Monologue De Tarrou

VI. On y présente Tarrou, assis à coter du docteur Rieux sur la terrasse du vieil asthmatique que les deux protagonistes vont voir souvent pour son état de santé. Tarrou fait des confessions à Rieux après lui avoir demandé s’ils étaient amis. Il lui raconte son enfance, la vie de sa famille, ses décisions. Comment l’auteur s’exprime-t-il à travers Tarrou ? Nous répondrons à cette question en étudiant d’abord les références à la guerre avec l’exécution décrite par Tarrou, puis en analysant

VI du livre. Il nous expose une scène entre Tarrou et Rieux : Tarrou se confie à Rieux sur son passé qui le hante quotidiennement Comment l'auteur se sert-il de la maladie pour dénoncer le nazisme pendant deuxième guerre mondiale ? Nous tenterons de répondre à cette question en étudiant d'abord la description mortelle par Tarrou, l'évocation de ses sentiments puis le lien que fait Camus entre la peste et le nazisme. Au début de l'extrait Tarrou nous décrit la fusillade d'un homme. On remarque

selon Rieux. Tout les personnages importants sont présent Grand Tarrou Paneloux Rambert Rieux. Ils assistent l’agonie de l'enfant. -Cette scène est centré sur 2 personnages Tarrou et Rieux. Ils sont situer sur terrasse lieu qui domine et la ville lieu propice a la confession. Tarrou commence par une énigme il affirmait qu'il connaissait la peste bien avant de connaître cette ville et ses habitants. -La peste a desserré son étaux. Tarrou est l'une des dernière victimes .Début février les portes de

gardé de cette journée […] le plus abject des assassinats » Objectif : Le récit porteur de leçon. Elements d'introduction : => Situation du passage : La sixième section centrée sur Rieux et Tarrou. Ils sont sur une terrace qui domine la ville => En dehors de la Peste, impression. On a un monologue où Tarrou raconte sa vie à Rieux. C'est à partir d'ici qu'une amitié liera ces deux personnages. PBK : En quoi ce récit permet-il une dénonciation de la peine de mort ?En 1957, « Réflexion sur la Guillautine »

Séance 6 : La confession de Tarrou Objectifs : Rieux et Tarrou se rendent chez le vieil asthmatique et sortent sur la terrasse de sa maison : le second raconte son passé dans une sorte de monologue qui prend la forme d'une confession. Il s'agit d'un épisode important du roman car il livre une clef symbolique de lecture de l'oeuvre. La peste est ainsi l'allégorie de la condition de l'homme meurtrier, l'image de son statut naturel de meurtrier qui le pousse à tuer, même " de loin ", même "

Objectifs : Rieux et Tarrou se rendent chez le vieil asthmatique et sortent sur la terrasse de sa maison : le second raconte son passé dans une sorte de monologue qui prend la forme d'une confession. Il s'agit d'un épisode important du roman car il livre une clef symbolique de lecture de l'oeuvre. La peste est ainsi l'allégorie de la condition de l'homme meurtrier, l'image de son statut naturel de meurtrier qui le pousse à tuer, même " de loin ", même " dans la bonne volonté " (cf. " ce qui est

La Confession de Tarrou – texte 16 : La Confession de Tarrou – texte 16 : Camus a donné une place important à Tarrou. Confession = c’est pas un confession religieuse à il va se confier. C’est un personnage mystérieux. C’est le fils d’un procureur. C’est une petite partie de son très long monologue (environ 9 pages) face à Rieux. Pour mieux comprendre l’extrait : Tarrou est comme Hugo face a Hoederer : Tarrou dit « nous nous battons pour sauver des hommes mais au final on en tue » genre il faut en

vous serez puissant ou misérable, Les jugements de la cour vous rendront blanc ou noir " et implicite dans " Le Sultan". Quant au texte d'Albert Camus, "La confession de Tarrou", extrait de La Peste, et au texte de Roy Lewis, extrait de Pourquoi j'ai mangé mon père, il s’agit du genre romanesque. Le premier se compose d’un monologue, le second consiste en une alternance de récit et de dialogue. Même si ces textes sont des genres distincts, ils s’articulent tous autour d’une narration et partagent

il fait une dernière victime en la personne de Tarrou, l'ami du médecin Rieux, le héros du roman. À midi, la fièvre était à son sommet. Une sorte de toux viscérale secouait le corps du malade qui commença seulement à cracher du sang. Les ganglions avaient cessé d'enfler. Ils étaient toujours là, durs comme des écrous, vissés dans le creux des articulations, et Rieux jugea impossible de les ouvrir. Dans les intervalles de la fièvre et de la toux, Tarrou de loin en loin regardait encore ses amis. Mais

enfermés dans nos chambres » « le peuple se tait » « quel silence, quel silence » : répétition pour insistance, + ponctuation importante avec les points de suspension qui montrent peut-être le désespoir de Dora « « joie pure et solitaire » « monologue » « flamme de la vengeance et de la révolte » « je me demande si l’amour n’est pas autre chose » « une réponse » « le soleil brille » « les bras s’ouvrent » « petite heure d’égoïsme » « tendresse » « douceur » >> tout le discours de Dora