Miroir secondaire

abîmé. Les objets composant le décor font également « bon marché » et usés, à l'image de la corde en guise de porte-manteaux, du vieux chauffage d'appoint, du miroir sali ou du buste jauni. Ce miroir, justement, est peutêtre le reflet d'une image féminine salie par l'homme. De ce fait, une veste vient recouvrir une partie de ce miroir – une veste que je suppose être masculine. Les seuls éléments pouvant renvoyer à une certaine féminité sont le buste, l'espèce de boa de plumes (ou une fourrure

ans. 2 : Décrire l’autoportrait La technique utilisée est celle de la peinture à l’huile sur carton. Le peintre est positionné de profil, il se représente par un reflet de son visage dans un miroir . On voit au premier plan des objet posés sur un dessus de cheminée, sur lequel repose le miroir dans lequel il se regarde. De son visage, seules apparaissent nettement les lèvres, le nez et une oreille. L’essentiel des traits et du regard restent dans l’ombre. Henri regarde son reflet, il

Impressionné en enlevant le bandeau : on est touché par la lumière, vraiment ! Ébloui ! puis de voir tous ces regards pointés sur nous 3 : vous êtes tous venus pour nous ! Quel formidable don : merci ! Quelle surprise de voir Christian derrière le miroir (je n’ai rien vu, tellement il me le tenait près du visage) et quel réconfort de voir qu’il continuera à jouer un rôle particulier pour moi. Impression d’arriver dans un monde codifié où je ne comprends pas la langue, les us et coutumes. Je me

à une toile, se penchant sur sa gauche pour regarder son reflet dans le miroir posé sur une chaise. Ce miroir est décoré d’un aigle, symbole des Etats Unies. L’artiste tient dans sa main levée un pinceau où il dessine son portrait sur la toile en noir et blanc, qui correspond à son reflet dans le miroir hors sur le dessin sur toile, il a retiré ses lunettes et redressé sa pipe qu’il a au moment de se regarder dans le miroir. Il parait donc plus jeune que le modèle. A droite de la toile sont accrochées

plus grands artistes de l’histoire espagnole. Il peint de nombreuse fois la famille royale espagnole et de grands personnages européens. Il était un peintre faisant parti du siècle d’or espagnol. En 1650, il réalisa « Le pape Léon V », « Vénus au miroir »… En 1620 « Le christ dans la maison Marthe et Marie »… 3. Oui, il y a un titre : « Les ménines » ou « La famille de Philippe IV ». En Espagnol, les ménines se dit « las meninas » qui signifie « les demoiselles d’honneur ». Le titre « La famille

Nouvelle fantastique : Le miroir 15 ans après la mort « accidentelle » de mon père, je suis retournée, accompagnée d’un détective, sur les lieux de l’accident, la maison de mes grands parents, décédés depuis de nombreuses années. Leur maison était immense, chaque année nous nous y retrouvions tous pour passer l’été. Elle était isolée de la ville, entourée de prairies et longeant une rivière, où tous les petits enfants se retrouvaient pour jouer. Leur mort fut subite et la demeure laissée

deuxième plan : les époux Arnolfini. A l’arrière-plan, sur le mur du fond, un miroir concave qui renforce l’impression d’espace en permettant de rendre visible, dans le reflet, la totalité de la pièce ainsi que son entrée. On peut aussi distinguer deux autres personnes, témoins de l'événement, dans l’encadrement de la porte d’entrée, dont Jan Van Eyck (qui d'ailleurs fait un autoportrait dans cette scène grâce au miroir). Visibles avec la fenêtre, le meuble bas et le lit. Elles ne convergent cependant

Date : 1892 Analyse : L'image est composée de deux plans : - le premier plan représente une femme qui est entrain de se regarder dans un miroir - le deuxième plan est le miroir et la coiffeuse qui ressemble à un crâne. L'image représente une femme devant sa coiffeuse, son miroir rond et si on prend un peu de recul on peut voir un crâne composé du miroir, de la coiffeuse et du maquillage pour représenter les dents. Cette image est une vanité car il y a un crâne qui signifie la mort et

vent frais sur sa peau. Elle sèche ses larmes avec ses doigts fins. Ses ongles sont longs et d’une couleur rouge vin, presque de la même couleur que ses cicatrices de poignet. Et de la même couleur que ses lèvres. Puis elle fige son regard sur le miroir, croise le reflet de ses yeux, et se remet à pleurer. Pourquoi? Personne ne le sait vraiment. Pas même elle, je crois. Simplement, elle pleur. C’est comme ça. Elle est misérable sans raison. Simplement parce que dans le fond, la mélancolie lui procure

température de mon corps venait considérablement d'augmenter. Je secoua la tête histoire de me remettre les idées en place, sorti en courant de l'infirmerie et rentra chez moi à toute vitesse. En rentrant, je posa mes clefs et voulu me regarder dans le miroir mais je n'y trouva pas mon reflet. Prise de panique je commença à courir dans la maison où mes parents venaient d'emmenager. Elle est si immence qu'elle ressemble à un château. Je me mis à la recherche de livres de légende que ma mère avait certainement