Minorités Nationales En Europe 1914

de revanche, obsessionnelle en France après la défaite de 1870, s'est estompée dès les années 1880 ; aucun parti politique, après la crise boulangiste, ne revendique le retour à la mère patrie des provinces perdues ; pour la plupart des Français de 1914, ce n'est plus qu'une vieille histoire[réf. nécessaire]. L'antagonisme se nourrit aussi de la crainte qu’éprouvent les Français devant la poussée démographique de l’Allemagne alors que la France connaît un déclin démographique durable20. Enfin, l’empereur

CONSTRUCTION EUROPEENNE AU XXe SIECLE. Fin XVe siècle : France acteur majeur sur le continent jusqu’au XXe siècle. Les guerres ont contraints la France a plus de modestie mais celle-ci essaie toujours de jouer un rôle particulier voire prédominant en Europe. Quel rôle a joué la France dans la construction européenne ? Nécessité ou ambition ? Quelle vision ont la France et les Français de l’UE aujourd’hui ? • La construction européenne pour la France et les Français : une nécessité, une ambition

l’agression nazie en Pologne ? (Pourquoi la France et le RU se soucient-ils de la Pologne ?) Comme en 1914, cette agression nazie contre la Pologne n’est que le détonateur de problèmes qui divisent les pays européens : Politiques : opposition entre pays totalitaires (Allemagne, Italie) et démocraties (France, Royaume-Uni ou Pologne) Territoriaux : le traité de Versailles a modifié les frontières en Europe et Hitler ne l’accepte plus. Economiques : la crise a entraîné un isolationnisme des pays La

désordre, Les églises dans le conflit des idéologies (1928/1939), Sur la ruine de la guerre totale, une chrétienté inachevée. Judaïsme et Islam sont des acteurs au même titre que le Christianisme, les guerres balkaniques avant 1914 résultent de ces (f)acteurs religieux. En 1914, la situation de chaque Etat vis-à-vis de la religion diffère : En France, la séparation des Eglises et de l’Etat depuis 1905 garantit la laïcité. En Italie, l’unité de 1870 se fait au détriment des Etats pontificaux. Le Pape

plus riches) ; - les migrations par appel à la main-d'oeuvre immigrée sont une variante de ce phénomène volontaire, par aspiration notamment vers des zones vides (front pionniers), ou démographiquement affaiblies (enjeu migratoire fondamental en Europe occidentale ou au Japon) ; - la migration des « cerveaux » est aussi à prendre en compte dans cette logique d'aspiration, même si les flux générés sont quantitativement modestes. Contrairement à certaines idées reçues, les migrations internationales

issus des provinces que d’italiens -menaces par des périls extérieurs -probleme de transmission du pouvoir. L’empereur Theodose va partager l’Enmpire entre ses 2 fils :empire orientale et empire occidental et en 476 : chute de Rome. 2) L’ Europe carolingienne Tout ‘abord Pépin le bref sacré roi . 3 conséquences : -utilise l’autorité du pape -confère à la royauté au roi une origine divine -fait du roi élu de Dieu -voulant témoigner sa reconnaissance au pape, va le protéger Quand les

PLAN DU COURS : Première partie : de la révolution industrielle aux crises du XXème siècle (1770 – 1945) | Chapitre 1 : De la 1ère à la 2ème Révolution Industrielle. Chapitre 2 : la Première Mondialisation. Chapitre 3 : Le temps des crises de 1914 à 1945. Deuxième partie : Des Trente Glorieuses à la 2nd Mondialisation. | Chapitre 4 : Les Trente Glorieuses. Chapitre 5 : La nouvelle conjoncture économique et sociale. Chapitre 6 : La nouvelle mondialisation. | Ouvrages : Le

deuxième de l'histoire de l'Allemagne, Bismarck s'applique à le consolider en luttant contre ses ennemis – catholiques (Kulturkampf), socialistes, minorités ethniques –, en le dotant d'institutions communes et surtout d'une armée puissante. Celle-ci permet à l'Allemagne de jouer en Europe, pendant près de vingt ans (1871-1890), un rôle prépondérant. L'« Europe bismarckienne » est celle dont le nouveau Reich occupe le centre, et dans laquelle la politique des autres puissances s'ordonne par rapport à la

européennes, mues par un certain messianisme. Les 2 plus grandes puissances coloniales sont paradoxalement les 2 seules régimes démocratiques en Europe. En 1870, la IIIème République poursuit l’œuvre de colonisation déjà entamée. L’anticolonialisme est alors largement minoritaire, dans le monde d’ailleurs, jusqu’en 1939 : la bonne conscience coloniale domine en Europe qui prétend apporter une mission civilisatrice au monde. Ce clivage colonialisme/anticolonialisme dépasse complètement le clivage structurant

....................................................................... 4 II. Nations, nationalités et nationalisme ....................................................................................... 4 III. Les historiens et la question nationale ................................................................................ 5 Chapitre 1 : L’Europe en 1815 ................................................................................................................. 6 I. De nouvelles