Modérer Ses Désirs

rencontrer le client et ils parlent, récitant s’il le faut une version mémorisée d’un argumentaire. Or, ce qui attire l’attention du client est : · Ce qui est important pour lui ; · Ses besoins ; · Ses problèmes ; · Ses intérêts ; · Ses désirs ; · Ses objectifs ; · Ses rêves…. Très souvent, les individus ne retiennent que très peu les idées de leurs interlocuteurs. Ceci entraîne des incompréhensions qui se traduisent par de nombreuses erreurs de communication (blocage, frustration…)

mener au bien. Prenons pour pour exemple trop manger et ainsi ne pas porter d'importance à son corps à sa santé mais laisser place au plaisir de manger. Ainsi, Socrate veut illustrer qu'il faut d'abord réfléchir à la nature de ces plaisir et à les modéré de façon excessive. Donc, il cherche à expliquer à l'aide d'exemple que pour une acquérir à une vie meilleur il faut freiner les excès de plaisir et pour ce faire il faut néanmoins différencier le plaisir du bien.Le plaisir n'est pas aussi noble que

être choisi par la pensée. L’art de vivre implique le calcul des plaisirs. Le but que nous devrions tenter d’atteindre est la conquête de la tempérance heureuse. Ce qui définit la tempérance, c’est le pouvoir de modérer, la capacité de modérer nos désirs. L’affolement, le dérèglement des désirs ne donne pas le bonheur. En toutes choses, il nous faut trouver un juste milieu. Ni trop de nourriture, de plaisir esthétique, de plaisirs amoureux etc. ni pas assez. L’excès dégoûte et la privation laisse insatisfait

· CONFORMITE  : En lien avec la modération des actions et des impulsions susceptibles de déstabiliser ou de blesser les autres. Les valeurs de conformité proviennent de la nécessité pour les individus d’inhiber les désirs qui pourraient contrarier. Attributs associés : obéissant, auto-discipliné, politesse, honorant ses parents et les anciens , loyal, responsable . · HEDONISME

un nouveau charme à sa beauté ; et suspendue au cou de son père qu'elle enlaçait de ses bras caressants : «Cher auteur de mes jours, disait-elle, permettez-moi de garder toujours ma virginité ; Jupiter accorda cette grâce à Diane». Pénée cède aux désirs de sa fille. Inutile victoire ! tes grâces, ô Daphné, s'opposent à tes desseins, et ta beauté résiste à tes vœux. Cependant Phébus aime ; il a vu Daphné et veut s'unir à elle : il espère ce qu'il désire ; espérance vaine ! car son oracle le trompe

voudrait-il alors dire mettre sa personne de coté, surpassé son moi pour aller vers quelque chose de plus absolu ? Pour être bon, il faut se couper de ses désirs ,les censurer. Tels est l’idée proposée par Kant dans son ouvrage « critique de la raison pure ». Ainsi un choix qui impliquerait une décision raisonnée, ne doit pas se fier aux désirs personnels, car la bonté suggérait quelque part de faire preuve d’une sorte d’altruisme. La subjectivité est donc rayée de la notion de l’action morale, laissant

qu’ils accepteraient de leur plein gré, ni actuellement ni dans un avenir prévisible. J’exprime cette opinion d’une manière extrême, non que je souhaite affliger les éléments modérés du gouvernement sioniste, car cela ne devrait leur causer aucune peine, fût-elle légère. Mis à part les aveugles de naissance, tous les sionistes modérés ont compris qu’il n’y a pas le moindre espoir d’obtenir l’accord des Arabes de Palestine pour transformer cette « Palestine » en un État juif ou les Juifs seraient en majorité

d'autres être animés. En plus, il ne connaît pas de situation de pénurie alimentaire. La lutte pour satisfaire ses besoins n'est donc pas nédessaire. En outre, il ne connaît pas la sensation des besoins superflus (richesses, biens fonciers), ni de désirs factices (honneur, orgueil, puissance). Par la suite, l'homme ne cherche pas le combat du fait d'"infirmités naturelles" dont l'homme ne peut se défendre : enfance, vieillesse, maladies... "Si la nature nous a destiné s à être sains, j'ose presque

les anaphores de l'humanité. Glissement sémantique qui passe du bonheur au désir anaphorisé deux fois. L'auteur met en valeur le fait que le désir et inséparable de la peine car le corolaire de désir est la privation en conséquence de quoi plus on modère son désir moins la privation sera forte et donc moins le déplaisir sera fort. Cette idée a bien des points de ressemblances avec le stoïcisme a ceci près qu'il inverse le postulat c'est a dire que les stoïques ont réfléchi sur la limitation du malheur

pas de nous. Epictète recommande de ne s’occuper que des premières. Quant aux secondes, étant hors de notre portée, il suffit de les accepter.Analyse et Commentaire du Manuel :· Les choses dépendantes de nous sont : nos jugements, nos tendances, nos désirs, nos passions.· Les choses indépendantes de nous sont : notre corps, notre réputation, notre pouvoir.Le Manuel se présente comme guide pratique de la libération vis-à-vis de la contrainte extérieure. L’objectif est de changer son regard sur le monde