Mon Rêve Familier Champs Lexical

FRANÇAIS CONCLUSION: LL princesse de cleves Cette confession que Madame de Clèves fait à son mari révèle la grandeur héroïque des protagonistes qui se vouent un respect mutuel hors du commun. Elle met aussi en évidence la souffrance intense à laquelle sont en proie nos deux héros, suscitant la compassion du lecteur. Cette scène atypique permet en outre de faire avancer l’action puisque cet aveu sera à l’origine de la mort du Prince de Clèves.LL1313h55 à 14h55Conseils pour progresser :-Il faut expliquer

réaliste. Faire passer la fiction pour une vraisemblance. * Champ Lexical du marché aux poissons : « Thon, poisson » ; « pêcheur » * Précisions de la description : situe dans l’espace les éléments du décor « A Catane en ce jour » * Trivialité voire violence de la scène, « les entrailles de la mer », « vidaient d’un geste sec ». . Fonction symbolique : * Eléments qui donnent un sens à la description * Champs lexical de la mer * Comparaisons significatives « C’était comme

Anciens. L’exemple reflétant parfaitement ce désir et cette passion littéraire est le pastiche que je présente « Si tu t’imagines » inspiré de « Ode à Cassandre ». A travers la désacralisation de la femme, l’utilisation de l’argotique, d’un langage familier et d’une originalité déconcertante, Queneau transforme donc les procédés d’écriture pour quand même exprimer les thèmes de la « fuite du temps » et du « Carpe Diem » en dressant un fabuleux hommage à Ronsard. En fait, ce que Queneau fait du poème

sept petits chats ! Yann finira par fausser compagnie à sa famille. Aujourd’hui, il s’est embarqué sur un bateau qui fait cap vers l’ouest sur l’Océan ! 2. Le titre Le titre fait référence à Yann et à son rêve de rejoindre l’Océan Atlantique. Depuis qu’il a quatre, il en rêve ! Extrait page 38 : « - Là-bas c’est l’Océan. Le ciel est plus grand qu’ici, et puis il y a l’Océan. L’Océan…On s’était demandé où il avait péché ça, vu qu’il avait à peine quatre ans à l’époque et que personne

strophe => réinterprétation : voyageur ailé devient poète, homme d'équipage devient foule, et les planches le théâtre social. Exilé parmi les hommes, la vie de l'albatros apparait donc comme une parabole définissant l'existence du poète. 2champs lexicaux antithétiques : grandeur/vulgarité antithèse : roi à l'allure majestueuse dans les airs mais infirme et ridicule sur terre comme poète roi dans son art mais infirme parmi les autres. articles définis montrent passages importants "les hommes";

une allégorie de liberté, symbole de pureté et d’émancipation. Ce qui renforce d’autant plus l’aspect fantastique des personnages. Ensuite l’atmosphère générale semble s’apparenter à une scène de libertinage galant. C’est pourquoi on retrouve le champ lexical du libertinage amoureux v 9 « trompeurs », « amants », « amantes », « lutinent », « baiser ». Paul Verlaine renforce cette idée avec des parallélismes de construction v12 « les amants lutinent les amantes », qui symbolise la

jeune fille suggérée par le discours direct interrogatif. L’expression grammaticalement peu rigoureuse aux v.7-8 traduit l’attitude de la jeune fille. Réponse délicate du poète, avec un geste pudique = respect qu’il témoigne à la jeune fille. Champ lexical de la religion : « angélique », « dévotement ». Ce geste atteste aussi de la complicité entre les amoureux.   II – Souvenir plus ancien qui prend la forme d’une confidence lyrique dans le 2ème tercet   1)      Confidence limitée à l’évocation

qui lui permet de « fondre » les points de vue des personnages dans son récit, révolutionnant ainsi le procédé narratif de son époque et contribuant à son effet « naturaliste ». C’est ainsi le langage du peuple que le romancier emploie, un langage familier voire argotique, souvent à connotations dépréciatives (« trimé toute ma vie », « ces cheulards- là », « ce roussin de Père Colombe », « cet animal de Mes Bottes », pour désigner les alcools forts, Coupeau parle de « cochonneries »). Cette langue

personnage de Sganarelle 1) Semble détenir un savoir * Langage doté de références culturelles, telles que « pourceau d’Epicure », « Sardanapale ». * Il utilise le latin, langue des intellectuels, avec « inter nos » * Langage tantôt familier (« pèlerin » est considéré comme une insulte à cette époque), tantôt soutenu (cf. ci-dessus), ce qui engendre le comique de la scène. * Comique appuyé par une litote « je n’ai pas grand peine à le comprendre » * Il se décrit comme un peintre

(1) : |Baudelaire |Verlaine |Rimbaud | |Correspondance : p.76-77 |Ma bohème : p.103 |Mon rêve familier : p.99 | |Les chats : p.80-81 |Le donneur du vol : p.103-104 | | |La mort des amants : p.84 |