Monologue Dieu

Bérénice : Monologue de Titus Racine, 1670 I/ Mise en scène du déchirement tragique 1)Une période de déchirement didascalie « seul » → insiste sur la solitude du personnage perso → locuteur et destinataire ( apostrophe v1 et 27 ) modalité interrogative : donne un ton suspensif modalité exclamative : plaintes → regrets → dédoublement → convention théâtrale → au service du sentiment tragique du combat désespère contre soi, fait ressortir l'extrême du perso. 2)Ton et rythme de

FICHE BERENICE DE RACINE I UN MONOLOGUE DELIBERATIF A monologue Il est le seul a parler, c'est une tirade. Dédoublement du personnage. Dilemme: entre l'homme amoureux et l'empereur; véritable combat B délibération temps verbaux: 1ere partie: futur -> espoir, rêve (hypothèses) 2me partie: milieu-> impératif (ouvre v.15) 3eme partie ->passé simple/passé composé -> Titus est conscient qu'il a déjà été condamné par les romains. + différents arguments. + décision finale : Titus

conflit entre Antigone et Créon dans l’Antigone d’Anouilh ; le monologue délibératif (celui de Rodrigue dans Le Cid) remplit ce rôle : le conflit est intérieur. Le conflit est l’essence même du théâtre. Le conflit fait progresser l’action. Le théâtre (drama = mouvement) est action. Le conflit est l’essence même du dialogue : le dialogue suppose deux personnes (di) ; si elles sont d’accord, elles ne font que donner deux voix à un monologue. Le conflit est au cœur des intrigues : dans la comédie , le

Les monologues notamment, sont courants au théâtre. Cependant si une personne se mettait à parler toute seule dans la vie réelle, elle serai prise pour folle. Au théâtre vu qu’il n’y a pas de narrateur, les monologues permettent aux spectateurs de savoir les pensées du personnage qui parle seul sur scène. Dans l’Avare de Molière, à la scène 7 de l’acte IV, Harpagon se met à parler tout seul, tout en recherchant sa casette « Au voleur! Au voleur! À l’assassin! Au meurtrier! ». Ce monologue est comique

intérieur Ce monologue met en scène le profond désarroi de Titus A.les manifestations d’émotion dans la parole de Titus B.l’usage des pronoms combat Dédoublement du personnage : dilemme; entre l'homme amoureux et l'empereur; véritable combat tu= voix de la raison ( extérieure à lui même ) je= voix de la passion ( intérieure: le je ) discours argumentatif :  l'empereur l'emporte; l'homme amoureux s'efface a la fin : "je" = le sentiment d'honneur à tué l'amoureux II. un monologue délibératif

déictiques temporels comme ‘Aujourd’hui’ : 1er mot du roman. • Pas d’avantages, ni d’indices de date propre au journal, pas d’intimité. d) Est-ce un monologue intérieur ? • Ce sont essentiellement les faits qui y sont consignés. Les faits ne relèvent pas de l’introspection : ‘J’ai pris l’autobus’, ‘j’ai mangé au restaurant’, ‘j’ai couru’… • Le monologue intérieur suppose une intériorité à laquelle échappe le récit. • Invasion du ‘je’ présent plus de 10 fois dans les 2 premiers paragraphes.

mère coupable, le Barbier de Séville ou encore Le mariage de Figaro. Ce dernier, écrit en 1784, relate (Paratexte). La problématique étant : « En quoi le monologue de Figaro est-il un blâme ? » nous verrons tout d’abord comment les reproches et puis la dénonciation de l’injustice sont abordés dans son monologue. En premier lieu, le monologue de Figaro laisse apparaître des reproches adressés au compte, à Suzanne et à lui-même. I. Reproches a) Suzanne v.1 répétition de « femmes » pour montrer

Antigone, la domination de Mme de Pernelle face aux autres personnages. Cette scène sert aussi a introduire les personnages qui ne sont pas présent pour le moment, je cite texte 1 « Cinna », «Auguste » alors qu’Emilie est en train de faire un monologue, elle parle de personnages dont nous n’avons pas connaissance. La scène d’exposition sert aussi a montrer a quel moment de la vie se déroule la scène, en effet la situation présentée dans une pièce de théâtre classique doit répondre à l’unité de

I. La question sur le corpus Le monologue est souvent utilisé au théâtre, il correspond au fait qu’un personnage soit seul sur scène pour prononcer une tirade. Les quatre extraits de ce corpus en sont des exemples, nous retrouvons : la scène I de l’acte I de Georges Dandin de Molière, la scène III de l’acte V du Mariage de Figaro de Beaumarchais, la scène I de l’acte III de On ne badine pas avec l’amour de Musset et la scène d’exposition de « il y avait foule au manoir » de Tardieu.

comme toujours aveceux. On peu diviser cette scène en deux parties nettement repérables : le monologue parodique de la Mère Ubu, puis une scène utilisant toutes les ressources du comique théâtral. Nous étudierons doncles éléments propres au registre comique : I. Le monologue de la Mère Ubu : Il est assez rare dans la pièce qu’un personnage fasse un monologue, encore moins un long. En effet le monologue sertsouvent à comprendre la psychologie d’un personnage, or ce n’est pas du tout le but de Jarry