Mobutu

Michel Kitoko – Congo RDC Michel Kitoko est né en 1967 au Kasaï oriental. Guidé par ses mythes familiaux entre une lignée de chefferie et celle de Patrice Lumumba, il grandit portant en lui la révolte contre l’autoritarisme et la dictature de Mobutu. Contraint à fuir son pays, il s’installe à Amiens avec sa famille, ville où il continue son combat pour l’égalité des droits. pour commander le récit pdf de Michel :http://www.lettresetmemoires.net/michel-kitoko-ne-au-congo-rdc-en-1967.htm

 

suite des massacres du Rwanda et de l’institution d’un nouveau gouvernement dans ce pays, quelques 12 millions de refugiés Hutu rwandais se refugient à l’Est du Zaïre habité par les Tutsis. En 1996 une rébellion au Zaire oppose le gouvernement de Mobutu à l’Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Zaïre/Congo (ADFC) dirigé par Laurent Désiré Kabila. Les nations unies envoyèrent une équipe d’enquêteurs pour étudier l’information faisant état de violations massives des droits de l’homme

aux élections législatives. En 1994, le Rwanda est déchiré par des guerres tribales où les Hutus procèdent à un véritable génocide des Tutsis qui se réfugient au Zaïre, où très vite une véritable guerre civile oppose les partisans du vieux dictateur Mobutu à ceux de Kabila qui s’empare du pouvoir en 1997, remplaçant une dictature par une autre. L’avenir de cette région stratégique à plus d’un titre est très incertain. Le conflit israélo-arabe...encore et toujours Enfin le conflit israélo-arabe

déclaration. DROITS DE L’HOMME ET ELECTIONS EN R.D. CONGO Document N° III 10 JANVIER 2006. REFERENDUM CONSTITUTIONNEL DU 18 ET 19 DECEMBRE 2005 EN R.D.CONGO : UN SCRUTIN BIAISE I. INTRODUCTION Dès le 24 avril 1990 (date du discours du feu Président Mobutu sur la démocratisation de la vie politique au Congo-Kinshasa), en passant par les négociations politiques inter-congolaises, les organisations de la société civile ont toujours exigé l’organisation d’élections libres, transparentes et démocratiques

comme sa « chasse gardée ». Les nombreuses interventions militaires en Afrique sont souvent critiquées. Par exemple, les opérations militaires au Zaïre et en Centrafrique (1979) ont été vues comme des soutiens à des régimes autoritaires (celui de Mobutu et de Bokassa) préservant les intérêts français. L’opération militaire au Gabon en 1990 qui était censée protéger les Français vivant dans ces pays a été vue comme une volonté de préserver les intérêts des sociétés pétrolières françaises dans ce pays

d’inspiration marxiste décide alors de faire appel à l’URSS. Il s’ensuit une période de massacres ethnique pendant que d’autres régions font sécession. Dans un contexte de guerre froide, la CIA organise l’assassinat de Lumumba. Finalement, le colonel Mobutu s’empare du pouvoir en 1965 et installe une dictature militaire qui durera plus de 30 ans. La décolonisation, processus visant à l’émancipation des colonies par rapport à leurs métropoles s’est mis en place sur le continent africain à la

juin 1960. Mais le gouvernement belge n’a pas tenu compte des rivalités ethniques et laisse le pays livré à lui-même. La sécession du Katanga, riche province minière soutenue par les colons belges, aboutit, dès 1961, à la guerre civile. Le général Mobutu s’empare du pouvoir par un coup d’Etat en 1965 et instaure une dictature. La plupart des jeunes Etats justifient l’existence d’un parti unique en mettant en avant la recherche d’un consensus pour construire plus facilement et plus rapidement

sans que cela puisse servir au pays. Devant cette situation, le feu président MARESHALL MOBUTU fut fâché, il décida la suspension pure et simple de ces Sociétés étrangères dont Charles Le Jeune, IMMOGONGO, IMMOAF, TIRICO, BOELS BEGAULS ( tous sont des courtiers) et il décida la création de la SONAS le 23 novembre 1966 avec comme ordonnance

élections législatives. • En 1994, le Rwanda est déchiré par des guerres tribales où les Hutus procèdent à un véritable génocide des Tutsis qui se réfugient au Zaïre, où très vite une véritable guerre civile oppose les partisans du vieux dictateur Mobutu à ceux de Kabila qui s’empare du pouvoir en 1997, remplaçant une dictature par une autre. L’avenir de cette région stratégique à plus d’un titre est très incertain. c - Le conflit israélo-arabe...encore et toujours Enfin le conflit israélo-arabe

resté grand-chose, sinon l’introduction de la langue française dans le pays en même temps que les colons belges et un modèle d’administration brutale (mais pas plus qu'ailleurs!) dont s’inspireront plus tard les dirigeants noirs du Congo (p. ex., Mobutu et Kabila). Les Belges de l’État libre du Congo n'ont jamais favorisé l'apprentissage du français par les «indigènes», qui restèrent à l’écart de l’Administration. Tous les manuels d’histoire coloniale présentèrent par la suite Léopold II comme un