Mise En Abyme

comique et tragique. I. Les procédés théâtraux du comique 1) Les situations & les personnages * Hamm et clov forme un couple clownesque (Clov = fait penser à Clown, clown et auguste) Maître / valet (comédie) [Don Juan, Figaro, .. ] * Mise en abyme, théâtre dans le théâtre -> Clov s'adresse au public : p.43 "J'ai fait exprès" "une foule en délire" -> avec les objets il veut faire rire,lunette + escabeau = jeu clownesque = comique de gestes * Petits passages qui ressemblent à des

: Claire joue le rôle de leur maîtresse, tandis que Solange est Claire. 
c)Problématique : Comment la mise en scène des deux sœurs met-elle en valeur le rôle de dominé/dominant qui existe entre la patronne et son employé ? Quels sentiments ressortent alors de ce jeu théâtral ? 
d)Plan : Nous verrons tout d’abord de quoi est constituée la relation entre Madame et sa bonne pour terminer sur la mise en évidence d’un contraste à travers le jeu théâtral. I-Une relation de domination humiliante 
a)La domination

se défouler: rire cathartique, défouloir: moqueries. Scapin est donc le manipulateur, le fabulateur ( 1ere tirade), c'est un acteur, un dramaturge. Il fait des rôles successifs et il est aussi un metteur en scène. On a donc dans cette scène une mise en abyme ( théâtre dans le théâtre). On rit avec Scapin sur Géronte. Conclusion: Dans cette scène, il ne s'agit pas de critique sociales mais un intérêt dramaturgique ( il faut plaire, donc ici: fait rire) et la création d'un personnage valet qui

costumes renvoi au carnaval ou aux saturnes de l'Antiquité romaine. Arlequin voit ce travestissement comme un jeu qu'il l'autorise à se montrer insolent. L'inversement des rôles permet de renforcer l'idée de réalité du jeu (théâtre dans le théâtre → mise en abyme) pour donner du vrai à la parodie du discours des maîtres. Critiques des esclaves envers leur maîtres: Arlequin reproche à Iphicrate son mauvais traitement qu'il lui inflige tandis que Cléanthis reproche à Euphrosine le fait qu'elle soit

soutient son maitre alors que dans la scène précédente il le condamnait. Sganarelle apparait comme le premier public de Don Juan, celui qu’il prend plaisir à amuser ou à scandaliser selon les circonstances. Ne peut-on pas parler d’une sorte de mise en abyme ou théâtre dans le théâtre, Don Juan se mettant en quelque sorte en scène ?

étant donné qu’il détient les clefs du buffet. De plus, le fait que l’histoire de Hamm soit raconter à la première personne sème la confusion chez le spectateur, et l’on vient à se demander à la fin si c’est le narrateur ou Hamm qui parle. c – Mise en abyme du théâtre dans le théâtre. L’histoire de Hamm avance en même temps que la pièce, Hamm n’en as « plus pour longtemps » (p. 72 – 73) de cette histoire, elle est censé être presque finie. C’est aussi dans son dernier monologue qu’il la reprend

Cela créé une rupture ds le cadre/. Registre épique qui tourne au burlesque. III/ Les intentions du fabulistes A/ La présence explicite LF définit son projet comme étant un projet de longue haleine. (cf. v.3-4) = litote Présence d'une mise en abyme : LF se sert de son oeuvre pr parler de son oeuvre.Ambition de LF = donner aux fables une autre dimension. utilisation du "je" au vers 5 --> présence du fabuliste. Valeur de la morake = vérité générale, l'opinion du narrateur ne doit pas apparaitre

intonation. Rapidité avec laquelle elle mène le récit : vivacité renforcée par la parataxe ou style coupé. Double destination du théâtre : l'acteur s'adresse non seulement aux personnages sur la scène, mais aussi aux spectateurs. On a donc une vrai mise en abyme : miroir de la pièce à l'intérieur d'un passage précis. III - Fonction satirique du passage. Sa tirade a une portée morale. Cléanthis se désigne comme celle qui est témoin de ce qui se passe. Satire de la beauté artificielle, coquetterie:

jouez, il n’est pas drôle ! Vous venez de dire que nous n’étions pas nous… » Ou encore Kean qui passe du jeu à la réalité ce qui est ressenti comme une menace par le public : « silence de mort ». Ces trois textes utilisent donc la technique de la mise en abyme pour permettre aux spectateurs de s’interroger sur les éléments nécessaire pour être un bon comédien. Le théâtre dans le théâtre entraine également plus d’intrigues et nous entraine à une réflexion sur le métier d’acteur. Commentaire : Jean-Paul

qualificatifs finaux, temps des verbes : imparfait du subjonctif qui traduit l’impossible, condition irréalisé Au théâtre : Cyrano est écouté par les spectateurs de La Clorise dans la pièce et par les spectateurs de Cyrano de Bergerac => principe de la mise en abyme ou du théâtre dans le théâtre (cf. la vache qui rit + schéma) 20 adjectifs qui doivent guider le ton de l’acteur avec nombre important de ! et ? (difficulté) et prouesse de la part de l’auteur puisque toute la tirade tourne autour du « nez »