Monologue D Harpagon

spectateurs des époques postérieures. LA COMEDIE DE CARACTERE  Le comédie de caractère est la plus générale et, de ce fait, survit au temps ou à la mode. En effet, elle peint l’homme lui-même, avec ses travers et les défauts inhérents à sa personnalité. Harpagon est avare, et ce t avare, le monde l’a toujours connu et le connaitra toujours. LES GENRES MIXTES  Les genres mixtes admettent une interdépendance entre la tragédie et la comédie. Ils excitent aussi bien le rire que la pitié. LE DRAME DU MOYEN

en scènes. Antonomase (n. f.) : se dit lorsqu’on utilise le nom d'un personnage comme un nom commun pour désigner un personnage de même caractère. Les personnages de Molière ont donné lieu à de nombreuses antonomases, par exemple, on parle d’un Harpagon pour désigner quelqu’un d’avare ou d’un Scapin pour désigner quelqu’un de fourbe. Dialogue (n. m.) : échange entre deux personnages d’une pièce de théâtre. Didascalie (n. f.) : indication scénique donnée par l'auteur pour guider le jeu du comédien

aspect inquiétant ? La scène extraite de La Leçon comporte un aspect inquiétant de part la folie du professeur. L’extrait débute d’ailleurs par le mot « mort » ce qui exprime déjà une certaine ambiance inquiétante. Le professeur déclame un quasi monologue où l’élève ne sert que de « repoussoir » ou plus exactement de faire-valoir. Il ne fait qu’essayer de mettre en avant sa pseudoscience et ne supporte pas le savoir de son élève. La jeune fille va peu à peu devenir la victime, la proie de ce professeur

Pour l'ouverture, vous pouvez utiliser les connaissances acquises en cours sur l'objet d'étude correspondant, évolution de l'écriture poétique, caractéristiques du récit autobiographique, apologue, formes spécifiques du langage théâtral comme le monologue etc... V. Rédiger le développement 1. Ne pas faire de brouillon après avoir recopié l'introduction. Avec un plan détaillé, si vous connaissez bien le vocabulaire d'analyse littéaire et que vous avez souligné les termes ou phrases significatifs

jeux de mots. Tout d’abord, l’auteur utilise des artifices de langage que chacun accepte comme s’ils allaient de soi. Ce sont d’abord les monologues sans lesquels on ne saurait rien des pensées du personnage. Autre artifice du même ordre : l’aparté qui oblige à croire que le personnage présent physiquement sur la scène, n’a pas entendu. Ex : l’extrême monologue délibératif, les stances du Cid. - Concernant l’acteur, personne ne s’étonne du fait qu’on l’ait vu mourir à l’acte V et qu’il se relève

a) Les personnages incarnent souvent des idées ou des passions conflictuelles. Dans la tragédie antique l'être humain est au prise avec la puissance divine et avec ses propres passions. Agon dans protagoniste signifie combat. Plus prés de nous Harpagon est l'incarnation de l'avarice : passion exclusive au pouvoir destructeur qui menace l'ordre social et le bonheur des siens. Songeons à l'affrontement entre Béranger, caractériser par sa naïveté et Jean, incarnation du monstre dans Rhinocéros de

Identifiez et résumez deux exemples de scène qui utilisent le burlesque. - Identifiez une scène de parodie et ses buts. 2) Une satire virulente de la médecine a) Une critique de la cupidité des médecins Activité 4 : Lisez la scène 1 de l’acte I (monologue d’Argan) et résumez son propos. En quoi cette scène illustre la cupidité des médecins ? En quoi le jargon médical est-il ridicule ? b) L’incompétence des médecins Activité 5 : Lisez la scène 9 de l’acte II (l’auscultation des deux Diafoirus) Par

spectateur, c’est pourquoi à une même lecture peut correspondre différentes interprétations. Toutefois, dans la plupart des comédies, un personnage a souvent pour unique fonction de faire rire par son ridicule, tel que Harpagon dans l'Avare de Molière, et son célèbre monologue " je n'en puis plus, je me meurs, je suis mort, je suis enterré " lorsqu’ il découvre le vol de sa "chère cassette. On remarque ici que le personnage a une réaction disproportionnée, c’est justement cette réponse démesurée

Charles-Antoine Coypel. De la maladie va procéder une série de pièces qui prennent pour héros les médecins et leurs malades. En 1668, il a lui-même intégré son mal dans son jeu comique en écrivant L’Avare. « Votre fluxion ne vous sied pas mal, dit Frosine à Harpagon, et vous avez bonne grâce à tousser. » Du 29 décembre 1665 au 21 janvier 1666, le théâtre ferme. Le gazetier Robinet écrit dans une lettre du 28 février : « Molière qu’on a cru mort se porte bien.[46] ». Le 16 avril 1667, le même Robinet écrit

se répondent (stichomythie) aux répliques longues et élaborées qui constituent des tirades (exemple : le récit de Théramène à la fin de Phèdre de Racine). Quand le personnage est seul sur scène (ou se croit seul) et s’exprime, il s’agit d’un monologue. Celui-ci a pour fonction l’information du spectateur et l’introspection du personnage qui fait le point avec lui-même comme Figaro (Le Mariage de Figaro, acte III, scène 5) et parfois délibère comme Rodrigue dans les stances du Cid (acte I, scène