Mise En Abyme Fin De Partie

JUSTE LA FIN DU MONDE : PROLOGUE EXPOSANTE : SEGOMONA Prude PLAN : INTRODUCTION DÉVELOPPEMENT 1. Mouvement : le tragique début (l.1 à 17) 2. Mouvement : la décision de Louis (l.18 à 27) 3. Mouvement e : les mécanismes de l’illusion Le théâtre français a connu des Grands noms du XVIIe siècle au XXIe siècle dont nous pouvons citer parmi tant d’autres JEAN LUC LAGARCE. Jean Luc LAGARCE, comédien et dramaturge Français né en 1957 le 24 février est un très grand admirateur du théâtre

confrontation entre les deux personnages clés de l’histoire du Congo ? I. Une scène de confrontation politique Sérénité scène =* acceptation de Lumumba de la fin de son rôle politique * met en perspective confrontation des 2 perso qui cherchent à se convaincre 1.1 La voix de la légalité politique : Lumumba -Le parti pris de la démocratie Pour Lumumba : indépendance totale et durable=respect « institutions » l.8 mises en

récit d'aventure –, mais aussi avec l'univers de croyance du destinataire – qui ne saurait inférer « directement » des références et des schémas connus à partir d'une histoire en apparence si éloignée. L'activité de lecture, en tant qu'elle est thématisée et mise en abyme par le texte, prend acte de cet éloignement par la surprise : aussi, à la fin du récit de Télémaque sur l'île de Calypso, les nymphes se regardent l'une l'autre et s'écrient : « A-t-on jamais ouï parler d'aventures si merveilleuses

initial de l’inconnu qui lui tend par ses paroles un miroir où les valeurs s’inversent. Le visage de l’écrivain, que la narratrice regarde passivement, est doué d’une autonomie qui lui confère une dimension fantastique : l’expression « mon visage est parti dans une direction imprévue » (l. 13-14) rend compte de cette dépossession. Ce visage exerce une fascination, mêlant attraction et répulsion : il renvoie à Méduse1 ; l’écrivain évoque d’ailleurs sa famille en pierre. Ainsi, l’aspect monstrueux de ce

pour l’oral du bac. dans l’idéal, il faudrait trouver 10 exemples pour nourrir cette dissertationLe stratagème comme le théâtre sont des arts du spectacle (mise en scène, divertissement…)Un art de la mise en scène : décor, choix des comédiens, déguisements et accessoires . Le stratagème duplique les ingrédients de la mise en scène théâtrale  : le « stratège » se présente lui-même comme un grand ordonnateur ( entre le stratège militaire pour son ton directif et le

narration › Comprendre la mise en abyme › Analyser une description Supports de travail  : chapitres 6, 7 et 9. I. Mettre en regard la vitesse du récit et celle de la narration Le narrateur ne saurait tout raconter. C’est pourquoi il passe rapidement sur certains évènements de peu d’importance, les tait ou, au contraire, développe ceux qui lui apparaissent capitaux. Ainsi, on distingue : - l’ellipse qui passe sous silence une partie de l’histoire. - le sommaire qui résume une partie de l’histoire. - la

que Ponge appelle « fonder (le mot) en réalité » : il décrit par exemple la forme donnée au mot par les lettres qui le composent (ex : « Le Gymnaste ») Ponge, qui a longtemps fréquenté les surréalistes (sans en faire partie), essaie, dans  Le Parti pris des choses , de souligner la part irrationnelle du réel au moyen de calembours, d'allitérations, de permutations de lettres (ex : « cageot – cachot / savon – savoir), d'analogies, d'associations d'idées.

sera condamné pour outrage aux bonnes mœurs à la suite de la publication des Fleurs du mal. Un certain nombre de ces poèmes devront faire face à la censure ils seront publiés clandestinement et surnommés “les épaves”. Dans L’Ennemi, sonnet faisant partie de la section Spleen et idéal des Fleurs du mal, Baudelaire décline le phénomène de temporalité à la fois comme durée mais aussi comme état de l’atmosphère. Nous pouvons ainsi nous demander comment le temps est-il représenté par Baudelaire dans ce

publication, édition et la réception : «car le lectorat français reçoit ces écrivains sans faire aucune différence entre eux et les autres»6… A cet égard, La disparition de la langue française7 d’Assia Djebar n’évite pas de mettre en exergue et en abyme l’incontournable centralité éditoriale parisienne par rapport aux périphéries de l’écriture. Berkane, le héros du récit, n’avait-il pas le propos, sans cesse avorté, d’«écrire un roman»8 ? Or, nous dit le narrateur, «Il avait rangé ses manuscrits refusés

VII‐ Denis Diderot LITTÉRATURE COMPARÉE L1 – L2 – L3 Paris VII‐ Denis Diderot Esplanade des GrandsMoulins 75013 Paris Métro : Quai de la Gare (ligne 6)/ Bibliothèque FrançoisMitterrand (ligne 14) Bus 62 ou 89 DÉBUT DES COURS : 18 JANVIER – FIN DES COURS : 28 MAI 2010 L1 – les cours ontlieu à la Halle aux Farines 54LC1110 – EST‐CE QUE JE DORS OU EST‐CE QUE JE VEILLE? Mercredi 09h ‐ 12h Françoise LAVOCAT Salle 244E L’expression du doute concernantle statut de la perception de la réalité