Monétarisme

le maintien d’un déficit budgétaire inférieur à 3% du PIB. De même, l’objectif unique de maintien de l’inflation à un niveau inférieur à 2% ne favorise pas l’architecture des politiques conjoncturelles européennes est fondée sur les principes du monétarisme de M. Friedman selon lesquels la politique monétaire et budgétaires sont inefficaces pour relancer l’activité. Selon lui, l’augmentation de l’offre de monnaie a un effet sur le niveau des prix (et des salaires). Mais les agents économiques ne

agences de notation sont chargées de surveiller les Etats et les entreprises. Les Etats les plus endettés perdent des marges de manœuvre en matière de politique économique 3) Le lien crédit et inflation (Correction préparation 19/11/12) Le monétarisme est un courant libéral crée par Friedman qui émerge à partir de 1980 alors qu’on est en période de choc pétrolier et de grande inflation. Pour Friedman, l’inflation est un phénomène monétaire, les prix augmentent proportionnellement à la quantité

aussi une science en perpétuelle controverse car différentes visions des systèmes économiques ont cours. Ainsi a-t-on une infinité d’écoles de pensées. L’école classique, l’école néoclassique, l’école marginaliste, la nouvelle école classique, le monétarisme, la nouvelle synthèse classique Le keynésianisme, l’école du déséquilibre, la contre révolution keynésienne, la nouvelle école keynésienne, la nouvelle synthèse keynésienne Le marxisme, le néomarxisme, le structuralisme, le néostructuralisme Bref

façon encore plus marquée puisqu’il figure l’article premier des nouveaux statuts de la Banque de France. Le fait de passer à la monnaie unique va confirmer cet objectif et conduire à l’autonomisation totale de la politique monétaire. C’est le monétarisme et les travaux de M. Friedman qui constituent le point d’encrage théorique du processus d’intégration monétaire en Europe : la Banque centrale indépendante doit garantir la stabilité des prix, donc lutter contre l’inflation, qui est de nature monétaire

pensée économique (ordre chronologique ; en italique, les principaux courants contemporains) — Voir aussi : Libéralisme économique Chrématistique · Mercantilisme · Physiocratie · École classique · Marxisme · Historicisme · Keynésianisme · Monétarisme · École autrichienne · École néoclassique · Néo-keynésianisme · Économie de l'offre · Synthèse néoclassique · Nouvelle économie classique [Enrouler]v · d · mSystèmes économiques Principaux Capitalisme · Économie de marché · Économie sociale

(1772-1823) John Suart MILL (1806-1873) Néoclassiques Marginalisme Karl Menger (1840-1921) Léon Walras (1834-1910) Alfred Marshall 1842-1924) F.von Hayek (1899-1992) Microéconomie Gérard Debreu (né en 1921) Kenneth Arrow (né en 1921) Monétarisme Milton Friedman (né en 1912) Nouveaux classiques Robert Lucas (ne en 1937) Keynésianisme John Manyard Keynes (1883-1946) Joan Robinson (1903-1983) Nicholas Kaldor (1908-1986) Synthèse keynésianisme/néoclassiques John.R.Hicks (1904-1989)

" La théorie quantitative de la monnaie considère que l’inflation est le résultat d’une croissance excessive de la masse monétaire, supérieure à l’augmentation de la production(M.V=P.T). M.Friedman redonne dans les années 1970 une actualité au monétarisme en s’attachant dans Inflation et systèmes monétaires à démontrer la validité de la théorie quantitative par " l’évidence empirique ". " La cause immédiate de l’inflation est toujours et partout la même : un accroissement anormalement rapide de

connexes[modifier] * Marginalisme * Homo œconomicus * Utilité * Théorie du choix rationnel * Rationalité limitée * Histoire de la pensée économique * École classique * École autrichienne * Keynésianisme * Monétarisme * Institutionnalisme * Libéralisme économique * Capitalisme * Néolibéralisme ------------------------------------------------- Bibliographie[modifier] Articles * (en)Paul Samuelson, 1951, "Principles and rules in modern fiscal

consommation et l’investissement de l’autre. V. Les économistes contemporains Les néo-keynésiens qui analyse l’influence de la monnaie sur l’économie ouverte. (Relancer la concurrence dans le pays et le monde). Les néo-libéraux, comme Friedman et le monétarisme, il est partisan du libre marché, l’Etat ne doit pas intervenir dans l’économie, avec une monnaie neutre, ne pas vouloir stimuler la croissance par de la création monétaire. Chapitre 3 Circuit économique, la représentation de la société. I

rapports sociaux-marchands. LES NOUVEAUX LIBERAUX A partir des années 1950, un nouveau libéralisme apparaît, surtout aux USA. Il y a le monétarisme avec Milton Friedman. L’idée est que la monnaie, à court terme, joue un rôle déterminant, alors qu’à long terme, elle n’a pas un rôle important. Friedman va influencer les politiques monétarismes. Il y a aussi Friedrich August Von Hayek qui est un économiste libéral qui a joué un rôle très important car, pour lui, il y a des crises possibles