Modérer Ses Désirs

N'ayez pas peur de ce qui sépare vos rêves de la réalité. Si vous n'arrivez pas à rêver à vos désirs, vous ne pourrez pas les vivre non plus. À mesure que vous glissez sur la rivière de la vie, vous vous rendez compte que si vous ne pagayez pas, votre canot n'avance pas. Il n'est jamais trop tard pour être celui que vous auriez dû être. Il est préférable de poser certaines questions plutôt que de connaître toutes les réponses. Gardez, au fond de votre coeur, un endroit secret où vos

pas des érudits, mais des hommes ouverts, justes, exercés à l’esprit critique. Dans les deux derniers chapitres des Essais, Montaigne révèle, en guise de conclusion, sa conception du bonheur du sage : pour être heureux il faut s’accepter, modérer ses désirs et se méfier des préjugés et des fausses valeurs L’éducation : Montaigne et Rabelais font tous deux partie des principaux réformateurs de l'éducation dans la France de la Renaissance. Éduquer signifie former le jugement, pas accumuler

lui-même ; sans peine et sans trouble, celui-ci connaît alors l’ataraxie, forme accomplie du bonheur. Mais si le plaisir est le souverain bien, l’excès de plaisir se transforme en douleur. Le sage épicurien est donc celui qui parvient à la maîtrise de ses désirs pour faire en sorte que son plaisir soit toujours exempt de trouble. Il recherche les plaisirs naturels et nécessaires : manger, boire, dormir. Celui qui s’engage sur le chemin de la sagesse peut user modérément des plaisirs naturels, mais non nécessaires

ainsi que le travail « consume une extraordinaire quantité de force et la soustrait à la réflexion, à la méditation, à la rêverie, aux soucis, à l'amour et a la haine », et qu'il « s'entend à entraver puissamment le développement de la raison, des désirs, du goût de l'indépendance ». Autrement dit, le travail prive l'homme de raison, de sentiment et de désir. Or, il est évident que ce sont précisément la particularité de nos idées, de nos convictions, de nos sentiments, de nos attraits et de nos craintes

de Platon, qui a pour thème le désir, les passions. Calliclès, sophiste imaginaire, affirme qu'il faut avoir le maximum de passions et les satisfaire. Est-il légitime de penser que le bonheur et la liberté résident dans la réalisation des désirs? Celui qui se met au service de sa passion est-il libre ou esclave? L'enjeu philosophique est alors de savoir si la vertu est maîtrise de soi ou intempérance. Calliclès professe l'immoralisme et nous invite à ne pas brider nos passions si nous

les deux premières possibilités liées au sujet puisque « la cause [de l’insatiabilité du désir] n’en est pas toujours qu’on espère un plaisir plus intense que celui que l’on a déjà réussi à atteindre, ou qu’on ne peut pas se contenter d’un pouvoir modéré. » Il ne s’agit donc pas de chercher la raison de l’insatiabilité du désir dans la nature du désir, c’est-à-dire dans la subjectivité ; il faut au contraire la chercher dans cela même que nous désirons, donc dans l’objet. C’est pourquoi Hobbes peut

publie ses travaux en 1920 dont la théorie est que : Théorie : il existe chez chaque individu une tendance fondamentale à modérer ses opinions et sa conduite par égard pour les opinions et la conduite des autres. Chaque individu essayerait d’être modéré, de faire des concessions, c’est par ce fait que la société peut exister. Comment se fait-il que plutôt que de suivre nos désirs individuels perso on poursuit les intérêts communs à ce moment la alors c’est nous qui faisons la société. Espèce de

donner de sens, elle lui est donc inconnue, il est étranger à lui-même. La conscience est illusoire. D'après Spinoza, les hommes détestent voir leurs désirs contrariés car ils estiment que c’est la réalisation de ce qui constitue le propre de l’homme qui leur permet d’être heureux. Ils pensent être maîtres de leurs désirs lorsqu’ils sont modérés, tandis que s’ils sont immodérés ils croient ne pas pouvoir s’y opposer. En réalité les hommes ont conscience de désirer, mais ils croient pouvoir désirer

être juste et légitime * ------------------------------------------------- En résumé, la régulation sociale : processus social nécessaire pour limiter les appétits infinis des individus. C’est un processus qui fixe des limites sociales pour modérer les passions. La société a besoin de réguler ses passions là. La théorie de la socialisation : * intégration + régulation : ces deux notions elles influent sur 3 niveaux de la société : * La structure ou morphologie sociale (manière

est « exaltation ».p53 (…) Bientôt quatre ou cinq heures de sommeil me furent suffisantes (…) Les nuits étaient plus courtes mais de bonnes qualités.(...) le rythme de vie de plus en plus soutenu, créatif, productif.(...)p54 La croissance de mes désirs et de mes performances sexuelles compensait quelque peu la situation. p55 (…) Je tentais de refaire le monde »(...) « ... transformé en personnage avide de sociabilité, fantaisiste, affable, trop volubile même, amateur de risque, dragueur, s'engageant