Monachisme

On a - le haut clergé qui contient tous les membres émanant de l’église (papa, archevêque, évêques). - Le bas clergé qui rassemble tous ceux qui sont subordonnés à l’évêque. Ils se développent en nombre. Le clergé régulier on parle de l’essor monachisme. Un certain nombre de règles apparaissent et plusieurs ordres se créent (ex : bénédictin). Les monastères jouent un rôle important dans la transmission de la culture (monastère il y a des bibliothèques). En plus les moines sont souvent de grands

• 816-817 : conciles d’Aix-la-Chapelle (LLP) → Concordia regularum imposée à tous les monastères de l’empire. !!! nbses résistance → succès mitigé. • Etape importante dans le processus d’institutionnalisation du monachisme : - impose un mode de vie strictement cénobitique (= en communauté). - moines totalement séparés des laïcs et des clercs. B – L’institution des chanoines. • Evêque Chrodegang de Metz → règle de vie pour

meilleure éducation de l’époque dans des écoles monastiques ou semi-monastiques. À l’âge de vingt-quatre ans, il fut admis à la prêtrise et prononça ses vœux monastiques, mais il ne semble pas qu’il ait exercé une activité de prêtre ; toute sa vie, le monachisme a été la cible principale de ses attaques lorsqu’il s’en est pris aux maux de l’Église. Il continua ses études au collège de Montaigu de l’université de Paris, qui était alors le centre principal des études scolastiques, mais subissait déjà l’influence

nouveau dans l’Eglise : le monachisme. Le monachisme va se développer par la conciliation de deux tendances divergentes : le monachisme bénédictin qui comme son nom l’indique vient de Saint Benoît, italien du début du VIe siècle, qui a écrit une règle (en 529), qui occupe le moine dans trois directions : la prière, le travail manuel, et le travail intellectuel. Cette règle va se répandre de l’Italie vers le nord tout au long du VIe siècle. Face à l’expansion de ce monachisme bénédictin, à partir de

appentis au lieu de laisser échapper les extrados. = système à file de coupoles a posé plusieurs problèmes de couvrement, de structures. Abbatiale de Fontevraud, Maine et Loire 1101 : Robert d’Arvrice fonde l’abbaye. Un des refondateurs du monachisme dans est et ouest de la France. Il crée un système original : à l’intérieur deux ordres mixtes. Plan classique du chœur à déambulatoire et chapelles rayonnantes. Deux premières travées dans le chœur  + 6 colonnes. Pour avoir une vision illusionniste

"seulement" se contenter d'orienter la vie religieuse vers sa romanisation, en effet, entre 754 et 756, il rédige ce que l'on appelle la règle des chanoines. Cette règle dérivée de celle de saint Benoît, va redéfinir les principes monastiques (monachisme) afin de les appliquer aux clercs. Ainsi, un chanoine selon les règles est un clerc sous la direction d'un évêque obéissant à des lois qui règlent sa vie. (L.19-20) Ces chanoines comme le montre le texte vivent en communauté ils partagent les mêmes

le règne de la religion; cela est prescrit par Dieu et son prophète Muhammad. On peut comparer cette obligation religieuse, comme un moine quise consacre au service de Dieu en chrétienté. Plusieurs hadiths vont dans ce sens : « Le Djihad est le monachisme (mode de vie) de l’Islam » Le Djihad est un « acte de dévotion pure » ; il est « une des portes du Paradis » De grandes récompenses célestes sont assurées à ceux qui s’y adonnent. Cette dernière est reprise à la fin de texte d’Ubayd Allah, où il

révolutionnaires, ceux qui les exécutent ne le sont pas » (l.4), pour Saint Just, les lois révolutionnaires (exigées par les circonstances), ne sont pas appliquées par le gouvernement, puisque pour lui, celui-ci est antirévolutionnaire, il approuve le monachisme. D’après Saint Just, les dirigeants actuels ne seraient plus à même de continuer la révolution puisque jusqu’à maintenant ils ne l’ont pas fait. De ce fait, d’après Saint Just, « La république ne sera fondée que quand la volonté souveraine comprimera

im 9. und 10. Jahrundert, Sigmaringen, 1989, p. 167-196. B. Rosenwein, T. Head et S. Farmer, ''Monks and their enemies. A Comparative approach'', dans speculum, 66, 1991, p.764-796. A. Wagner, Gorze au XIe siècle. ''Contribution à l'histoire du monachisme bénédictin dans l'empire'', turnhout, 1996. 8. La réforme grégorienne. Problèmes idéologiques généraux. Georges Duby, ''Les trois ordres ou l'imaginaire du féodalisme, Paris, 1978. Georges Duby, ''Le chevalier, la femme et le prêtre. Le mariage

Deux notions principales :   Dans le monachisme : la vie monastique se développe, une vie totalement consacrée à Dieu. Le fondateur du monachisme, le premier moine, est Saint Antoine l'Egyptien au IV ème siècle qui vécut presque cent ans. C'est un simple paysan de Haute Egypte qui se retire au désert (la thébaïde).  Dès ce moment là, il pratique les trois données qu'on retrouve toujours dans le monachisme : la prière, la veille et le travail.  Le monachisme va connaître un grand succès en Occident