Monothéisme

Mondiale. Introduction Depuis la fin de la première guerre mondiale, le Moyen Orient est le théâtre de conflits aux enjeux multiples. S’étendant de la Turquie au Pakistan, cette vaste région est le foyer de nombreuse culture et le berceau du monothéisme. Si la majorité du continent africain fut colonisé par l’occident dès le début de la première guerre mondial et le moyen orient laissé indemne, il suffira d’attendre la fin de la guerre en 18 pour que son placement stratégique sur le globe et ses

aujourd'hui l’un des continents les plus riches de la planète. 2. La diversité de l’Europe Le continent se caractérise par sa diversité culturelle. Le christianisme est divisé entre catholicisme, orthodoxie et protestantisme et les deux autres monothéismes sont présents avec le judaïsme et l’islam. Le continent est aussi une mosaïque de langues, avec 102 langues et trois alphabets. La diversité est aussi politique : l’Europe est constituée d’une cinquantaine d’Etats-nations*. * Etat-nation :

décorative, le motif éploré d'arrière-fond. Elle est l'objet joli, chaste, pur et négligeable (ou négligé) qui ne vit que pour le fils (et par amour pour lui) la mère : une figure absente, effacée comme le veut la culture judéochrétienne (ou le monothéisme en général?) 300 : l’épopée épilée 300 : l’épopée épilée Adaptation cinématographique par Zack Snyder (2007) de la bande-dessinée de Frank Miller (1998). Ce récit est très librement inspiré de la bataille des Thermopyles (11 août -480)

l'an 30 de notre ère en Palestine, marque le début du christianisme. À cette époque, la Palestine appartient à Rome et se distingue par sa religion, le Judaïsme, qui a un statut particulier dans l'Empire en raison de sa foi en un Dieu unique: le monothéisme. Plus en plus d’étrangers arrivent dans le pays, où le pouvoir politique local est de moins en moins et partagé. Les fils d'Hérode, le dernier roi juif, lui-même installer à Rome, sont sous le contrôle d'un préfet romain dépendant du légat de la

rupture avec ce qu’ils appellent le suivisme aveugle des écoles de l’islam sunnite qui façonne les champs religieux du monde musulman depuis le VIIIe siècle. Leur lecture des textes est critique et réformiste. Ils mettent en avant le principe du monothéisme (Tawhîd) de l’Islam qu’ils opposent à toutes les formes d’associationnisme (Shirk) entre Dieu et toute autre nature d’essence non divine. Et sur le plan socio-religieux, les partisans du salafisme adoptent une posture radicale, qui marque une rupture

de la Magie », on fait appel à son oracle car il est « Celui qui sait, qui annonce le lendemain, qui aperçoit l’avenir sans se tromper ». Et pour ses fidèles, il est « Celui qui écoute »… Le début du christianisme l’a établi à l’origine du monothéisme. De nombreux pères de l’Eglise l’avaient même dépeint comme l’initiateur de Moïse et d’Orphée. Durant le Moyen-Age, il devient le patron des alchimistes. Par contre, à la Renaissance, des documents découverts en Macédoine, sembleront révéler

désavantager l’homme car elle peut dès lors le comparer à un objet. Certains vont donc pouvoir manipuler les gens pour les faire vivre comme ils le veulent. La science sert avant tout à décrire la nature et lorsque nous nous approchons des trois monothéismes (qui sont une sorte de sciences pour expliquer la nature selon Dieu), nous pouvons voir qu’en fait certains cherchent à manipuler d’autres. Le christianisme par exemple est comparer à une religion de l’amour or derrières les affirmations du Christ

l’expression ‘’ Ma houmid’’ qui veut dire ‘’ celui qui n’est pas béni’ est tout le contraire. Donc certains musulmans considèrent ce nom comme étant une offense. Nous les musulmans le considérons comme le dernier des prophètes et des messagers du monothéisme. Il est né à la Mecque vers 570 et mort à Médine en 632. Son père Abdoullah est mort deux mois avant sa naissance et sa mère Amina qui est considérée comme la plus noble et la plus vertueuse des femmes de son temps est morte en 577 soit environs

épreuve insurmontable, d’un combat difficle, il ne répugne jamais à s’exposer quand les circonstances l’exigent. Il n’agit pas pour lui- même mais livre toujours bataille au nom de ce dieu unique et tout puissant dont il réalise les volontés. Le monothéisme chrétien s’est imposé : si l’Antiquité admettaient qu’un Héraclès ou un Achille puissent choisir la divinité pour laquelle ils lutteraient et risqueraient de périr, le Moyen Age ne laisse aucune alternative. Lancelot, Perceval ou Gauvain mettent

s'imposait au roi comme au peuple ; et Achab a dû comprendre que l'arbitraire royal ne pouvait être invoqué contre le droit de l'Alliance. Enfin Élie a voulu ramener ses contemporains au yahwisme absolu et exclusif, au monothéisme d'Abraham (1 R 18,36) et de Moïse. Avec lui ce monothéisme des Pères va se faire plus que jamais conquérant. Élie dénie toute existence aux dieux de l'étranger et toute valeur à leur culte : ce n'est pas Baal qui peut donner la pluie, ni Baal-zebub qui peut guérir le roi !