Monnaie constante

Chapitre 2 : Demande de monnaie Approche néoclassique. Pourquoi on souhaite détenir de la monnaie ? Et sous quelle quantité ? Nous vivons dans une économie monétaire. Les biens s’échangent contre de la monnaie, la monnaie s’échange contre des biens mais des biens ne s’échangent pas contre d’autres. La monnaie sert à effectuer des transactions. Ce rôle transactionnel va être primordial. La monnaie n’est qu’un « voile » dans le sens où elle n’est que le reflet des transactions de l’économie

termes de marché, où les prix sont les variables d’ajustement permettant d’assurer l’égalité de l’offre et de la demande sur ces marchés. - Neutralité de la monnaie. La monnaie n’a aucun rôle dans l’explication grandeurs réelles de l’économie. Elle sert uniquement à fixer le niveau général des prix à travers la théorie quantitative de la monnaie. - Priorité accordée à l’analyse de l’offre de biens et de services en négligeant les effets liés à la demande de biens et de services sur l’activité économique

financer leurs achats les firmes émettent des obligations qu’elles vendent aux ménages, les ménages achètent ces obligations parce que pour elles c’est une façon de placer leurs épargnent parce qu’elles perçoivent des intérêts. I = 100M€ constants I = ΔBfm/P = 100M€ constants P = 2 alors ΔBfm = 200M€ courants L’état, on va supposer qu’il a deux composantes (le gouvernement et la BC) ; le gouvernement décide des dépenses publiques G et du montant des taxes T, donc en partie il décide du déficit budgétaire

Courbe représentative de la condition de l’équilibre sur le marché de la monnaie. Condition algébrique de l’équilibre entre la demande L =L( YL(r)) quand mon revenu augmente, entre ce moment et l’acte de la consommation il y a demande de monnaie ( salaire). Dans un contexte de taux d’intérêts élevés quand j’anticipe la baisse je vais convertir de la monnaie en titre grâce à l’effet balançoire, je demande de la monnaie au motif de spéculation, je l’utilise pour l’achat de titres, j’anticipe l’augmentation

-> neutralité de la monnaie Keynes : pas de dichotomie Chapitre 1 : économie internationale et théorie monétaires Chapitre 2 : La mondialisation Chapitre 1 : Economie internationale et théories monétaires Au début du 20ème siècle, dans les années 30, Keynes réhabilite une vision mercantiliste du commerce entre les nations, parce que cette vision avait disparu. Elle avait été anéantie par les théories du commerce international, par les classiques. I. Monnaie et mercantilisme Rappel

D’INVESTISSEMEN C) DU STOCK DE CAPITAL OPTIMUM A L’INVESTISSEMENT CHAPITRE TROIS : L’EQUILIBRE SUR LE MARCHE DE LA MONNAIE SECTION I – L’OFFRE ET LA DEMANDE DE MONNAIE A) L’OFFRE DE MONNAIE B) LA DEMANDE DE MONNAIE a) Le motif de transaction b) Le motif de précaution c) Le motif de spéculation SECTION II – L’EQUILIBRE SUR LE MARCHE DE LA MONNAIE A) L’APPROCHE CLASSIQUE : LA THEORIE QUANTITATIVE DE LA MONNAIE B) L’APPROCHE KEYNESIENNE CHAPITRE QUATRE : L’EQUILIBRE SUR LE MARCHE DU TRAVAIL INTRODUCTION SECTION

: Section 3 : L'équilibre sur le marché des biens et services : L'offre globale de biens et services : L'égalité entre l'épargne et l'investissement : Section 4 : L'équilibre sur le marché de la monnaie : 1. L'offre de monnaie : 2. La demande de monnaie : 3. L'équilibre sur le marché de la monnaie : Section 5 : La logique du modèle classique : 1. La représentation graphique : 2. Les spécificités du modèle classique : L'école classique et l'école néoclassique font partie de l'analyse globale

Fiche Méthode 3 : Euros courants / euros constants En SES, nous mesurons plus souvent les flux monétaires que les flux réels. En effet, ils permettent d'exprimer en une unité commune la valeur de biens, des services ou de facteurs de production qui s'expriment généralement en quantités physiques hétérogènes. ex : des tonnes d'acier, des hectolitres de vin, des heures de travail, des hectares de blé.... I. Valeur courante, valeur constante Si une mesure en unités monétaires

lequel la demande globale va jouer un rôle déterminant. Section I Une approche globale du modèle keynésien. §-1 – L’équilibre sur le marché des biens et services et sur le marché de la monnaie. Hypothèse de départ : le niveau des prix p et l’offre de monnaie M sont considérés comme des constantes. A) L’équilibre sur le marché des biens et services : il est atteint lorsque l’offre globale est égale à la demande globale (OG = DG), c’est à dire lorsque I = S. En courte période, l’épargne

1- L’équilibre sur le marché du travail et la détermination de la production 2- L’équilibre sur le marché de la monnaie 3- La représentation de l’équilibre macro-économique classique 4- L’équilibre sur le marché du capital II- Les traits fondamentaux du Néoclassicisme 1- La stabilité de l’économie 2- La flexibilité des prix et des salaires 3- La toute-puissance de la monnaie III- Les instruments de l’analyse keynésienne 1- La fonction de consommation 2- La fonction d’épargne 3- La