Monologue Introspectif

désespoir : désespoir caractérisé dans la pièce par des pulsions destructives de Caligula. Cette scène est le dénouement de la pièce. Il tente de se substituer au destin en tuant tout le monde autour de lui. Il prend conscience de son échec dans ce monologue. Son meurtre paradoxalement achève la pièce sur une réussite : il est assassiné par une révolte. Dans ce passage, nous nous intéresserons au dédoublement du personnage de Caligula, I ) Un denouement spéctaculaire : A ) L'effet de cloture

Bérénice, Racine : Acte 1 scène 2, Monologue d’Antiochus p. 28. Introduction : La première scène est informative. Un effet d’attente est créé : Pourquoi Antiochus veut-il parler à Bérénice ? La fin de la première scène introduit la suivante « Va » qui indique qu’Arsace va partir et qu’Antiochus se retrouvera donc seul et pourra faire son monologue. Cette pièce est une tragédie classique avec un thème trouvé dans l’histoire romaine. « Invitus, invitam, dimisit » est une citation latine de

est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos, Sa femme, ses enfants, les soldats, les impôts, Le créancier, et la corvée Lui font d’un malheureux la peinture achevée. Monologue au discours indirect libre : bilan, introspection Il appelle la mort, elle vient sans tarder, Lui demande ce qu’il faut faire C’est, dit-il, afin de m’aider A recharger ce bois ; tu ne tarderas guère Le dialogue avec la mort Le

| | |Il met bas son fagot, il songe à son malheur. |temporels | | |Quel plaisir a-t-il eu depuis qu’il est au monde ? |Monologue au discours indirect | | |En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? |libre : bilan, introspection | | |Point de pain quelquefois, et jamais de repos,

Elle est obnubilée par la mort => la vie n’a plus grand intérêt. 1. L’expression de l’incertitude Le passage des interrogations (l. 16-21) souligne encore une fois l’aspect obsessionnel de cette réflexion sur la mort. C’est un monologue intérieur introspectif, elle s’interroge sur l’existence, c’est une interrogation lyrique. 2. L’entrelacement des thèmes de la vie et de la mort Cet entrelacement traduit l’angoisse et l’inquiétude « Je trouve la mort si terrible que je hais plus la vie »

racontes qui diffèrent dans le style et en part dans l’histoire: L’âge de la discrétion, monologue et une femme rompue. Les trois histoire sont imbriquées les uns avec les autres: analysent les différentes périodes de l'existence, même si tous appartiennent à une maturité de vie et parlent des femmes différentes: l'une passive et obsédant, le militant des autres et un mental fort, l'autre plus introspectif et mystérieux. Trois racontes, trois femmes, trois crises: Une femme au foyer, une célèbre

La décision de revenir à sa famille se pose comme une infraction, un risque -> il est tellement paralysé par la peur qu’il est immobile. - Il compte jouer un rôle (mise en abîme du théâtre) -> celui de l’homme posé Nous sommes dans un monologue introspectif (expression des sentiments et des objectifs), mais aussi un prologue avec une dimension métathéâtrale (Théâtre mettant en abyme le phénomène théâtre (théâtre dans le théâtre), la théâtralité (jeu dans le jeu) ou proposant une réflexion sur

au-dessus de ma tête ? Quand j’entrerai ds cette chambre, et que je voudrai tirer mon épée du fourreau, j’ai peur de tirer l’épée flamboyante de l’archange, et de tomber en cendres sur la proie IV, 3 Doute particulièrement perceptible ds les grands monologues de l’acte IV, très lyriques, poétiques (image de la comète en IV, 3, image assez énigmatique du crucifix en IV, 9) Lorenzo tente vainement de saisir l’originalité de son moi. Il expose sa conscience comme un objet d’analyse. 3- A travers la conscience

prophétique du dramatique:Tout le monologue du prologue en est dominé = déjà évoqué dans la didascalie précédant le drame, qui structure les différentes parties du prologueThème de la mort est présenté = le verbe répété donne immédiatement le ton du prologue= tragique et pathétique Certitude de la mort renforcé + mort annoncée comme un fait déjà accompli = présente un regard introspectif sur ce fait déjà achevé Celui qui parle est proche de la mort--» le monologue s’inscrit dans une temporalité imprécise

l’intéresse. Elle est obnubilée par la mort => la vie n’a plus grand intérêt. 1. L’expression de l’incertitude Le passage des interrogations (l. 16-21) souligne encore une fois l’aspect obsessionnel de cette réflexion sur la mort. C’est un monologue intérieur introspectif, elle s’interroge sur l’existence, c’est une interrogation lyrique. 2. L’entrelacement des thèmes de la vie et de la mort Cet entrelacement traduit l’angoisse et l’inquiétude « Je trouve la mort si terrible que je hais plus la vie »