Mitterrand Avril 1964

ouverte. Le M-26 urbain devient également de plus en plus actif, allant jusqu'à commettre des actes terroristes. Castro se montre favorable à un accord entre la plaine (les urbains) et les militants de la sierra et une grève générale est prévue le 9 avril 1958. Ce sera un échec tragique et sanglant dû à une très mauvaise organisation. Cependant, cet échec permettra à Fidel Castro de prendre la tête des deux groupes du M-26 et d'en augmenter la cohésion[12]. Batista, pour en finir une fois pour toute

qu’elle traînait depuis des années, le problème colonial ou plutôt la décolonisation qu’elle ne parvenait pas à effectuer sans vague. Le problème algérien, tout particulièrement, a précipité la fin de plusieurs gouvernements. Notamment, le 15 avril 1958, le Gouvernement de Félix Gaillard qui venait de démontrer son impuissance à se faire obéir de l’armée, sa faiblesse aussi dans le différent franco-tunisien, est renversé. La crise dure des semaines. Après plusieurs tours de piste infructueuses

Vème république. Les hommes au pouvoir ont marqué la Vème. Cette constitution a bien entendue connu des évolutions, des modifications notamment dans l’union européenne. Ou une modification de la forme d’Etat (Etat unitaire décentralisé / 1982 par Mitterrand.) et la volonté de rétablir un certain équilibre dans les institutions de la Vème et notamment une volonté en 2008 de renforcer le rôle du parlement dans le fonctionnement des institutions. Le parlement français dans cette pratique des institutions

semblait pouvoir être trouvée. Le 15 avril 1958, l’Assemblée nationale renverse par 321 contre 255, le gouvernement de Félix GAILLARD. Commence alors, une crise ministérielle qui allait se prolonger pendant plusieurs semaines. Le Président de la République, René COTY, demande d’abord le 20 avril à Georges BIDAUT, partisan d’une politique de fermeté en Algérie de constituer un gouvernement. Georges BIDAUT échoue. René PLEVEN, est alors pressenti le 26 avril, mais devant l’hostilité des socialistes

semblait pouvoir être trouvée. Le 15 avril 1958, l’Assemblée nationale renverse par 321 contre 255, le gouvernement de Félix GAILLARD. Commence alors, une crise ministérielle qui allait se prolonger pendant plusieurs semaines. Le Président de la République, René COTY, demande d’abord le 20 avril à Georges BIDAUT, partisan d’une politique de fermeté en Algérie de constituer un gouvernement. Georges BIDAUT échoue. René PLEVEN, est alors pressenti le 26 avril, mais devant l’hostilité des socialistes

semblait pouvoir être trouvée. Le 15 avril 1958, l’Assemblée nationale renverse par 321 contre 255, le gouvernement de Félix GAILLARD. Commence alors, une crise ministérielle qui allait se prolonger pendant plusieurs semaines. Le Président de la République, René COTY, demande d’abord le 20 avril à Georges BIDAUT, partisan d’une politique de fermeté en Algérie de constituer un gouvernement. Georges BIDAUT échoue. René PLEVEN, est alors pressenti le 26 avril, mais devant l’hostilité des socialistes

centralisées, mais aussi des autorités territoriales décentralisées. Cette distinction renvoie à une problématique constante et majeure de toute l'histoire des institutions de la Ve République. → cf Paris et le désert français, J.-F. Gravier. Mitterrand 15 juillet 1981 devant le conseil des ministres : « La France a eu besoin d'un pouvoir fort et centralisé pour se faire, elle a aujourd'hui besoin d'un pouvoir décentralisé pour ne pas se défaire ». L'identité constitutionnelle de la France est

règlement », « la procédure législative », « le contrôle parlementaire », « le Président de la république », « les révisions de la constitution de 1958 »… La Documentation Française : Les notices. Notamment « Institutions et vie politique ». Lexiques P. AVRIL et J. GICQUEL, Lexique de droit constitutionnel, PUF. G. CORNU, Vocabulaire juridique, PUF. O. DUHAMEL et Y. MENY, Dictionnaire constitutionnel, PUF. Sites http://www.legifrance.gouv.fr http://www.ladocumentationfrancaise.fr http://www. conseil-constitutionnel

remplaçant la représentation proportionnelle, devrait, enfin, instaurer cette alternance au pouvoir tant souhaitée par tous les réformistes. 1. Du fascisme à la démocratie (1945-1947) Les apparences et la réalité     L'Italie libérée le 25 avril 1945 de l'occupation allemande et du régime fasciste semblait présenter tous les caractères prérévolutionnaires : une situation économique et sociale désastreuse (chômage, pénurie, inflation galopante), une aspiration à de profonds changements après

la République ou à sa politique, puisqu’il faudrait considérer que le Peuple a désavoué le Président et qu’il doit donc démissionner. C’est en tout cas ce qu’aurait fait le Général de Gaulle, selon ses dires, et ce que n’a pas fait le Président Mitterrand ni en 1988, ni même en 1993, lorsque la majorité des électeurs s’est prononcée contre la politique qu’il avait proposé et mise en œuvre. Enfin, la responsabilité politique du Président de la République peut être engagée devant ceux-là même qui