 ans ou avoir moins de 25 ans avec un enfant à charge, - résider en France de manière stable ou, pour les personnes

Le revenu de solidarité active (rSa) entre en vigueur le 1er juin 2009 en France métropolitaine. – Il remplace le revenu minimum d’insertion (RMI), l’allocation de parent isolé (API) et certaines aides forfaitaires temporaires comme la prime de retour à l’emploi. – Il est également versé à des personnes qui travaillent déjà et dont les revenus sont limités. Son montant dépend à la fois de la situation familiale et des revenus du travail. Il peut être soumis à l’obligation d’entreprendre des actions

revenu de solidarité active (RSA) est une prestation destinée à garantir à ses bénéficiaires, qu’ils soient ou non en capacité de travailler, un revenu minimum. Elle a été expérimentée dans 34 départements de France à partir de mai 2007, puis généralisée à l'ensemble du territoire national à compter du 1er juin 2009. Le RSA remplace le revenu minimum d'insertion (RMI), l’allocation de parent isolé (API), et certaines aides forfaitaires temporaires comme la prime de retour à l’emploi. Il a été promu

fond depuis 1990 : 1ère évolution : le phénomène d’exclusion devient un problème au premier plan des politiques publiques dans les années 1990, et supplante même les questions de pauvreté et d’inégalités => la 1ère loi concerne le Revenu minimum d’insertion (Rmi) en 1988 et la grande loi sera celle de 1998. Rançon de ce succès, le mot d’exclusion devient passe-partout, et on finit par ne plus bien savoir ce qu’il signifie vraiment. 2ème évolution : apparition de la notion d’"inclusion

municipalités pour l'alimentation ou le chauffage des « indigents » (les pauvres) a existé dès le XIXe siècle et pendant la première moitié du XXe siècle, elle était en nature pour éviter qu'elle soit utilisée dans les cafés. En 1958 est créé le « minimum vieillesse » , il permet à toute personne de plus de 65 ans d'obtenir un revenu minimal, de 600 euros en 2006, même si ses droits à la retraite sont insuffisants (manque d'années de cotisations en France). A la fin des années 1980, l'assistance se

au contrat en vertu du principe traditionnel « pacta sunt servanda ». Marie-Noëlle Désoeuvre Soirée Thématique ARPESF – Octobre 2010 Selon Nicolas Duvoux, sociologue (extrait d’une conférence) l'adoption de la loi portant création d'un Revenu minimum d'insertion (RMI) a offert sa pleine légitimité à l'utilisation de la notion de contrat comme instrument du travail social en France. La réciprocité instituée par le contrat visait à créer l'égalité par la participation. Il s'agissait donc de reconnaître

aux travailleurs qui n’ont qu’un mi-temps de passer au-dessus du seuil de pauvreté (880€ par mois) afin que la reprise d’un travail pour les chômeurs coïncide bien avec une augmentation du pouvoir d’achat. * Le RSA socle remplace le RMI (Revenu Minimum d’Insertion) et l’API (Allocation Parent Isolé). b. Ses objectifs Le RSA a pour objectifs : de compléter les revenus du travail sous certaine condition notamment de salaire et de la situation familiale pour améliorer le quotidien, d’encourager