MITRE

en cadence », « brûlés », « brûlées à petit feu ». b) Champ lexical de la religion ou des rites : « auto-da-fé », « procession », « sermon », « musique en faux-bourdon », « prêché », « absous », « béni ». c) Champ lexical des vêtements rituels : « Mitre », « san benito ». d) Champ lexical de la sorcellerie ou de l’hérésie : « Diable » (2 x), « flammes » (2 x), « griffes », « queue » e) Champ lexical de la peur, de la faiblesse : « Épouvanté », « palpitant », « se soutenant à peine » f) Champ lexical

Les deux textes dressent des personnages un portait très détaillé. Dans La Momie, l'auteur s'attarde exclusivement sur son physique, quand à Thénardier, Hugo s'attarde également sur son aspect moral. Le Pharaon « était coiffé d'un casque allongé en mitre » il possède « des sandales à pointes recourbées, […] [une] figure lisse, imberbe, aux grands traits purs ». Madame Thénardier possède un « large visage , criblés de taches de rousseur, [qui] avait l'aspect d'un écumoir »,Elle « jurait splendidement »

maîtres-menuisiers français réalisent l’autel de la chapelle Saint-Laurent Silbermann restaure et transforme les grandes orgues Joseph Massol construit la sacristie du Grand Chapitre sur des plans de Robert de Cotte un incendie détruit les toitures et la mitre gothique de la croisée du transept la toiture est reconstruite en cuivre Jean-Laurent Goetz réalise les galeries de style gothique côté sud et nord pour mieux organiser les échoppes ; celles-ci resteront jusqu’en 1843. Le parvis est dégagé. destruction

été édité dans le quotidien « Le temps » le 3 Février 2008. _ Nous pouvons reconnaître sur cette image un homme religieux, grâce à la crosse qui est le bâton pastoral des évêques et des abbés, insigne de leur pouvoir. Cela se voit aussi grâce à la mitre qui est la coiffure liturgique (ici avec une croix de couleur or dessus), distinctive des hauts prélats de l'Église catholique (donc des abbés et évêques) ayant charge pastorale. Le costume de ce prélat est de couleur rouge, orné d’or. Sur la gauche

maisons pour apporter aux enfants sages des friandises (fruits secs, pommes, gâteaux, bonbons, chocolats, pain d'épice...). "Dès le Moyen Âge, saint Nicolas est représenté avec une grande barbe, une crosse d'évêque, une cape de couleur rouge et une mitre (le couvre-chef de l'évêque)" 2. Au 19e siècle, écrivains et dessinateurs américains transforment saint Nicolas en vieux lutin vêtu de rouge Au XIXe siècle, le personnage de saint Nicolas s'exporte aux États-Unis via, notamment, les colons hollandais

qui nous est donnée.(le burlesque est un genre littéraire utilisant des termes comiques voir même grossier) et donc ? moquerie de Voltaire ? exemples : Protagonistes habillés avec des déguisements, "revétu d'un san-benito et on orna leurs tetes de mitre de papier" l11-12 ils sont donc habillés comme des religieux alors qu'ils sont condamnés à mort; Arrivée théatrale : "ils marchèrent en procession ainsi vétu".l15 ils sont montrés à toute la population comme coupables. ==> paradoxe :

esthétique de la cérémonie, Voltaire utilise le procédé de décalage ironique, à attiré l'attention du lecteur. Valoriser l'aspect esthétique de la cérémonie; 1.Bel auto da fé = c'est un grand spectacle. Belle musique Il y a le vocabulaire culinaire 2.Mitre = condamnation à mort. 3.« procession », sermon et musique qui sont appréciées par les victimes = en même temps qu'ils écoutent la musique il y a le chatiment (fessé, pendu, brulé, horreur). 4.Les appartements est une périphrase qui désigne en réalité

poème américain de Clement Clarke Moore. Cette fable permit d'uniformiser les différentes traditions en coexistence. Ce conte décrit un vieil homme à la barbe blanche, à l'allure joviale et débonnaire, conduit par un traîneau tiré par huit rennes. La mitre de Saint-Nicolas est remplacée par un bonnet et la crosse par un sucre d'orge. En 1866, l'écrivain américain George P. Webster décrit les longs mois de l'été polaire, l'atelier et la maison du Père Noël enfouie sous les neiges du Pôle Nord. La représentation

Chélan, en tant que doyen, est dépêché pour le chercher ; Julien l'accompagne. Errant dans l'antique abbaye, Julien parvient dans une salle où le jeune évêque, placé devant un miroir, s'exerce aux bénédictions. Julien se propose d'aller chercher sa mitre, qui a souffert du transport. Fasciné par les manières charmantes de l'évêque, Julien l'accompagne lors de la cérémonie, qu'il trouve magnifique. Son ambition ecclésiastique s'en trouve ravivée. Pour la première fois, Julien aperçoit fugitivement

en une seule phrase : « le même jour la terre trembla avec un fracas épouvantable ». Cette chute met en valeur l’inefficacité de la cérémonie (l’autodafé). 2. - Des pauses descriptives à l’imparfait: Description des costumes : « le mitre et le san-benito de Candide étaient peints de flammes renversées et de diables qui n’avaient ni queues ni griffes…. » Description de la prison «… on n’était jamais incommodé du soleil » L’accélération du rythme par moments : « huit jours après »