Monologue De Tartuffe

types d'exposition : 1 - le dialogue entre un personnage principal et un personnage secondaire (ex : Héros/ confident) 2 - un monologue du personnage principal 3 - le dialogue entre deux personnages principaux (plus rare) 4 - le dialogue entre deux personnages secondaires. NB : il arrive que l'exposition soit éparse et répartie sur plusieurs débuts d'actes (cf. Tartuffe de Molière). Le confident : il joue un rôle très important dans la tragédie classique. C'est un témoin silencieux dont

laquelle un valet se révolte contre un marquis en apprenant que ce dernier veut « profiter » de sa fiancée, Suzanne, avant son mariage avec Figaro. La critique touche ici la noblesse et ses privilèges, comme on le voit notamment dans le célèbre monologue de Figaro : « Noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier ! Qu’avez-vous fait pour tant de biens ? Vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus » (V, 3). Les auteurs contemporains, eux aussi, cherchent à critiquer la

mieux, cette “folle journée” nous introduit dans un monde poétique, à demi réel, à demi rêvé, où règnent l'esprit, l'amour et le hasard. On goûte le brio étincelant de ses répliques, de la tirade où est définie la politique (III, 5) ou du grand monologue de Figaro (V, 3). La comtesse, Suzanne et Figaro, unis par l’intelligence la plus subtile, déjouant les projets du comte et, le rendant ridicule, l’amenant au repentir, la pièce est aussi une comédie de caractères par la diversité des types humains

Sganarelle parle. ●Locuteur : Sganarelle : « je », « en moi » → pronoms personnels [ « en moi » sens plus fort], « mon » [adjectif possessif], « me » [cos] ●Destinataire : Gusman : « tu », « toi », « je t’apprends » → Il ne s’agit pas d’un monologue car la première et la deuxième personnes sont présentes et même réunies : « séparons-nous » ● Sganarelle fait des confidence à Gusman : «je t’apprends », « si je te disais », « si tu connaissais », « je t’ai fait cette confidence » → conséquence

d’abord, jusqu’au XIXème siècle, le théâtre est avant tout un texte spécifique contenant des dialogues destinés à être lus et non joués. Ces dialogues expriment d’abord le point de vue, le style, l’esprit de leur auteur comme, par exemple, dans le monologue de Figaro de Beaumarchais ou bien sa vision de l’amour comme dans celui de Phèdre de Racine ou comme dans On ne badine pas avec l’amour où Musset évoque la cruauté des sentiments. Le texte théâtral est aussi un instrument politique, tant sous Louis

classique. Espace scénique : espace défini par le jeu des comédiens, les décors et les accessoires. Espace scénographique : ensemble formé par la scène et la salle. Cet espace ne dépend pas du metteur en scène. Monologue : longue réplique prononcée par un personnage seul sur scène. Monologue délibératif : discussion qu’un personnage tient avec lui-même seul sur scène, afin de sortir d’un dilemme et de passer éventuellement à l’action. Réplique : parole prononcée par un personnage. Tirade : longue

Elle est soumise à des règles[réf. nécessaire] qui consistent à présenter l'intrigue (c'est-à-dire la situation de l'histoire), le contexte (spatio-temporel...) les décors de la pièce, les costumes des personnages et les personnages et leurs liens (Tartuffe de Molière), de façon claire, intéressante, "vraisemblable" ; elle doit être entière, courte et doit intriguer le spectateur. Elle peut aussi être considérée comme la moins intéressante de l'œuvre (ex: Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac).[réf. nécessaire]

Le Tartuffe ou l’imposteur I - Les personnages La pièce comporte dix-sept personnages, si l'on compte M. Loyal, l'exempt, Flipote (figurant plus que figure) et les personnages invisibles (Laurent, Louis XIV, Orante, Daphné et son époux). Hormis ces personnages annexes, et sans parler de Tartuffe, personnage central, les huit personnages de la pièce appartiennent ou sont Sur le point d'appartenir à une seule et même famille. Trois générations y sont représentées. Madame Pernelle incarne l'aïeule;

compromission. La représentation empêche que l’on s’arrête, que l’on revienne en arrière. L’importance accordée à la parole est manifeste également dans le théâtre versifié. Les tragédies de Corneille ou de Racine, certaines comédies de Molière, telle Tartuffe, sont écrites en alexandrins et s’apparentent à la poésie. Le théâtre est indéniablement « parole » et cette parole est littéraire. 2) La parole est un élément moteur du théâtre occidental Notre théâtre est bien un « théâtre de parole » car c’est

d'un roman. Elle est soumise à des règles qui consistent à présenter l'intrigue (c'est-à-dire la situation de l'histoire), le contexte (spatio-temporel...) les décors de la pièce, les costumes des personnages et les personnages et leurs liens( ex: Tartuffe de Molière ), de façon claire, intéressante, "vraisemblable", elle doit être entière, courte et doit intriguer le lecteur, ce qui le poussera à lire la pièce dans son intégralité. Elle peut aussi être la moins intéressante (ex.Edmond Rostand, Cyrano