Monologue De Créon

ne peut pas sortir de l’encadrement de la religion, ce qu’on appelle l’intervention divine. Il a gardé la caractéristique de la plupart des oeuvres de son époque - commencé par une déesse et fini par une déesse. Le préambule est constitué par un monologue de Vénus, la première phrase qu’elle a prononcée, est : Je suis Vénus, renommée entre les déesses, et souvent invoquée par les mortels[28] Mais Hippolyte dédaigne l’amour et fuit le mariage, est le seul ici entre les citoyens de Trézène

Thèbes est affligée par la peste. On fait venir Tirésias. Il va commencer à dire à Œdipe que c’est lui l’origine de cette peste, car il a tué son père, Laïos, et couché avec sa mère. Dans un deuxième épisode, Œdipe exile Créon, car il pense qu’il y a un complot entre Tirésias et Créon. A partir de là va se jouer une enquête. Intervention de Jocaste, qui raconte l’oracle qui reçu son père. Œdipe fait venir le vieux berger, qui a vu le meurtre de Laïos. Au troisième épisode. A Delphes, la Pythie annonce

d’un chemin, à la suite d’une dispute. Suit l’épisode du Sphinx – créature mi-femme, mi-lion, avec des ailes d’oiseau – qui posait des énigmes aux passants et dévorait ceux qui ne savaient lui répondre. Triomphant du Sphinx, Œdipe arrive à Thèbes : Créon lui cède le trône et lui donne en mariage Jocaste, dont il a deux garçons, Etéocle et Polynice, et deux filles, Antigone et Ismène. Ici commence l’intrigue principale de l’Œdipe-Roi de Sophocle : une peste ravage Thèbes et l’oracle de Delphes répond

un stimulus et une réponse, il y a de la liberté. 2. Le cognitivisme : Fondateurs : G. Millers, J. Bruner. Principe : une cognition = une pensée, ie toute image arrivant automatiquement à notre esprit. Ce sont comme des auto verbalisations, des monologues intérieurs. En général, l’évaluation première d’une situation compte beaucoup. Ensuite elles occupent le terrain et sont très catégoriques, car elles sont aussi le fruit d’une certaine logique. Notre pensée fonctionne 1 comme un ordinateur

ville en émoi : une sphinge14 fait régner la terreur sur la ville. Elle pose une devinette à chaque homme et tue ceux qui ne trouvent pas la réponse. Même la mort de Laïos est peu de chose en comparaison de la détresse où la sphinge plonge la ville. Créon, le frère de Jocaste, ne trouve pas d’autre solution que d’offrir la main de la reine Jocaste, désormais veuve, à celui qui délivrera la cité d’un tel mal. Sans aucune crainte, Œdipe va voir le monstre. A sa question : « Quel animal a quatre pattes

où nous sommes capables avec nos mots, et même avant les mots, de nous faire des représentations d’images ou des représentations de mots, nous y ajoutons les peurs d’objets concrets, les peurs fantasmatiques de scénario de cinéma intérieur que nous créons... et en prime nous ajoutons l’angoisse, c’est-à-dire la peur sans forme ; alors que la peur, elle, a une forme, puisque c’est une perception, une configuration, une image ; dans l’angoisse, il n’y a pas d’image. L’angoisse, c’est le vide ; la mort

interminable comme celui du messager des perses d’Eschyle. Cette première innovation a plusieurs conséquences sur la structure même de ses représentationstragiques. Toutes en effet s’ouvrent par un dialogue, alors que ses contemporains utilisent le monologue pour désigner aux spectateurs la situation : Sophocle est d’ailleurs devenu célébrai pour la forme dialoguée de ses dialogues. IL crée d’auto part les personnages qui ne sont là que pour qu’un dialogue soit possible. C’est ainsi qu’il fait vivre

aspect négatif, les termes choisis ne sont pas anodins. La formulation que le journaliste va choisir peut avoir un impact sur la représentation des lecteurs. L’immigration est vue ici comme qqch de mauvais, de négatif. Qu’est-ce qu’un discours ? Monologue d’un sujet : c’est donc un acte de communication situé à un certain endroit et à un certain moment. C’est une forme d’utilisation du langage. Discours politique, publicitaire (il y a un certain contexte dans lequel le discours est donné) = phénomène

d’une argumentation indirecte, qui évite la confrontation sans « masque » : l’auteur est dissimulé derrière un porte-voix, un personnage de récit ou de théâtre, auquel il arrive des aventures, ou qui se révèle sur scène par ses tirades ou ses monologues ; le thème de l’argumentation n’en reste pas moins évident : Tartuffe expose sa fausse dévotion en pleine scène, et représente donc par son caractère même une critique du faux dévot ; Rica par sa naïveté feinte met en valeur les dysfonctionnements

coulé et où la durée de la phase armée a favorisé le reflux des intellectuels sur des bases populaires, on assiste à une véritable éradication de la superstructure puisée par ces intellectuels dans les milieux bourgeois colonialistes. Dans son monologue narcissiste, la bourgeoisie colonialiste, par l'intermédiaire de ses universitaires, avait profondément ancré en effet dans l'esprit du colonisé Frantz Fanon, LES DAMNÉS DE LA TERRE. [1961] (2002) 11 que les essences demeurent éternelles