Monologue La Marmite

Les grands noms de la comédie romaine Lecture n°3 : Plaute, La marmite (vers-200 av.J.C) Le vieil avare Euclion a trouvé chez lui, sous terre, une marmite remplie d'or. Il l'enfouit de nouveau profondément, et la garde avec de mortelles inquiétudes ; il en perd l'esprit. le vieux Mégadore, à qui sa soeur a conseillé de prendre femme, demande en mariage la fille de l'avare. Le vieux hibou a grand'peine à l'accorder. Sa marmite lui cause trop d'alarmes ; il l'emporte de chez lui et la change

brève conclusion – bilan. Corrigé : Le corpus qui nous est proposé est composé de trois extraits de pièces de théâtre allant de l’Antiquité romaine (Plaute) au XXe siècle (Beckett), en passant par le XVIIIe siècle (Marivaux). Les deux premières (La Marmite de Plaute et L’Île des esclaves de Marivaux) sont des comédies. La troisième (En attendant Godot de Samuel Beckett) fait partie du théâtre de l’absurde et peut être considérée comme une farce tragique. Quelles que soient ces différences d’époque et

ses schémas à la réalité latine, confère d’avantage de relief à ses personnages. La pantomime, héritée du théâtre populaire étrusque, lui inspire certains jeux de scène. Il exploite remarquablement les situations qui font rire, témoin « sa petite marmite » où se démène un avare volé, digne ancêtre d’Harpagon. Ses successeurs (Térence, par exemple) composent des pièces plus littéraires, les togatæ (d’après le nom du manteau romain, la toge.) Pourtant, c’est par une toute autre voie que Rome va influencer

niaiserie son C'est la comédie de caractère qui prend pour sujet les comportements ridicules de certains individus, et grossit jusqu'à la caricature des défauts qui ont existé de tout temps : le dramaturge latin Plaute dans sa comédie Aulularia (la Marmite) met en scène un avare, que Molière reprend ensuite dans son personnage d'Harpagon. Les personnages de niais sont légion au théâtre : ce sont par exemple des maris cocus, dans la comédie grecque d'Aristophane La Nuée des cocus, ou dans les vaudevilles

représentations sont d’abord associées aux fêtes religieuses, mais elles en deviennent peu à peu indépendantes. C'est la comédie qui se développe surtout au iie siècle av. J.-C., avec par exemple les pièces de Plaute  (Aulularia (La Comédie de la marmite), qui inspira également Molière (l'Avare) et de Térence (Imitée du poète grec Ménandre, la pièce de l’Andria (L'Andrienne ou La jeune Fille d'Andros) est représentée en 166 av. J.-C), Ces pièces sont adaptées de la comédie nouvelle grecque. Ces pièces

héros. Le narrateur valorise le héros dans ses | |les marques du discours indirect libre (l.10-11 ; l.26-27) et du |interventions : il intervient directement aux l.3-5 soulignant | |discours direct dans le cadre d'un monologue intérieur (l.17-20). |l'aveuglement de Trôs, comme le montre la phrase nominale et la | |Cette rupture énonciative et l’invasion du discours dans le récit génère|ponctuation expressive.De même, aux l. 20-22, l'usage de la comparaison

la description du cavalier suit une mention des activités ennemies, puis un passage de discours direct où le narrateur ne fait que répercuter ce qu’il perçoit de l’extérieur. Vient ensuite la narration de l’attaque meurtrière, une parenthèse de monologue intérieur, qui s’ouvre sur le relevé des conséquences de la frappe allemande. Le plan du texte suit donc le mouvement du regard en tant qu’il est frappé par un flux de scènes juxtaposées. De même, les marqueurs de temps ne font qu’indiquer que le

la source de l’Avare sur plusieurs œuvres, comme par exemple La Dame d’Intrigue de Chappuzeau, (qui nous donne une idée d’un avare amoureux d’une femme qui ne l’aime pas) il prend surtout des idées avec une pièce latine de Plaute L’Aulularia (La Marmite). On peut comparer Harpagon avec Euclion (des personnages les plus importants de chaque pièces). Harpagon Euclion La pièce (L’Avare) a des caractéristiques typiques de la Commedia del l’Arte (qui est inspirée de la tradition des italiens)

environ une quarantaine de fois entre 1668 et 1763. Elle n’eut pas le succès escompté du fait que le texte était en prose, ce qui gênait les habitudes du public (habitué aux comédies en vers). Inspiré en grande partie par L’Aulularia (la petite marmite) de Plaute, mais aussi de La Belle Plaideuse de Boisrobert, Molière réussit à en faire un tableau de son époque, représentant une riche famille bourgeoise du 17è siècle. L’œuvre qui à son époque n’avait pas été bien accueillie est aujourd’hui la deuxième

il devint pourtant un roman culte. L’œuvre de Boris Vian est toute entière empreinte d’insolite et d’absurde. L’écume des jours ne fait pas défaut à ce constat. L’action se situe à Paris, car il s’agit bien de Paris, ainsi que le montre le monologue intérieur de Colin réfléchissant à l’endroit où il va emmener Chloé se promener : « Pas à l’hôpital Saint-Louis, c’est défendu. Pas au musée du Louvre, il y a des satyres derrière les chérubins assyriens. Pas à la gare Saint-Lazare, il n’y a plus