Modeste Proposition

à un portrait en clair-obscur : dans la partie claire la servante et dans l'ombre la figure de la mère. Une mère désignée par le pronom personnel « vous » qui souligne dès le premier vers la distance qui existe entre la mère et son fils. Et la proposition subordonnée relative qui suit « dont vous étiez jalouse » marque la rivalité qu'entretient la mère avec la servante. La mère de Baudelaire apparaît comme une mère non seulement absente mais surtout incapable de reconnaissance et de générosité envers

fatalité : -dès le début, on va se centrer sur les deux personnnages : « qqun qui entrait »l.4, ce qqun est repris ensuite par « il reprit qqun ».Le narrateur répète ce « qqun » pour le hasard. -insiste sur le fait que la rencontre est inévitable : proposition subordonnée de conseq. (l.7-8) »Si bien qu'il ... », (l.11-12) « tellement que ... »(l.36) « si remplie que ... » -> rapport cause à effetque l'on ne peut éviter. -Le narrateur montre que les personnages ne sont pas vraiment maîtres de leurs émootions

passait tous les jours à huit heures. (indique un événement qui se répète) imparfait pittoresque ou historique : En 1815, Napoléon partait pour Sainte-Hélène. imparfait de concordance (valeur syntaxique) : après un verbe au passé, le présent d'une proposition subordonnée est transposé mécaniquement par un imparfait : Pierre déclara : « Je désire voir Rome ». —> Pierre déclara qu'il désirait voir Rome. Au discours indirect libre : Pierre prit la parole. Il désirait voir Rome. imparfait explicatif

série de phrases pour faire un texte, car la composition du texte obéit à certaines exigences de cohérence interne, d'équilibre, d'organisation des énoncés—variables selon le genre. La phrase, dans sa forme la plus élémentaire, correspond à une proposition (ou «phrase simple») constituée par l'association d'un sujet (ce dont on parle) et d'un prédicat (ce qu'on dit sur le sujet) qui inclut généralement un verbe et ses compléments. P H R A S E«Le président a prononcé un discours devant l'assemblée»

-dès le début, on va se centrer sur les deux personnages : « qelqun qui entrait »l.4, ce qelqun est repris ensuite par « il reprit qelqun ».Le narrateur répète ce « qelqun » pour le hasard. -insiste sur le fait que la rencontre est inévitable : proposition subordonnée de conseqence. (l.7-8) »Si bien qu'il ... », (l.11-12) « tellement que ... » (l.36) « si remplie que ... » -> rapport cause à effet que l'on ne peut éviter. -Le narrateur montre que les personnages ne sont pas vraiment maîtres de

participe présent. Le participe passé peut être employé à la place d’une proposition relative, d’une subordonnée circonstancielle, ou d’un adjectif. Exemples : Le feu, attisé (=qui était attisé) par le vent, gagna la maison. Le repas terminé (=quand le repas fut terminé), les invités partirent. Un élève motivé (studieux). Le participe présent peut prendre la place d’une proposition relative, ou d’une proposition subordonnée circonstancielle. Exemples : Les élèves travaillant sérieusement

l’anaphore en « tous » (v 32, 36,37) confirme cette idée. * L’adverbe « autant » suivi de l’antithèse entre « sage » et « fou » montre que cette morale peut être généralisée même aux personnes opposées. * « il n’est rien de plus doux » : proposition indépendante désignant le fait que ces rêveries sont agréables pour tous. 2- La toute-puissance de l’imagination * 2 exemples de rêveries sont énoncés (v.34-v43) * Même rythme dans ce genre de rêve : début de songe, montée, chute.

souffrir 1 000 peines. III / La religion de l’amour D.G. veut plaider le droit d'amour, pour établir cette légitimité, il engage toute son expérience et « je » pèse sur tout le texte. Son implication personnelle est mise en évidence dans une proposition indépendante qui concentre tout son engagement « J'aime Manon ». C'est un amour revendiqué et affirmé, c'est un engagement absolu qui n'est pas relativisé par un adverbe (ex : « J'aime bien Manon ») Aucune précision circonstancielle et c'est une

déterminants (les articles) les déterminants l'adjectif qualificatif les fonctions de l'adjectif qualificatif complément d'objet direct et indirect attribut du sujet les compléments circonstanciels (suite) l'adverbe le complément du nom la nature des mots Proposition subordonnée relative Voix passive A quoi sert la grammaire ? La grammaire nous apprend que l’ordre des mots est très important dans une phrase.  Si on place les mots n’importe comment, la phrase ne veut plus rien dire. Exemple : Salle

pleurer." Mais le sens de la vue est également bien représenté: ""pour voir, vit" 3) Le mot quelque chose appartient à la classe des pronoms. Plus précisément, il s'agit d'un pronom indéfini. 4) a) Parmi les expansions du mot voix, il y a une proposition subordonnée relative: "qui appelait", deux compléments du nom (ou complément de détermination) : "d'enfant", "de bébé nouveau-né" b) Cela informe sur la nature du contenu du carton: il s'agit d'un être vivant. De plus, cet être vivant est un nourrisson