Monologue Et Solitude

■ Question PRÉPARATION m Ce que l’on vous demande • Le mot « forme » renvoie aux différents types de scènes que l’on trouve au théâtre : dialogue, monologue, tirade… (voir sujet n° 6 p. 178). • Quand vous l’aurez identifiée, caractérisez cette forme (ici le monologue), ses marques communes dans les trois textes. • Indiquez pour chaque scène les marques caractéristiques de cette forme théâtrale – qui est une convention – avec des références précises. • Puis, en travail préliminaire (la réponse

Dans cet extrait Figaro est persuadé d’être trompé et guette ici Suzanne qui a donné rendez-vous au comte. Cette situation d’attente permet au personnage éponyme de se laisser aller et d’exprimer toute son amertume. La convention théâtrale lié au monologue permet au spectateur connaître les penser du protagoniste. Figaro nous touche à la fois par son désarroi mais aussi par sa combativité. Le spectateur s’attache du coup de plus en plus au personnage, se dernier n’étant plus vu comme un simple valet

Fuis ma contagion » (v.987) Ses échecs permettent de balayer sa vie : - Combats = passé - Amitié = présent - Amour = futur Toute sa vie est vouée à l’échec, il ne peut plus en ressortir. B) Alternative dialogue / monologue Début du vers 981 => Jeu entre dialogue & monologue 3 apostrophes v973 renforcées par « J’ai pris vos meilleur fils » V. 977 « La vaillante Espagne » qui résume & regroupe cette appellation Impression de dialogue entre lui & les douleurs qu’il a causées à l’Espagne Vers

français. Je vais faire le commentaire de la scène 1 de l’acte V de la pièce de théâtre d’Andromaque. Cette scène ce situe dans le dernier acte de la pièce. C’est une solitude d’Hermione pendant que se célèbre le mariage de Pyrrhus, son amant qui est tombé amoureux d’Andromaque, et qui se marie avec à ce moment même. C’est un monologue classique. Je vais donc tenter d’expliquer ce texte par l’exaltation des sentiments et la rigueur de la construction. On peut observer de nombreuses contradictions

répar:es dérivent vers la logorrhée. On assiste à une désar:cula:on du langage au point de se réduire uniquement au son, des répliques décousues, incohérente, souvent cacophonique qui donnent le sen:ment que le langage est vide de sens et des monologue dialogique qui plongent personnage et spectateur dans le désarroi. D’entrée de jeu, MME Smith parle de son souper à M. Smith : « MME. Smith : Tiens, il est neuf heures. Nous avons mangé de la soupe, du poisson, des pommes de terre au lard, de

permet sa métamorphose » ( Fascicule de L'Illusion Comique ): Le fait d'avoir approché la mort de près va le motiver dans son choix de devenir comédien, ou la mort reste fictive et où l'on peut s'en relever. La mort est ensuite évoquée lors du monologue de Clindor en prison, par lequel il va tenter de se préparer mentalement à son exécution. Il s'agit au départ d'un discours philosophique et moraliste qui transformé ensuite en une sorte de panique due à la peur de la mort, qui va être appaisée par

Louise en présence de son frère Léon. Scène 6 : Marie et Catherine évoque tristement la sainteté passée de Lorenzo, et sa corruption présente. Maffio et les autres bannis maudissent Florence. Acte 2 : Un personnage énigmatique Scène 1 : Monologue de Philippe Strozzi : l'humaniste s'exhorte à l'action. Pierre, qui a forcé Léon à lui avouer l'insulte de Salviati, court à la vengeance. Scène 2 : En présence de Valori, Lorenzo scandalise l'âme innocente du jeune peintre Teobaldo, puis l'invite

Les Mouches (1943), Jean-Paul Sartre, Acte II, Scène 7 Le monologue d’Electre Sartre : * 1905 – 1980 * Romancier / Dramaturge / Philosophe engagé * Existentialisme : l’Homme forme l’essence de sa vie par ses actions I/ La représentation de la mort – mise en évidence du caractère problématique de celle-ci a) Une mort omniprésente : présente par l’absence b) D’une mort idéalisée à la réalité de celle-ci c) Violence et monstruosité II/ Electre – étude des différents

roman de Michel Tournier, « Vendredi ou les lymbes du Pacifique », qui imagine un naufragé coupé de tout rapports à autrui. Et en montratnt ce que nous enlève l’absence d’autrui, on mesure en effet tout ce que sa présence nous apporte. Car dans sa solitude, Robienson ne parvient plus à imaginer d’autres points de vue que le sien. Mais alors il finit par ne plus savoir si ce qu’il voit existe vraiment. Privé du point de vue d’autrui, Robienson sombre progressivement dans la folie. Mais autrui ne me

rend cette lettre plus vivante, au rythme rapide, et lui donne des allures de dialogues entre la présidente et ses destinataires, notamment grâce à la présence de phrases interrogatives, exclamatives et impératives de Tourvel. En effet, lors de son monologue, elle donne l’impression d’avoir les destinataires bels et bien présent et dialoguant avec elle, elle leur pose des questions (« Auteur de mes fautes, quels droit à tu de les punir ? » l. 14/15) et les visualise dans sa folie (« Mais quoi ! C’est