Monarchie de droit divin

protecteurs du théâtre (Richelieu au vers 1789, Louis XIII au vers 1793). Il se dessine un Corneille politique que l’on retrouvera dans le Cid et Cinna. Le théâtre prend une autre fonction que le divertissement. Le dramaturge se doit de célébrer la monarchie de droit divin qui le protège. Ainsi, le vers 1793 a une fonction de louange destinée au roi. Le champ lexical des héros qui s’est vidé d’ironie et de comique a pris une valeur d’éloge courtisane, il flatte le roi. Alcandre met en avant l’importance pour

04/10/12 Droit Public 1 Partie : Droit Constitutionnel Introduction : * Pouvoir * L’ordre social * État * La démocratie 1) Le pouvoir a) Définition Historiquement les sociétés débutent dans le désordre, la loi du plus fort, l’ordre (public) est créé pour remédier aux souffrances engendrées par l’anarchie, il faut éviter la justice. Le pouvoir bien organisé entraine la justice. Le pouvoir peut engendré l’injustice, il y a un statut inégalitaire clergé contre

(Marie de Médicis assure la régence après la mort d’Henri IV) Louis XIII (1617-1643) avec l’aide de Richelieu   (Anne d’Autriche assure la régence après la mort de Louis XIII) Louis XIV (1661-1715) : surnommé « Roi-Soleil », il mène une monarchie absolue de droit divin (dirige seul le pays).  Le monarque impose l'obéissance à tous les ordres et contrôle les courants d'opinion y compris littéraires ou religieux, ainsi il décide de réprimer le jansénisme à partir de 1660 et de révoquer l'édit de Nantes en 1685

d’état et succession de pouvoir. Louis XVIII se réinstalle, ce qui marque le retour de la monarchie de droit divin, assurément il instaure une Charte qui n’est pas une constitution car elle dépend de son bon vouloir, après sa mort le pouvoir est directement succédé à Charles X (puis son fils par la suite) alors que la plupart des personnes qui possèdent le droit de vote, les plus riches, sont pour la monarchie. Bref, Florence serait le reflet de la France au XIXe siècle. En effet, Florence est dirigée

rôle dans la construction de la personnalité, dans l’équilibre psychique (enfants). Dans le domaine social et politique : le lien social repose en partie sur l’imagination (le fait d’être français repose sur une représentation imaginaire, monarchie de droit divin : donner/renforcer le pouvoir du roi). Dans le domaine de l’éthique et de la sagesse : elle peut rendre immoral, contaminer nos rapports à autrui. Elle peut nous aliéner : fait de nous des êtres passionnels (colère, tristesse, joie…). L’imagination

Or, la restauration de la monarchie va définitivement mettre fin au XVIIIème siècle. La naissance du style « rococo » et « rocaille », qui caractérise le siècle jusqu’en 1760. Lui succèdera le néoclassicisme. En effet, on a redécouvert Pompéi en 1748 : tout un tas de monuments classiques sont dès lors remis à jour. La France au XVIIIème siècle La France d’Ancien Régime est une monarchie absolue, le pouvoir est centralisé. C’est également une monarchie de droit divin, la religion catholique étant

du roi est renforcée à travers l’allusion au châtiment à travers la mention des « sacrés ongles » au vers 36. On note l’antithèse « membres profanes »/« sacrés ongles ». Le fabuliste tourne en déri¬sion la force divine du roi. On devine ici une critique de la monarchie absolue de droit divin et du roi Louis XIV. Vers 6, une marque de l’autorité apparaît : « il fit avertir ». 2) Un personnage vaniteux L’utilisation d’impératif montre une volonté d’être obéit. L’emploi de la première personne

Usbek trace un portrait de lui peu flatteur: à la fois avare et dépensier, lucide et aveugle mais surtout absolu, distribuant des récompenses ou blâmant de façon aléatoire. De plus Usbek refuse le despotisme (pouvoir absolu) et critique la monarchie de droit divin qui met en place un roi tel "un soleil qui porte partout la chaleur et la vie" en mettant Dieu au centre des affaires politiques. Montesquieu dénonce aussi l'esclavage. C'est dans la lettre 118 par Usbek que cette critique se fait la plus

présent de vérité générale (« tiennent, vaut ») + comparaison de contraires : (« sauver, coupable, condamner, innocent ») => morale humaine *Autres morales implicites : -La loi doit l'emporter sur le bon vouloir du monarque (contre la monarchie absolue de droit divin) ; -la liberté d'expression, -le respect des représentants du peuple (vizirs) ; -la présomption d'innoncence ; -une justice exemplaire (Zadig = excellent juge) C. On peut également tirer une morale humaniste de ces récits

« Aucun homme n’a reçu le droit de commander aux autres ». 1. Opposition de la liberté et de l’autorité - critique L’autorité est très liée à la notion de liberté. Les limites de l’autorité viennent du caractère véritable de la liberté. L’une et l’autre se définissent mutuellement. Pour Diderot, il faut substituer l’autorité à la liberté : un homme naît libre et non sujet. Par des arguments religieux (cf I,3), Diderot s’attaque à la monarchie de droit divin en lui ôtant sa raison d’être :