Mon Rêve Familier Champs Lexical

Annonce des axes Etude I) Le paysage urbain réel 1) Baudelaire parle de ses rêveries à la fenêtre pour créer ses poèmes. On découvre le Paris du XIXe siècle. - Le poète à sa fenêtre : thème romantique. - Omniprésence du ciel -> champ lexical. Astrologue, clochers (2), mâts, ciel / cieux (religieux). Strophe 1 : V2 :nuit V3 :Matin :le jour. Strophe 2 : ciel voilé (brume, fumée, fleuves de charbon, nuit / pénombre.) Vastitude, liberté, associés à la ville. 2) La ville industrielle

l'adjectif "ancien", ou les expansions "haut sur roues", "peint en vilain bleu", devient un objet familier décrit de façon telle que le lecteur peut aisément se l'imaginer comme faisant partie d'un univers vraisemblable, ce qui est caractéristique d'une description réaliste. La description de la ville, quant à elle, n'est pas seulement détaillée : si la ville est représentée à travers le champ lexical de l'urbain, avec des termes comme "immeubles", "rue", "la chaussée", "le carrefour" et "les maisons"

et un rose. La rose et la femme ont beaucoup de points communs : grâce, beauté, amour, jeune, nouveauté. La femme présente sur le tableau représente Marie. La rose a une couleur vive. Ce tableau est représentatif du poème. Tableau : Mon rêve familier (1866) de Paul Verlaine : Tableau illustrant le poème : «  Couple », huile sur toile peinte par Pal Szinyei Merse (1845-1920) en 1870. L’auteur : Artiste-peintre hongrois, il étudie à l’Académie des beaux-arts de Munich. Il est l’un des premiers

d’étudier dans un premier temps comment le sentiment de bien-être est exprimé dans ce texte. Puis nous verrons en quoi l’écriture de Rimbaud, en recourant à un langage familier, vivant et simple, est provocatrice. I- LE BIEN-ETRE DE L'AUTEUR Il se traduit par l’attitude du poète, par la connotation des mots et les champs lexicaux. II- LA PROVOCATION Bien que Rimbaud conserve la forme traditionnelle du sonnet, il bouleverse la syntaxe à l’intérieur du poème. Si le premier quatrain a un rythme assez

Annonce des axes Etude I) Le paysage urbain réel 1) Le poète observateur depuis sa fenêtre Baudelaire parle de ses rêveries à la fenêtre pour créer ses poèmes. - Le poète à sa fenêtre : thème romantique. - Omniprésence du ciel -> champ lexical. Astrologue, clochers (2), mâts, ciel / cieux (religieux). Strophe 1 : vers 2 : nuit Vers 3 : Matin : le jour. Strophe 2 : ciel voilé (brume, fumée, fleuves de charbon, nuit / pénombre) Vastitude, liberté, associés à la ville. 2) La ville

Muse est une allégorie de la misère du poète Œuvre d’art = marchandise + Le poème sert au poète à « gagner son pain » C. Du matériel au spirituel Le poème propose deux alternativers pour « gagner son pain » : Chanter des Te Deum : spirituel, champ lexical de la religion « enfant de chœur »  « encensoir »  rejeté car elle n’y croit pas «  auxquels tu ne crois guère » «  étaler ses appats » : matériel, vulgaire  objectif : «  faire épanouir la rate du vulgaire » = faire rire la foule (« saltimbanque »)

En lecture cursive : • « Je suis venu te dire que je m'en vais » de Serge Gainsbourg (1992) • « L’adieu », dans Alcools de Guillaume Apollinaire (1913) • « Prose du bonheur et d’Elsa », dans Roman inachevé de Louis Aragon (1956) • « Mon rêve familier », dans Poèmes saturniens de Paul Verlaine (1866) • « Sur un tombeau », dans Les Plaintes d’Acantes de Tristan L’Hermite (1633) • « J’ai cueilli cette fleur… », dans Les Contemplations de Victor Hugo (1856) • « Je t'aime pour toutes les femmes

froissement de robes dans le ciel? d'une berceuse? Cette métaphore suggestive est à rapprocher de la présence dans le poème d'un champ lexical de l'amour : "Oh!là là! que d'amours splendides j'ai rêvées!" (v.4), le mot "cœur" (v.14), la présentation du poète comme un chevalier servant ("féal", v.3) de la Muse. Le bonheur trouvé dans la nature est donc une réponse à un "rêve" d'amour, à un besoin d'amour. Enfin, la comparaison entre le poète et le Petit Poucet suggère l'idée de l'enfant abandonné à la

Sommaire : I/ Évolution de la poésie à travers les siècles A . Les différentes formes poétiques B . Les genres poétiques II/ Le sentiment amoureux dans un poème A . Étude sur un corpus de trois poèmes : «Mon rêve familier», Paul Verlaine, Poèmes saturniens «Je pense à vous», Pierre Corneille, Rondeaux «Poèmes à Lou», Guillaume Apollinaire, Poème du 9 février 1915 Avis personnel Répertoire de poètes à connaître

canevas de cette scène relève bien de la tragédie : en effet, Arnolphe utilise tous les arguments pour obtenir l’amour d’Agnès, mais n’y parvient pas, ce qui fait de lui un personnage pathétique. Le pathétique va naître de la confusion entre le champ lexical de la passion amoureuse « tendresse », « amour »,… et de la violence « traîtresse », « courroux », … Cela explique l’ambivalence des sentiments et le désorientement d’Arnolphe. Il passe de l’amour à la colère très rapidement. De plus, à aucun moment