Molière Le Rire Fonction Morale

tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité », il occupe une place qui lui est propre dans l'histoire littéraire du XIXe siècle. Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale, la proclame tout entière destinée au Beau et non à la Vérité. Comme le suggère le titre de son recueil Les Fleurs du mal, il a tenté de tisser des liens entre le mal et la beauté, le bonheur et l'idéal inaccessible

étudié : Dom Juan, Acte I, scène 1 Auteur : Molière (1622, 1673) Le plan du commentaire : I. Une scène d’exposition 1) Un éloge paradoxal 2) Une scène pour exposer la situation 3) Le portrait de Dom Juan II. L’inscription de la pièce dans une idéologie 1) Libertinage et matérialisme 2) L’imitation inavouée du valet 3) La critique implicite de la religion Le commentaire rédigé : Introduction Ce texte est la scène d’exposition de Dom Juan de Molière. Molière, auteur de nombreuses pièces de théâtre au

la littérature, il fait aussi partie du monde du spectacle. Lieu public, il peut remplir des fonctions sociales diverses ; son rôle est à la fois initiatique et libérateur car il joue sur l'identification et la distance. Le rapport entre les comédiens et le spectateur est donc une des bases du phénomène théâtral. C’est pourquoi, aussi, le théâtre combine de nombreux moyens d’expression dont les fonctions sont de créer l’atmosphère, provoquer le jugement critique et faire référence à une réalité connue

Étude sur Molière : le Mariage forcé ; les Fourberies de ScapinSource gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Étude sur Molière : le Mariage forcé ; les Fourberies de Scapin / Alphonse Leveauxhttps://www.bnf.frhttps://gallica.bnf.frLeveaux, Alphonse (1810-1893). Auteur du texte. Étude sur Molière : le Mariage forcé ; les Fourberies de Scapin / Alphonse Leveaux. 1881. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans

apprécié du spectateur qui connait alors les enjeux de la pièce. Il nous dit également que le théâtre est un lieu de divertissement c'est-à-dire qu’il cherche à plaire par la beauté et le dynamisme de la mise en scène. Il peut aussi chercher à faire rire. Le théâtre cherche à toucher, à émouvoir le spectateur. Pierre corneille fait partit de ces dramaturges appliquant à la lettre les règles classiques. L’œuvre qui eut le plus de succès dans sa carrière fut « Le Cid », cette pièce lui aura valu des

des questions importantes pour l’époque, à propos du mariage et de l’éducation des filles. Cette œuvre, originale par la forme et par le fond, critique la société de son époque et irrite certains écrivains de son temps et choque les partisans de la morale traditionnelle. Elle engendre une grande polémique ; c’est la « Querelle de L’École des femmes » qui occupera l’actualité littéraire de l’année 1665 avec ses attaques et ses répliques. La trame de la pièce est tissée autour du personnage d’Arnolphe

Beaucoup d’erreurs dans les copies sur l’expression « mise en scène ». Il n’y a pas ici de metteur en scène mais seulement des extraits de pièces qui font un corpus. On peut seulement imaginer des mises en scène pour ces textes de Shakespeare, de Molière ou de Victor Hugo. La seule mise en scène dont vous pouvez avoir une idée est celle de Jérôme Savary dont la photographie (document 4) vous est montrée. La question attirait votre attention sur « l’utilisation de l’espace, des objets ou d’autres

« L’Ecole des femmes » écrite par Molière au 17ème siècle (publiée en 1663). * Molière est un dramaturge et comédien français du 17ème siècle, qui s'est illustré sous le règne de Louis XIV. * Genre : comédie en 5 actes et en alexandrins qui respecte les règles du théâtre classique (règle des 3 unités : action unique, temps en 24h dans un même lieu / règle de vraisemblance : conforme à la réalité / règle de bienséance : mots et attitudes pouvant choquer la morale) * Résumé de la pièce : La

car c'est un rire grinçant qui révèle les tensions, les refoulements, les contradictions de la société. c'est un lieu de conflit: entre les générations, entre les sexes, entre les classes sociales. (A l'acte 1 Arnolphe annonce son mariage avec sa pupille. A l'acte V Horace se marie avec Agnès) La tout-puissance du père et du mari la puissance paternelle (maternelle dans les femmes savantes) se manifeste à l'occasion du mariage. Le père décide du mariage des enfants en fonction de ses propres

l’écrivain serait-il forcément toujours celui d’un maître à penser, et le rôle du lecteur celui d’une sorte d’élève ? Pour répondre à cette interrogation, nous verrons tout d’abord que, certes, l’œuvre littéraire a traditionnellement, souvent, une fonction instructive, mais nous verrons en un second temps que certaines conceptions littéraires n’impliquent aucun utilitarisme dans l’art. Les grandes œuvres littéraires, finalement, ne dépassent-elles pas cette question de l’intention didactique ? I