Mlle De Chartre

Demoiselle d’honneur de la Reine de France, ouvre un salon littéraire (connaît La Rochefoucault et la cour de Versailles) Elle transpose le monde de la cour de Louis XIV au XVIème (Henri II) Roman historique et sentimental Intrigue épurée : Mlle de Chartres -> rencontre dans un bal M. de Nemours (=libertin) Sa mère la fait se marier au Pince de Clèves, qui aime la princesse sans réciprocité Elle avoue son amour pour Nemours au Prince -> il meurt de jalousie -> jeune veuve Extrait : dialogue

1-Qu’il apparaisse proche ou lointain de nous, le personnage de roman a toujours à voir avec qqch d’universel Ainsi Robbe-Grillet dans Pour un roman prétend-il que le roman est un moyen d’accéder à une « vérité humaine profonde » Même si Mlle de Chartres appartient à une autre époque, elle reste animée par des sentiments profondément humains : la jalousie mais aussi l’amour passionné et immédiat pour le Duc de Nemours : ravissement lors de la scène de bal, coup de foudre immédiat, rêverie

et 2 de l’introduction [présentation de l’auteur dans son contexte] Marie Madeleine Pioche de La Vergne, fille d’un médecin du roi et issue de la petite noblesse est influencée par son père, épris de littérature. Il fréquentait Mlle de Scudéry (figure littéraire) ou encore le salon de Rambouillet (préciosité), il a ainsi communiqué à sa fille le goût pour la littérature. Puis, élève de Gille Ménage (écrivain érudit), elle développe son goût pour la lecture et l’écriture. Amie

caractère ; sa femme, à peu près de son âge, c'est à dire quarante-cinq à quarante ans, avait un peu plus de finesse dans l'esprit, mais à tout prendre, il y avait entre ces deux époux plus de candeur et de bonne foi, que d'astuce et de méfiance. Mlle de Faxelange venait d'atteindre sa seizième année ; elle avait une de ces espèces de figures romantiques, dont chaque trait peint une vertu ; une peau très blanche, de beaux yeux bleus, la bouche un peu grande, mais bien ornée, une taille souple et

épaisseurs d’art » que la grand-mère place entre l’enfant et ce qui est à connaître, ou à aimer : « au lieu de photographies de la cathédrale de Chartres, des Grandes Eaux de Saint-Cloud, du Vésuve, elle se renseignait auprès de Swann si quelque grand peintre ne les avait pas représentés et préférait me donner des photographies de la cathédrale de Chartres par Corot, des Grandes Eaux de Saint-Cloud par Hubert Robert, du Vésuve par Turner, ce qui faisait un degré d’art de plus15 » ; l’apprentissage

d’identité   M. Jacques, Pierre BRISSOT  | |    Né le 14/01/1754 à CHARTRES (EURE-ET-LOIR - FRANCE) |    Décédé le 31/10/1793 à PARIS (PARIS) | b)    Ses mandats Du 13/09/1791 au 20/09/1792 : Seine - Gauche |   |   Du 05/09/1792 au 31/10/1793 : Eure-et-Loir - Girondins | | 2) sa biographie a) sa jeunesse jusqu'à 19 ans (1773) Député à l'Assemblée législative de 1791, et membre de la Convention, né à Chartres (Eure-et-Loir), le 14 janvier 1754, exécuté à Paris, le 31 octobre 1793

désillusion face au réel le pose en martyr de la société et son suicide dans la dernière scène de la pièce scelle sa rupture avec le monde. Flaubert, malgré son rejet total du romantisme, se trouve dans cette posture de supériorité. Dans une lettre à Mlle Leroyer, il dit à ce propos que « quant à l’intelligence des masses, voilà ce que je nie, quoi qu’il puisse advenir, parce qu’elles seront toujours des masses ». Ce sentiment s’accompagne d’un rejet de l’ordre de la société, Flaubert qualifiant les

courus deParis, et ses conseils font autorité; il ne manquera pas de lui en prodiguer « J’ai constamment suivi ses avis ; car je n’ai jamais eu de maître proprement dit » écrira-t-elle, quoi qu’il en soit, il consacrera de son temps à la formation de Mlle Vigée. Et comme Joseph Vernet ainsi que Jean-Baptiste Greuze, qui s’intéresse aussi à elle, le lui ont conseillé, elle va admirer les chefs-d’œuvre du Luxembourg ; de plus la renommée de ces peintres lui ouvre toutes les portes des collections d'art

réalité cruelle d’une vérité insoutenable, à laquelle on préfère ne pas faire face. Dans La princesse de Clèves , madame de Lafayette raconte la vie tragique du prince de Clèves, qui meurt de chagrin après la révélation de Mlle de Chartres. Ce personnage ne parvient pas à surmonter la vérité, qui mènera à sa mort. Ainsi, la vérité a tué le bonheur d’un homme honnête et d’un honnête homme. Ainsi il faudrait préférer ce bonheur de rêve et d’imagination à la vérité, qui peut s’avérer

page 168 Objectifs – Étudier l’écriture de la maxime. – Étudier le classicisme et son analyse de la condition humaine. Repères Les Réflexions ou Sentences et maximes morales sont nées pour une grande part dans ces salons à la mode, ceux de Mlle de Scudéry, de Mme de Montpensier, de Mme de Sablé surtout dont La Rochefoucauld était l’hôte assidu et où l’on jouait aux maximes et aux portraits. Ces jeux qu’on dit mondains ont leur gravité : ne s’agit-il pas de se comprendre, de trouver de nouveaux