Mondes possibles

manipuler des nombres en fonction de certaines règles. Celles-ci peuvent faire l’objet de démonstrations, qui ne sont rien d’autre que des manipulations de notions plus fondamentales et de règles plus fondamentales. Par exemple, 3 + 1 = 1 + 3. Il est possible de démontrer que l’addition est commutative, c’est-à-dire que quels que soient les nombres a et b, a + b = b + a. Lorsqu’on raisonne sur autre chose que des nombres, on utilise bien également des règles, à savoir celles de la logique qui peuvent

Péripéties : - les accusés. - la cérémonie. Elément de résolution : la terre tremble de nouveau. Situation finale : Candide réfléchit à ce qui vient de se passer, il passe par l’interrogation ( « Si c’est ici le meilleur des mondes possibles, que sont donc les autres ? » Puis il passe ensuite par l’exclamation : « ô mademoiselle Cunégonde ! La perle des filles, faut-il qu’on vous ait fendu le ventre. » Candide insiste beaucoup sur les évènements. Il remet en question la philosophie

philosophie dont le principe est tout va bien dans le meilleur des mondes possibles. Dans ce conte philosophique, le seul personnage qui est amené à appliquer cette théorie est Pangloss. Afin de démonter ce qu’il affirme il est amené à énoncer de faux rapports logiques. Ainsi dans le chapitre I, Pangloss affirme que « le château de Monseigneur le baron était le plus beau des châteaux « parce qu’ils vivent dans le meilleur des mondes possibles ». Mais le lien qui unie la cause et la conséquence est artificielle

Pangloss repose sur le constat d’un enchainement de fait entre lesquels il établit une relation de cause à effets purement gratuite. Tous les évènements sont enchaînés dans le « meilleur des mondes » possibles, ce sont de simple constations mais absolument pas une vérité vérifiée. Le meilleur des mondes possibles relève de l’affirmation gratuite, de la croissance, mais non de l’argumentation. Pangloss reste donc tel qu’il est apparu au premier chapitre ; il est prisonnier de son monde de croyance et

du philosophe Pangloss dans Candide est représentatif d'un certain comique de caractère car il est l'archétype du philosophe borné qui refuse de se remettre en question et répète sans cesse comme une litanie "tout est bien dans le meilleur des mondes possible" alors que son élève Candide symbolise la naiveté et la crédulité. Jusqu'à la fin, alors que candide a tiré les leçons de ses tribulations, Pangloss s'en tient à sa théorie.voltR ns menage par ce moq a reflechir a des sujets plus graves, il lutilise

parfait et il a créé le meilleur monde possible - Sa créature, l’homme, est donc imparfaite, ce qui explique ses faiblesses et se souffrances - L’univers est globalement harmonieux et cohérent : certaines parties sont imparfaites, càd marquées par un mal nécessaire au triomphe du bien. → 2 principes optimistes : ● « Tout au mieux dans le meilleur des mondes possibles » : tout n’est pas bien mais le Tout est bien, le monde des hommes est le meilleur possible car il a été créé par Dieu, seul être

autres. C’est aussi lui qui pose toutes les questions ; il est au centre de l’intrigue. C’est également lui qui va aider les gens. Il va aussi faire des ruses ; il accélère ou ralentit l’action dans une pièce, il va mettre tous les déguisements possibles. Certains valets deviennent les personnes principales de la pièce. Certains d’entre eux en viennent à défendre leurs intérêts. Il va devenir de plus en plus complexe. Même dans le théâtre du XVIIIème siècle, le maître reste un personnage important

que nous utilisons de nos jours sont nocives selon toi ! Alors autant continuer à écrire des lettres, ou peut-être que non car il faut utiliser du papier et donc abattre des arbres ! » J : « Alors pour toi, tout va bien dans le meilleur des mondes possibles comme dirait Pangloss dans Candide. Et donc laissons les choses se faire sans réagir ! Pourtant je crois que si nous n’agissons pas dans quelque année le monde sera détérioré. Et ce n’est pas le monde que nous voulons pour nos enfants ».

Voltaire emploie aussi certaines tendances du conte comme l’utilisation de superlatifs et comparatifs qui participent à une simplification de la compréhension au premier degré, comme « le plus beau des châteaux », « la meilleure des baronnes possibles », « le plus grand baron ». On observe aussi une profusion des adjectifs mélioratifs, donnant au texte un aspect naïf, comme « admirablement, meilleur, beau, mieux, bien… ». Enfin, trait de caractère principal du conte, cet extrait est descriptif

aussi l'optimisme exagéré de certains philosophes en dressant une caricature acerbe au travers du personnage de Pangloss qui symbolise Leibniz, celui qui parle toujours et qui fait foi sa théorie : tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles, cette doctrine ne devient plus que matière à douter du bonheur de l'humanité. Enfin, l’écrivain « écrit pour agir » pour le devoir de mémoire. Ainsi dans Cahier d'un retour au pays natal (1947) de Césaire la violence du lexique et de