Monarchie de droit divin

instaurés en France avant 1870 (troisième république). 1) la monarchie de droit divin (jusqu’à 1789) A partir du Vème siècle, la France s’organise progressivement en monarchie. Le roi de France est sensé avoir été choisi par Dieu lui-même, et il gouverne au nom de Dieu : il est souverain (c’est-à-dire premier entre tous, ne recevant d’ordre de personne). La monarchie absolue donne au souverain un pouvoir quasi absolu. 2) la monarchie constitutionnelle (1789-1792) C’est le régime de Louis XVI

de la discussion entre Candide et l’ « hôte », les habitant de l’Eldorado ont une religion, certes, mais ils ne sont pas pour autant dans le fanatisme, reproche et idée principale du-ou des- philosophe(s) des lumières. Le régime de la monarchie absolue de droit divin est là aussi contesté par l’auteur, car c’est elle qui met en exécution le fanatisme précédemment évoqué mais aussi qui est responsable de la justice, souvent à l’époque injuste, que l’on peut déceler lorsque Candide « demande à voir

justice et La Bruyère dans son ouvrage Les Caractères (1688) observe les travers de ses contemporains et montre la vanité des comportements humains. Fénelon, voit son œuvre Télémaque (1696) interdite car elle représente une critique de la monarchie de Louis XIV. Quant à la religion, elle est remise en question, notamment à travers des textes de Bayle et Fontenelle. C’est le début d’une prise de conscience qui s’élargira avec les réflexions sociologiques qu’approfondiront les philosophes

peu (monarchie absolue de droit divin, privilèges, inégalités, censure etc.), en même temps qu’il sait lui rester fidèle (fidélité à la monarchie : mais constitutionnelle et libérale, le « Philosophe » réalise la synthèse du « Libertin » et de l’ « Honnête Homme » tels qu’ils ont pu apparaître au XVII°, esprit critique héritier du « doute méthodique » de Descartes etc.). Il annonce toutefois, dans sa seconde moitié, le XIX° : révolutions politique, économique, sociale (chute de la monarchie, avènement

République. L'égalité est un principe constitutionnel consacré dans les textes fondamentaux de la République Française. Le principe d'égalité est énoncé dès les premiers articles de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, ce dernier stipule que : « Les Hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit »(art. Premier de la DDHC). Cela signifie que la loi est la même pour tous, qu'elle protège et punisse de la même manière tout les individus sans distinction social, sans distinction de naissance

dictionnaire historique de la LF rappelle que « droite » s’est spécialisé en politique pendant la Révolution parce que les députés conservateurs (comprendre : attachés à la monarchie) siégeaient à la droite du président. On disait alors (1793) « les députés de la droite de l’assemblée ». Ce positionnement n’est pas hasardeux, il renvoie symboliquement à la « droite de Dieu ». Le même dictionnaire écrit : « en 1789 les royalistes se placèrent à droite du président et les partisans de la Rév° s’installèrent

contraignit à l’exil, ne pouvait pas s’appuyer sur une invocation directe à la tolérance, cette idée relevant de trop de subjectivité et d’appréciation personnelle : comment faire accepter, en effet, une pratique religieuse différente dans une monarchie de droit divin qui ne peut se réclamer que du respect de la religion catholique pour gouverner l’État ? En conséquence, l’auteur de l’article retient l’attention du lecteur en utilisant d’abord, pour justifier sa critique, des arguments d’efficacité politique

On peut définir le droit constitutionnel comme une matière appartenant au droit public. Le droit privé règle les rapports entre particuliers. Le droit public règle les rapports entre l’administration et les particuliers. Il y a quatre branches dans le droit public : - Le droit international (rapport Etat à Etat) - Le droit administratif (rapport administration et Français) - Les finances publiques - Le droit constitutionnel Le droit constitutionnel est autonome car il ne concerne

Histoire du droit Plan : Titre 1 : La famille aujourd’hui. Titre 2 : Le droit de la famille en droit romain. _____________________________________________________________________________________________ titre 1 : la famille aujourd’hui. Chapitre 1 : De la laïcisation à l’époque contemporaine Section 1 : les réformes de la révolution française et la sécularisation. La révolution française a entrainé d’immense changement dans l’organisation du système politique français

34-35) : au nom de la raison : incohérence relevée « le vin qu’on boit n’est pas du vin » l. 35 Texte enjoué et rythmé qui cache une critique audacieuse : sous le masque faussement naïf de Rica, Montesquieu s’attaque au fondement de la Monarchie absolue : son essence divine.