Monologue Et Tirade Comparaison

contenu. La forme doit répondre aux consignes intégrées dans l’énoncé : un monologue explicatif et non délibératif (où Arthenice s’interrogerait sur ses sentiments amoureux pour Timagène, ou amicaux pour Mme Sorbin). L’action de La Colonie commençant in medias res, on peut imaginer une scène d’exposition qui explique comment et pourquoi Arthenice se trouve sur cette île (cf. George Dandin, acte I, sc. 1). Pour que le monologue soit cohérent avec la suite, il faut aussi laisser au personnage son

passage du mariage arrangé au mariage d’inclination qui suppose que les prétendants doivent se plaire pour qu’il y est mariage.Dans l’échange entre lisette et Silvia on voit de façon de parler différentes, Silvia développe et argumente a travers ses tirades pour montrer qu’il faut se méfier des hommes et s’assurer que c’est de bonnes personnes. Au contraire, a travers les répliques de lisette plus courtes et imagée on perçoit le désintêret quant a l’argumentation de sa maîtresse ce qui légitimement

se plaint comme un enfant et exagère les faits : « j’ai perdu Angélique et je la perds pour jamais » (R5) suggérant implicitement la mort d’Angélique alors qu’il n’en est rien. - Si le mal de vivre du Ch semble exagéré, sa longue tirade nous rappelle les monologues plaintifs de la tragédie du 17ème s. On a l’impression que le Ch est un personnage tragique sur lequel le destin s’acharne, or il s’agit simplement, pour ce qui le concerne, d’un amour perdu à cause d’un père peu conciliant. D’ailleurs

résistance, il en ressort une vision assez sombre du pouvoir politique. Dans le passage que nous allons étudier, Créon tente de justifier les lois qu’Antigone trouve injustes, en exposant sa conception du pouvoir. Il apparaît ainsi à travers cette tirade comme un personnage de roi atypique, délivrant une véritable leçon de réalisme politique et exposant une vision pessimiste du pouvoir et de la société. Plan détaillé : 1. Un personnage de roi atypique a) un roi « hors de lui » : commenter : - la didascalie

registre de langue peut être courant, familier ou vulgaire, soutenu ou littéraire, etc. Ne pas confondre « registre littéraire » et « registre de langue » Les figures de style Elles sont nombreuses. Il existe des figures d’opposition, d’identité (comparaison, métaphore), des figures d’amplification : atténuation ou exagération, etc. Mentionnez-les seulement si vous pouvez en dégager un sens dans l’étude de votre texte Les accents toniques ou le rythme Le rythme est une composante musicale de la langue

Relevez les occurrences du verbe « voir » dans la pièce b) Commentez le cri de Macduff découvrant le corps mort de Duncan : »Horror ! horror ! horror ! la langue ni ne cœur ne peuvent te penser ni te nommer » (II,3, 827, p. 71). c) Commentez la comparaison du spectacle du meurtre de Duncan à la Gorgone (II,3, 838, p.72). d) Commentez l’image de la « peau d’argent avec son sang doré », par laquelle Macbeth décrit la vision du corps ensanglanté de Duncan (II,3, 889, p.74). e) Commentez l’analyse que

l’esprit). 7. L14 « cent membres et visages » représente un monstre protéiforme. 8. L15 « lécher »+ « effleurer » métaphore lécher différents d’effleurer. Fonctions explicative et humoristique Montaigne utilise a la ligne 1 la comparaison entre « le jugement » qui est une faculté de l’esprit et « un outil », un objet qui n’a de valeur que dans l’usage pertinent que l’on en fait. On remarque que le seul outil cité par Montaigne est « le scalpel » l16 qui ouvre la métaphore du chirurgien

GENERALES Travail préparatoire à l’issue de chaque séquence et à la fin de l’année Faire un bilan personnel : qu’est-ce que j’ai pensé de ce texte, de cette séquence ? Quel lien puis-je faire avec ma vie, mes idées, l’actualité ? Etablir des comparaisons entre les différents textes étudiés en lecture analytique mais aussi les documents complémentaires. Faire réellement les lectures cursives et se préparer à en parler : résumé de l’histoire ? passages préférés ? liens avec la séquence ? opinion

trouver le bonheur. Lecture du texte… Est-ce-que Meursault parvient à la paix et à l’acceptation de soit ? Dans une première partie, nous analyserons le monologue tragique. Ensuite, dans une seconde partie nous montrerons l’absurde paradoxe de la condition humaine. Et enfin, nous verrons une paix salvatrice. I ] Un monologue tragique. A) Une construction rigoureuse. * Construction en deux parties. 1ère partie, aumôniers. 2ème partie, lui-même. * 1- : discours indirect

L’argumentation Les genres argumentatifs Présent dans presque tous les énoncés, le discours argumentatif se retrouve logiquement dans tous les genres (au théâtre : tirades, monologues…, en poésie, dans les romans, dans l’écriture épistolaire…). Il prédomine cependant dans les genres suivants : • L’essai : c’est, d’après les dictionnaires, un ouvrage ou un long article dans lequel l’auteur traite délibérément d’une question. C’est souvent un texte d’idées à la première personne où la