Monachisme

conversion On donne une dimension universelle au message Le christianisme exerce une attraction sur les déshérités Persécution des Chrétiens sous l’Empire Forte diffusion du christianisme dans l’Empire au 3ième siècle Monachisme Constantin : Promulgue l’Édit de Milan en 313 Consacre la liberté de culte Concile de Nicée (définissent l’orthodoxie de la foi, la sainte trinité, etc) L’Église commence à se structurer sous Constantin

Rôle majeur des évangélisateurs : faire sortir le culte des villes et apporter la « bonne parole » dans les campagnes (paysans = païens). St Martin de Tour propage le christianisme en fondant des monastères, comme celui de Ligugé en 361. * Monachisme Les moines prennent le relai de l’évangélisation : installation de monastères sur tout le territoire, en particulier sous l’impulsion de Colomban (arrivée d’Irlande) autour de 570 => Il évangélise tout le Nord-Est de la Gaule. Tous ces monastères

développe à cette époque. Le mouvement millénariste : fin prochaine après mille ans. Les terreurs de l’an mil n’est jamais existé finalement. Les moines vont prendre au 11 12 ème siècle un pouvoir de plus importants : nouveaux monastères, monachisme important. Avant c’était plutôt les évêques qui avaient le pouvoir. Les deux monastère Cluny et Cîteaux. L ‘église prend une certaine dépendance par rapport au seigneurs, aux laïques. > dynamique du 11 12 ème siècle. I. La paix de Dieu

menacé les souverains d'excommunication (être chassé de la communauté des chrétiens). Mais il n'est pas toujours suivi : ainsi, l'empereur germanique Fréderic Ier Barberousse s'y oppose avec l'appui de certaines cités italiennes. 2- L’essor du monachisme • Le clergé se divise en deux groupes : le clergé séculier (archevêque, évêques, prêtres) qui est au contact des fidèles et le clergé régulier qui vit dans les monastères et les abbayes (abbé, moines ; abbesses, moniales). • La période est

l’Unesco ; au sud de l’Arménie c’est le complexe monastique de Tatev qui mérite le détour. Diversité dans l’unité La plupart des monastères arméniens suivent les mêmes étapes historiques, qui ne sont pas sans rappeler la stratification générale du monachisme occidental : - Quelques ascètes se regroupent dans des grottes au flanc de montagnes sauvages, et ce dès le IVe siècle, aux origines de l’Arménie chrétienne. - A partir du milieu du Xe  siècle, après les invasions arabes pendant lesquelles ces

leur liberté d’esprit à l’égard des richesses, du refus de l’envie mimétique et de sa violence conséquente. C’est bien cette vraie félicité qui justifie les habitants de la Bétique. Leur bonheur est saint puisqu’il résulte de l’ascèse comme dans le monachisme. Une critique implicite de la France de Louis XIV Insensiblement, nous passons du tableau vertueux à la critique des voisins. Par des interrogations oratoires, Fénelon anime le réquisitoire en rhéteur classique. Quels sont les reproches adressés

monastères carolingiens, sous l’inspiration de Witiza, le conseiller en la matière de Louis le Pieux, plus connu sous son surnom postérieur de Benoît d’Aniane (qui rappelle qu’il a rénové la règle du fondateur du monachisme occidentale, saint Benoît ; d’où le nom de « bénédictin » donné à ce monachisme) : unification réalisée grâce au capitulare monasticum, de juillet 817 ; parallèlement, les monastères contribuent au plan de salut à l’usage des aristocrates qui les ont souvent fondés dans ce but, en constituant

foi chrétienne comme la Trinité, le Verbe de Dieu qui a pris chair de la Vierge Marie ont été définis dans des conciles tenus en Orient. L’Eglise catholique d’Occident s’étend jusqu’à admirer même la liturgie orientale et la spiritualité avec le monachisme. Tout ceci pour montrer combien l’Eglise catholique romaine a de l’estime pour l’Eglise d’Orient. CONCLUSION : En conclusion, sous réserve d’enquête ultérieure, retenons ce qui suit : le décret « unitatis Redintegratio » que nous avons analysé

meilleure éducation de l’époque dans des écoles monastiques ou semi-monastiques. À l’âge de vingt-quatre ans, il fut admis à la prêtrise et prononça ses vœux monastiques, mais il ne semble pas qu’il ait exercé une activité de prêtre ; toute sa vie, le monachisme a été la cible principale de ses attaques lorsqu’il s’en est pris aux maux de l’Église. Il continua ses études au collège de Montaigu de l’université de Paris, qui était alors le centre principal des études scolastiques, mais subissait déjà l’influence

rapporte à l'abbaye ou l'ordre de Cluny. Celui ci se caractérisa par une observance adoucie de la règle bénédictine et par l'importance apporté aux offices religieux. Il connut une grande expansion et joua un rôle majeur dans le redressement du monachisme et la réforme de l’Église au XIe siècle. (bénédictin aussi) Concile: Assemblée délibérante qui décide de questions de doctrine religieuse et de discipline ecclésiastiques comprenant essentiellement des évêques. Les décisions du concile sont les