Molière Dénonce Dévot

foire au Moyen Age, qui s’adresse à un public très populaire, les farces, tout le vaudeville, le théâtre de Boulevard avec l’histoire ridicules des petites gens (Labiche, Feydeau) le café-théâtre sont surtout divertissants Certaines comédies de Molière, Achard, Guitry * Le mélodramatique : Les deux orphelines * Le pathétique : La dame aux camélias (immense succès au XIXème siècle du roman de Dumas fils monté pour le théâtre) * « Happening »: défoulement collectif. II. Ne doit-on

d'un groupe social ou encore le comique de gestes qui se manifeste par des grimaces par exemple. Dans "le Tartuffe" de Molière par exemple, ainsi que dans toutes ses autres pièces, le comique de caractère ainsi que le comique de gestes est très important. Dans cette pièce, Tartuffe incarne un faux dévot et un parfait hypocrite alors que Dorine incarne la servante futée. Ce comique de caractère apparait dans un bon nombre

Devoir 1 Formes, instruments et fonctions de l’argumentation DISSERTATION Depuis des siècles, les auteurs, les scénaristes et les réalisateurs cherchent à dénoncer les événements majeurs de leur temps, que ce soit politique, économique, religieux ou social au travers de leurs films ou œuvres littéraires qui utilisant des personnages et situations imaginaires, l’on appellera fictions. Cela est opposer aux essais, lettres ouvertes et pamphlets, qui disposent pourtant du même rôle. Cette volonté s’affirme

personnage d’homme de bien est le meilleur de tous les personnages que l’on puisse jouer aujourd’hui » disait Don Juan dans l’Acte V scène 2 du Dom Juan ou le Festin de Pierre de Molière (1665). Cette phrase reflète à elle seule deux aspects de la pièce. En effet, elle marque la critique menée par Molière des "faux" dévots, et de plus souligne le concept du theatrum mundi à travers le verbe "jouer". L’étude que nous mènerons, s’attachera autour de quatre points. Tout d’abord, nous verrons en quoi la

Molière, Tartuffe (acte V, scène 7 – v.1861-1908) Au dénouement de la pièce, Orgon comprend qu’il a été la dupe de Tartuffe, un faux dévot qui n’en voulait qu’à son bien et qu’à sa femme, Elmire. Bien que son entourage l’ait prévenu des manigances de Tartuffe, Orgon s’est obstiné dans son amitié pour lui. C’est donc une cruelle désillusion pour lui. Dans la dernière scène, un nouvel événement se produit. Tartuffe, absent depuis la fin de l’acte IV, revient pour prendre possession de la maison

bien souvent social ou moral ou de critiquer la société en mettant en scène un spectacle, ou en éditant une œuvre. Dès l’antiquité, la comédie se voit attribuer un rôle moral et social : il lui appartient de « corriger les mœurs par les rires ». Molière reprend cette idée dans la préface de Tartuffe « le devoir de la comédie étant de corriger les hommes en les divertissant ». Il lui semble légitime « d’attaquer par des peintures ridicules les vices de son siècle ». Qu’il s’agisse de l’hypocrisie

siècle dans l’acte II scène 4. Rosine, jeune fille apparaissant au début comme une ingénue, laisse éclater sa colère auprès de Bartholo, le barbon qui la retient prisonnière chez lui. Cette dernière prononce un discours exemplaire dans lequel elle dénonce l’oppression des femmes par les hommes en utilisant le champ lexical de l’enfermement («murez les fenêtres tout d’un coup. D’une prison à un cachot la différence est si peu de chose »). Elle combat les préjugés misogynes : « Mais monsieur, s’il suffit

L’auteur nous fait pénétrer au sein d’une famille honnête et paisible, tout à coup troublée etdésunie par la seule présence d’un étranger hypocrite et faux dévot. Tartufe, qui a su s’emparer de l’esprit de la grand-mère, Mme Pornelle, et de son fils, Orgon, qui donne asile au pieux personnage. Toutefois Tartufe ne jouit pas de la même faveur auprès du reste de la famille Damis ; l’appelleun « pied plat » et la suivante Dorine, scandalisée de l’empire qu’il a pris sur son maître, s’écrie :

exemple, nous enseignent un art de vivre, issu de sa propre expérience : la vraie sagesse pour cet humaniste réside dans la mesure, afin de « jouir loyalement de son être ». Au siècle suivant, Molière, Racine ou La Fontaine veulent corriger les mœurs. La littérature alors devient un pédagogue moraliste: Molière fustige l’égoïsme de ceux qu’une manie obsède ; il fait rire des ridicules et des vices et nous apprend la modération en nous mettant en garde contre les Tartuffe, les Dom Juan, les profiteurs

Dans les pièces de Molière, on connaît le statut social des personnages, grâce à un certain nombre de repères ; comme dans Le Médecin malgré lui, pièce dans laquelle on sait tout de suite qu’elle se situe dans un milieu paysan, grâce notamment aux costumes pour la représentation ou aux didascalies dans le texte écrit, et aussi grâce au langage qui reflète l’appartenance sociale. Langage que manie très bien Dom Juan, aristocrate libertin, dans la pièce éponyme du même Molière. De même que le costume