Monothéisme

berceau du christianisme et du judaïsme et fut l’objet d’une des premières conquêtes des tribus arabes lors de la naissance de l’islam. A cette mixité islamo-chrétienne s’est ensuite ajoutée une myriade de «chapelles» dissidentes des trois grands monothéismes du fait de la géographie si spéciale du Liban dans la région». Ces arrivées successives de communautés religieuses entre le VIe et le XXe siècle ont profondément marqué l’organisation de la société libanaise. Mounir Corm souligne que «l'importance

le marquant du « signe de Caïn » que l’on ne connaît pas donc qui peut-être dans chaque humain), le laissant dans sa condition de fugitif jusqu'à sa mort. Bible Hébraïque et le CoranJ’ai recherché le même mythe dans deux autres livres sacré du monothéisme, la Bible des Hébreux et le Coran. Hélas je ne lit ni l’hébreu, ni l’arabe. Des traductions apportent cependant des différences par rapport à la tradition chrétienne. Une traduction araméenne de la Bible Hébraïque tente une explication entre les

juifs pour mieux les dominer - Londres soutient face aux turcs les kurdes puis cesse son aide en raison des réserves pétrolières et hydrographiques (Kirkouk et Mossoul) 2 L’islam et les minorités religieuses La coexistence des monothéismes (judaïsme, christianisme et islam) est source de tensions entres les minorités (juive, chrétienne) et la majorité musulmane. Cette mosaïque multi-confessionnelle, source de tension et de conflit d’intérêt entre états, pousse les gouvernements

religio, la religion est le plus souvent envisagée comme ce qui concerne la relation entre l'humanité et Dieu. La religion se définit en deux sens : elle est un ensemble de croyances et de pratiques qui lie, premièrement, chaque croyant à Dieu (monothéisme), et deuxièmement, lie les croyants entre eux au sein d'une communauté (Ex. : religion Grecque). On distingue deux modalités de la religion : la foi est la superstition. La première repose sur un pari existentiel et pragmatique sur l'existence de

la revendication de droit individuels et la lutte contre l'absolutisme lors du siècle des lumières Dans le même mouvement, depuis Aristote, Épictète, un courant peut être identifié, affirmant la primauté de l’individu. Par certains côtés, le monothéisme abrahamique (judaïsme, christianisme et islam) affirme la responsabilité de l'individu. L’humanisme de la Renaissance, modifie profondément la définition du rapport de l'homme à la création, au pouvoir, à l'éducation ou au religieux, en particulier

l'œuvre de Zeus. Ce premier état de l'humanité se divise lui-même en étapes : l'animisme qui affirme la présence de nombreux esprits dans la nature, puis le polythéisme qui rassemble sur plusieurs dieux la responsabilité des évènements, et enfin le monothéisme qui conçoit un Dieu unique créateur et tout-puissant. Le deuxième est l'État métaphysique, où l'on cherchait les causes des phénomènes réels dans les qualités ou la volonté de la nature. Par exemple, la nature avait « horreur du vide ». Le troisième

communauté, ce qui revient a dire qu’elle est à la fois bonne et mauvaise, que toute se valent et qu’aucune n’est vrai. ( ne s’accorde pas avec les croyants) II. Conflit entre raison et foi  Le conflit entre R et F se pose qu’avec les 3 monothéismes. Religion esprit : dieu est esprit et l’homme aussi car à son image. Voie accès au divin passe par la plus haute faculté esprit, la raison. Religion accepte être jugée sur le terrain de la raison et prétention d’être au moins discours rationnelle

1453  : chute de l’Empire Byzantin : Constantinople est conquise par les Ottomans. Apogée : 16ème siècle. Empire multiconfessionnel  : EO contrôle les lieux saints des 3 grands monothéismes, on trouve dans l’empire des musulmans (sunnites et chiites), chrétiens (orthodoxes, catholiques) et des juifs. Empire multiethnique  : kurdes, turcs, arabes, perses…). Toutefois, à partir du 17ème

d’histoire-Géographie de cet enseignement du fait religieux. Il fallait remédier à la perte de connaissances du patrimoine de l’humanité : les aspects religieux du patrimoine littéraire et artistique n’étaient plus lisibles, que ce patrimoine relève des grands monothéismes ou de mythologie gréco-romaine. D’où l’urgence d’un enseignement du fait religieux pour comprendre notre patrimoine. Un besoin de revenir aux grands mythes des civilisations anciennes, un besoin d’explications historiques pour comprendre les faits

à la Vérité. La Vérité relève de la croyance. * Les croyances S’agit-il de l’état théologique selon Auguste Compte * Fétichisme (Auguste Compte) ou Vitalisme et Animisme (Claude Levy Strauss) * Théologique = polythéisme ou monothéisme. Doit-on distinguer la foi (immanente et révélée dans le christianisme) de l’apport moral de la religion, c'est-à-dire la foi en tant qu’expérience individuelle et l’aspect sociétal de la religion qui fournit des valeurs sociales en même temps qu’un