Monologue De La Lettre Princesse De Clèves

nouveau type de roman dans lequel les idées des lumières sont instillées pour apporter un éclairage sur leur temps. Les romans classiques de Mme de Lafayette (La Princesse de Clèves) ; relatent les grands exploits, la grandeur des sentiments des héros. B Le triomphe C'est le mouvement romantique du XVIIIe siècle qui va donner ses lettres de noblesses au roman en cassant les codes et explorant les sentiments personnels. Les auteurs sont souvent politiquement engagés. Puis c'est au tour du réalisme

personnages et construit-il une représentation de l'homme et du monde ? Groupement de textes François RABELAIS, Gargantua, 1534, Chapitre I, « De la généalogie et des anciennes origines de Gargantua » Mme DE LA FAYETTE, La Princesse de Clèves, 1678, incipit « La magnificence et la galanterie (…) l’ornement et l’admiration de leur siècle » Denis DIDEROT, Jacques le Fataliste et son maître, 1778, incipit : “Comment s’étaient-ils rencontrés ?  (…) et vous pour ce délai. »

souvent mythologique ou merveilleux. Par exemple, L’Astrée d’Honoré d’Urfé (1607) évoque l’amour parfait et platonique entre deux bergers, Astrée et Céladon : Astrée croit Céladon infidèle, alors même que le jeune homme repousse les avances d’une princesse ; après de multiples péripéties, ils auront la révélation de la pureté de leurs sentiments en se rendant à la fontaine de la vérité de l’amour… - par réaction, des récits réalistes et comiques tournent en dérision l’univers idéalisé des romans en

vit des aventures par procuration. Le premier grand roman classique est La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette, qui apparaît comme le fondement du roman moderne. Au XVIIIème siècle Le roman offre une grande variété de forme. Les classes bourgeoises s'intéressent au roman. La portée morale est affirmée Le réalisme romanesque connaît son plus grand succès. Le genre du roman épistolaire apparaît en France avec Les Lettres Persanes de Montesquieu Au XIXème siècle C’est le siècle qui consacre le

compagnie des Cadets de Gascogne. Il est amoureux de sa cousine, la belle Roxane, mais n’ose pas le lui avouer car il est complexé par son nez difforme. Roxane aime Christian qui est beau mais peu spirituel : Cyrano lui propose d’écrire à sa place les lettres d’amour qu’il pourra envoyer à la jeune femme. La scène se déroule sous les fenêtres de Roxane qui croit entendre Christian lui déclarer ses sentiments alors qu’il s’agit de Cyrano qui a accepté de rendre une nouvelle fois service à son rival.

plume. Au fur et à mesure qu’il nourrit son esprit, ses pensées évoluent vers l’athéisme. Déjà avec Pensées philosophiques, en 1746, il tend vers la notion de déisme et de religion naturelle. Ce premier ouvrage est aussitôt condamné. Lorsqu’il écrit Lettre sur les aveugles à l’usage de ceux qui voient, la dernière étape vers l’athéisme est franchie. Ainsi, Diderot y avoue sans réserve un matérialisme athée qui le conduit directement à la prison de Vincennes en 1749. Toutefois, il ne démord pas de

roman fait de la vie interieure dans un contexte historique du personnage issu de I'aristocratie acquierent ses heros precis ou leurs aventures une portee notamment de leurs conversations. se deroule Ex: I'action de La Princesse de Cleves (1678) de Mme De La Fayette, histoire tragique d'Henri IV vers 1550, et illustre Ie conflit dassique entre la passion et la raison. d'un amour contrarie, a la cour LE ROMAN AU XVIII· S: VARIETE DES FORMES, DES THEMES ET DES DECORS Au

reproduction du réel. Il est frappant que plus un écrivain s'efforce de ne rien sacrifier de la complexité vivante, et plus il donne l'impression de l'artifice. Qu'y a-t-il de moins naturel et de plus arbitraire que les associations d'idées dans le monologue intérieur tel que Joyce l'utilise ? Ce qui se passe au théâtre pourrait nous servir d'exemple. Depuis que le cinéma parlant nous montre des êtres réels en pleine nature, le réalisme du théâtre contemporain, son imitation servile de la vie, apparaissent

incipit jusqu’à « des grappes de petites bulles savonneuses. » photocopie II. Pour l’entretien : Textes complémentaires étudiés en lecture cursive : * Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves (1678) : le portrait de Mademoiselle de Chartres (photocopie) * Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses (1782), lettre II (photocopie) * Michel Houellebecq, Extension du domaine de la lutte (1994), chapitre 3 (photocopie) Etudes d’ensemble sur les textes : * Les modes de narration et

art: il a souvent la réputation d'être puéril ou (suprême injure!) seulement divertissant. Et l'on voit des personnes très cultivées, intelligentes, ignorer cet art bouillonnant de vie et de fièvre qui se bat, encore aujourd'hui, pour acquérir ses lettres de noblesse. Bien sûr, ces genslà vont au cinéma; mais ils y vont pour se distraire; ou bien, ils y vont pour s'instruire (ce sont eux qui applaudissent le plus vivement les longs-métrages "documentaires"); ou bien encore, nourris de littérature,