Monétarisme

d'hyperinflation. Actuellement, Hong Kong fonctionne sous ce régime. L'Argentine a abandonné cette politique à la suite d'une crise monétaire en 2002. 2- Ciblage de la croissance des agrégats monétaires À la suite du développement du monétarisme dans les années 1970, certains pays ont adopté une politique monétaire basée sur un ciblage de la croissance des agrégats monétaires. La masse monétaire, dans une optique monétariste, doit croître au même rythme que le produit national. Si la masse

Helmut Schmidt et Valéry Giscard d’Estaing.      C. Le rapprochement franco­allemand      Alors  que  les  allemands  y  sont  peu  favorables,  Schmidt  va  faire  confiance  à  Giscard  d’Estaing.  Ainsi,  ces  derniers  s’accordent  à  croiser  “monétarisme”  à  la  française  et  “économisme”  à  l’allemande,  sans  qu’aucun  des  deux  ne  cherche  à  imposer  sa  culture  nationale  en ce  domaine.  Pour  rassurer  leurs partenaires,  ils axent leurs propositions sur une  sorte  de  “Bretton 

la Bulgarie fonctionnent sous ce régime. L'Argentine a abandonné cette politique à la suite d'une crise monétaire en 2002. ------------------------------------------------- Ciblage de la croissance des agrégats monétaires [modifier] À la suite du développement du monétarisme dans les années 1970, certains pays ont adopté une politique monétaire basée sur un ciblage de la croissance des agrégats monétaires. La masse monétaire, dans une optique monétariste, doit croître au même rythme que le produit national. Si la masse

la banque centrale allemande (Bundesbank) : indépendante du gouvernement, elle considérait déjà dans les années 1960 que l'inflation n'était pas une solution au chômage mais plutôt sa cause. On retrouve également l'influence de M. Friedman et du monétarisme moderne : une banque centrale indépendante doit faire croître la masse monétaire en fonction du rythme de croissance de long terme de l'économie, ce qui évite l'inflation et ses effets pervers . Cependant, M. Friedman reste très critique quant à

à la promotion des vertus du système de taux de change flottant. Tchatcher et Reagan vont donc appliquer cet idéologie à la monnaie de leurs pays. Le monétarisme va permettre de restructurer l’économie en ce qui concerne l’Angleterre car cela va permettre de mettre en place l’économie des services (produits financiers et assurances).Le monétarisme va s’implanter comme la nouvelle doctrine économique de l’économie mondiale. LA GLOBALISATION FINANCIERE La globalisation financière arrive avec beaucoup

Les années quatre-vingt sont marquées par une période de désinflation et sur le plan de la politique économique d’un retour au libéralisme. Les Etats-Unis ont entrepris dès 1979 avec Paul Volcker à la tête de la Fed, cette nouvelle politique. Le monétarisme supplante le keynésianisme, l’inflation est maîtrisée par la limitation de la création de monnaie centrale. Ce qui a pour répercussions d’augmenter les taux d’intérêts réels, de réduire les marges des entreprises qui préfèrent s’autofinancer, d'obérer

conjoncturelles d’inspiration keynésienne sont alors visées par la critique néolibérale qui se focalise sur la question de l’inflation. Cette inflation est mise en cause dans les crises des années 1970, elle pénalise les exportations et l’investissement. Le monétarisme de Milton Friedman inspire la réforme des banques mais également un retour à l’orthodoxie libérale. Des politiques économiques, budgétaires et monétaires de rigueur et d’austérité salariale se mettent en place pour lutter contre les conséquences

statut d’État gendarme à celui d’État-providence, du moins jusqu’aux années 1970, date à laquelle la « main visible »[2] de l’État a commencé à être contestée par ce qu'on a pu appeler la Révolution conservatrice, en particulier sous les assauts du monétarisme et du néolibéralisme. Aujourd'hui, néanmoins, la question de l'État-Providence fait débat: si la crise de l'État-providence est réelle, du fait de mutations sociologiques, économiques et idéologiques importantes, l'impératif de protection sociale

et le fonctionnaliste Louis H. Sullivan (1856-1924) –, en philosophie – avec John Dewey (1859-1952), George H. Mead (1863-1931) et le courant pragmatiste –, plus tard en science économique – avec Milton Friedman (né en 1912), chef de file du monétarisme, et une université pépinière de prix Nobel, marquée par l'enseignement d'économistes libéraux. Pour ce qui est des sociologues, ceux qui se trouvèrent plus tard inclus dans la plupart des définitions de l'École : Robert E. Park (1864-1944) et

politique monétaire en économie fermée ou ouverte (en changes flexibles). La politique monétaire produit des effets de demande agrégée qui relancent la croissance et réduisent le chômage dans sa partie conjoncturelle. Le fondement théorique: le monétarisme: rejet absolue des effets de demande agrégée. Effets strictement inflationnistes de la relance. Théorie quantitative de la monnaie: équation comptable: M.V=P.Y M: masse monétaire: quantité de monnaie qu'ont les agents en main. V:vitesse de