Monologue De Solange

Département de Français CSJ ANTOURAClasse de 1re F 1Lycée 1CORPUS POUR LE COMMENTAIRE Texte 1 : Corneille , L’Illusion comique , Acte V, scène 5, 1639. Pridamant cherche son fils Clindor, qu’il n’a pas vu depuis dix ans. Le magicien Alcandre l’amène dans une grotte d’où il peut voir la vie de Cindor se dérouler sous ses yeux. Désespéré de voir son fils mourir sous ses yeux, Pridamant veut mourir à son tour. Comment ce passage illustre-t-il

sinon il pourrait se vexer.Lisa : Là-bas c'est les trois bouffonnes : Sarah, Sophie et Solange.Léa : Inutile de te préciser que ce ne sont pas nos meilleures amies.Aurélie : J'ai cru comprendre.Lisa : Lui, là-bas c'est Théo il est raide dingue de Solange ...Léa : (sourire moqueur) Ça en dit long sur ses goût de chiotte !Juliette : Mais il est assez sympa ^^Lisa : A côté c'est Rémy, le frère de Léa.Aurélie : C'est ton frère ? O_OLéa : Bah quoi ?Aurélie : Non rien ça m'as surprise c'est tout ...Lisa

KOUOKAM A.Karel. * WOMSI SIMEU Claire. * YACOUBOU HAYATOU. * YAMB E.Landry. * YENE MEDOUA S.Franck. Examinateur : Mme Solange EZO’O PLAN DETAILLE : I- LA THEMATIQUE DE L’ŒUVRE. 1- La Satire du Racisme dans La Croix Du Sud (YENE). 2- La Dénonciation du Matérialisme (YAMB). 3- La Stigmatisation de l’Amour Intéressé (TCHOUTA). II- LA SITUATION

Jours. Winnie est enterrée dans le désert, jusqu’au buste, mais vivante. Elle passe son temps à se remémorer sa vie auprès de son mari Willie. Elle est la représentation même du courage des personnes dans le malheur. Durant toute la pièce, elle monologue, prie, raconte, chantonne, recense ses derniers maux, avant d’être ensevelie par le désert. Calderon La Vie est un Songe. Basile, roi de Pologne, a fait enfermer son fils Sigismond. Les astres avaient prédit la mort de sa mère au moment où

du spectacle sinon il ne provoquerait pas du plaisir. ● Ruptures de la vraisemblance, de l’illusion : → Interpellation du spectateur = franchissement du 4eme mur (EX: monologue dans L’Avare ) → Les a parte : un personnage s'excluent de l'échange pour communiquer qlq chose au spectateur → Monologue a la limite de la vraisemblance ( Hernani le comte, Mariage acte II scène V, Cinna acte I scene I) → Dans les pièces préclassiques avec les changements d’espace, de temps…

de soumission. La domination de Claire s’exprime par les ordres qu’elle donne, les remarques méprisantes et humiliantes qu’elle adresse à Solange, sa posture. On pense au sadisme de Claire. La soumission de Solange est soulignée par l’ignorance du mépris qu’elle subit, les marques de respect, son obéissance et ses postures. On pense au masochisme de Solange. Piste 2 La situation, les attitudes, le thème de la bonne séduite, les soupçons de la maîtresse suggèrent une caricature de la maîtresse

intimes apparaissent à travers une parole bien écrite qui actualise des scènes ordinaires dont déborde son œuvre. La représentation de la parole dans l’œuvre de Minyana nécessite une langue libérée, prise sur le vif, qui caractérise souvent les monologues ; Chambres, Inventaires, André. Et une langue structurée, stylisée dans d’autres pièces 16 comme : Drames brefs(1), Drames brefs(2), Le Couloir, La maison des morts, Retour, Ça va, voilà. Car la parole est proférée pour l’oreille, la mémoire

intervenir dans tous les espaces et à différents moments de l’intrigue, sans se faire remarquer par un costume ostentatoire. Implicitement, ce costume suggère la ruse du personnage, mais renvoie aussi à son histoire, telle qu’il la raconte dans le monologue de l’acte V. Figaro a dû ruser et jouer des coudes pour se faire une place dans la société et son costume, tel que Christopher Rauck l’a choisi, lui a permis d’avancer dans les méandres de la vie, et de passer inaperçu dans les moments périlleux

le page, cet adorable Chérubin qui exprime toute la fraîcheur et le premier ébattement des sens, n’ont rien perdu. Figaro, tel qu’il se dessine ici dès l’entrée et tel qu’il se prononce à chaque pas en avançant dans la pièce, jusqu’au fameux monologue du cinquième acte, est peut-être celui qui perd le plus. Il a bien de l’esprit, mais il en veut avoir ; il se pose, il se regarde, il se mire, il déplaît. Figaro est comme le professeur qui a enseigné systématiquement, je ne dirai pas à la bourgeoisie

Suzanne, le page, cet adorable Chérubin qui exprime toute la fraîcheur et le premier ébattement des sens, n’ont rien perdu. Figaro, tel qu’il se dessine ici dès l’entrée et tel qu’il se prononce à chaque pas en avançant dans la pièce, jusqu’au fameux monologue du cinquième acte, est peut-être celui qui perd le plus. Il a bien de l’esprit, mais il en veut avoir ; il se pose, il se regarde, il se mire, il déplaît. Figaro est comme le professeur qui a enseigné systématiquement, je ne dirai pas à la bourgeoisie