Monologue De Médée

A l’instar de nombreux mythes antiques comme Orphée, Œdipe ou encore Médée, Antigone a donné lieu à de nombreuses réécritures. Après Rotrou au XVII°, puis Cocteau en 1922, Jean Anouilh modernise à son tour le mythe en 1944, dans le contexte de la 2nde guerre mondiale et de la résistance. Il mêle alors avec art références, emprunts et écarts. Il ouvre ainsi sa pièce par un prologue d’un genre nouveau qui dramatise ses intentions. Nous nous demanderons comment ce prologue répond aux exigences de l’exposition

– et éructation – le monologue du prince –, narration – le récit – et éructation – le monologue du prince –, comme si Bernhard avait en quelque sorte souhaité “commenter” comme si Bernhard avait en quelque sorte souhaité “commenter” son propre devenir d’écrivain. Comment percevez-vous ce travail son propre devenir d’écrivain. Comment percevez-vous ce travail de la langue, de la syntaxe ? de la langue, de la syntaxe ? K. L. : C’est un texte d’initiation, un monologue souterrain, K. L. : C’est

s'est suicidée.. Les scènes 6 et 7 que nous avons analysé sont les dernières de cette pièce en quatre actes. Dans ces scènes Ajac apprend le suicide de Korée et rejoint le "vieil Argo", avec cette dernière dans les bras,la pièce s'achève avec un monologue d'Ajac partant au combat. Dans l'analyse de ces scènes nous verrons comment les personnages affrontent la fatalité de leur destin,l'examen du texte portera d'abord sur le dénouement qui met un point final au parcours des personnages qui acceptent

qui est à la fois père, mari et roi. On peut se demander en quoi dans ce monologue le doute ultime du roi sur la nécessité du sacrifice crée une tension dramatique. Pour cela, on étudiera d’abord comment le discours du roi tente de résoudre le dilemme, puis comment est exprimée la souffrance causée par ce dilemme, et enfin nous réfléchirons sur la particularité de ce roi de tragédie. I- Un dilemme complexe Le monologue d’Agamemnon présente un dilemme complexe auquel le personnage est confronté

Médée est une des grandes figures mythiques maintes fois traduites en littérature. Elle est considérée comme l’une des créatures féminines les plus noires de la mythologie antique. Elle appartient au petit nombre des grandes criminelles de la mythologie grecque. Au cours des siècles, le mythe de Médée a attiré de nombreux écrivains et dramaturges : Euripide[1], Sénèque[2], Corneille, Anouilh, Pasolini et Max Rouquette qui écrivait en langue d’OC. Chez tous ces auteurs, Médée est une femme

dans une famille bourgeoise de Metz. Dès sa jeunesse il est ancré dans la révolte (à l’image de celle de Jean Genet) ; et s’initie à la musique de Jean-Sébastien Bach avec l’organiste Louis Thiry. Il voit, à l’âge de vingt ans, Maria Casarès dans Médée. Il rencontre Hubert Gignoux, alors directeur du TNS Théâtre national de Strasbourg, qui lui propose d’intégrer l’école du TNS ; il y entre en section scénographie, puis y réalise une dizaine de mises en scène. Il commence alors à écrire pour le théâtre

pensionnat se déroule difficilement. Il effectue son premier voyage au Canada à 18 ans, voyage qui le marqua profondément1. Il s’initie à la musique de Jean-Sébastien Bach avec l’organiste Louis Thiry. Il voit, à l’âge de vingt ans, Maria Casarès dans Médée. Il rencontre Hubert Gignoux, alors directeur du Théâtre national de Strasbourg (TNS), qui lui propose d’intégrer l’école du TNS ; il y entre en section scénographie, puis y réalise une dizaine de mises en scène. Il commence alors à écrire pour le

pensionnat se déroule difficilement. Il effectue son premier voyage au Canada à 18 ans, voyage qui le marqua profondément1. Il s’initie à la musique de Jean-Sébastien Bach avec l’organiste Louis Thiry. Il voit, à l’âge de vingt ans, Maria Casarès dans Médée. Désirant devenir acteur, il passe le concours d'entrée du Théâtre national de Strasbourg (TNS) mais il n'est pas admis. Il envoie sa pièce Les Amertumes, écrite d'après Gorki, à Hubert Gignoux, alors directeur du TNS, qui impressionné par le talent

pensez-y et décidez-vous, si ce n’est pas déjà fait !] LECTURES CURSIVES PROPOSEES 1. Sophocle, Œdipe Roi 2. Shakespeare, Hamlet, 1598 3. Corneille, Médée, 1635 4. Corneille, Horace 1640 5. Molière, Tartuffe , 1669 6. Racine, Phèdre, 1677 ou

en bouc (en satyre). Les sujets abordés sont tirés des grandes légendes: Hercule ect... La tragédie montre les rapports entre les hommes et les dieux, la justice. Trois auteurs connus : Eschyle (Prométhée enchainé); Sophocle (Œdipe roi); Euripide (Médée). Plus tard à Rome c'est Sénéque qui continuera (Phèdre). C) Rappel historique de la comédie : Elle est née en Sicile (Italie), le mot vient des "Komoi", qui sont des processions burlesques (genre de carnaval où les gens se déguisent pour