Monstre marin

entre la beauté et la bestialité : blâme antithétique. I2- 2 figure en opposition : Un seigneur bestial (« le monstre » proposé comme un synonyme, « je ne suis qu'une bête » + hyperbole « un sifflement si épouvantable.. ») contre une belle invitée craintive (« en tremblant », « frémir »...). Des figures d'oppositions renforcent les contradictions:antithèse « la Belle lui dit le monstre »... I3-Des frontières brouillées entre humanité et bestialité : La Belle et la Bête partagent des valeurs

Mais l’assimilation de la difformité physique à l’immoralité fait que le monstre est systématiquement identifié à ce qui n’est pas humain : il est souvent comparé à un animal ou à une figure diabolique. Le nom d’Elephant Man nous le montre bien, ainsi que sa citation de désespoir qui est « Je ne suis pas un animal ! Je suis un être humain ! » C’est en quelque sorte une revendication contre son assimilation à un animal. La foule traite de la même façon Quasimodo de vilain singe ou même de diable

avoir qlqch de particulier »l.6. L'auteur considére avt tt l'humanité à laquelle appartient de fait l'enft. Le 2eme et 3eme § constituent des arg. à la suite de l'ex., conformément à 1 schéma arg. Inversé. Montaigne montre ds ces argmts que le monstre est vu comme tel par l'homme, parce sn regard est prisonnier de l'habitude comme l'exprime la réf. la suprise « qui ns frappe d'étonnement »l.14, « ce que l'homme...prodige »l.19à21. Cet dernier remarque sert par ailleurs d'argmt d'autorité puisqu'elle

destination inconnue tout en se jouant du lecteur. Ferragus chef des dévorants est rédigé par Honoré de Balzac, un des précurseurs du mouvement réaliste, en 1833. Cette œuvre est basée sur une description fantastique de la ville de Paris comparée à un monstre. Jean-Marie-Gustave Le Clézio compose en 1983, Désert, qui nous décrit la marche et l’avancée difficile des « hommes bleus » dans ce dernier. Dans un premier temps, nous parlerons de la description précise du cadre de l’intrigue. Ensuite nous étudierons

- Mangez donc, la Belle, lui dit le monstre, et tâchez de ne vous point ennuyer dans votre maison ; car tout ceci est à vous ; et j'aurais du chagrin, si vous n'étiez pas contente. - Vous avez bien de la bonté, dit la Belle. Je vous avoue que je suis bien contente de votre cœur ; quand j'y pense, vous ne me paraissez plus si laid. - Oh dame, oui, répondit la Bête, j'ai le cœur bon, mais je suis un monstre. - Il y a bien des hommes qui sont plus monstres que vous, dit la Belle, et je vous aime

Cette pièce est particulière car en effet Médée parle toute seul (c'est un monologue).Il y a aussi les scènes relatives au sexe et a la morts de ses enfant qui au niveau de la parole sont un peu choquantes QUESTION 2 Méduse la gorgone est un monstre mythologique a corps de femme et a chevelure de serpents, son pouvoir le plus dangereux était que quiconque la regardait dans les yeux était pétrifier en statue a vie. Cette gorgone est spéciale car elle est la seule capable de mourir. Elle fut violé

souligne avec insistance l'ambivalence du personnage de Thésée que se trouve l'utilisation la plus intéressante de l'arrière-plan épique de la pièce. Thésée y apparaît sous le double jour contradictoire de tueur de monstres et de séducteur volage. a) Thésée, héros épique, tueur de monstres. Dans la Poétique, Aristote oppose la tragédie qui représente les faits à l'épopée qui les raconte. C'est exactement sous la forme d'un récit mais au deuxième degré qu'Hippolyte évoque l'épopée de Thésée. A peine

monstrueuse » et il s’est défini comme étant « une anomalie, un monstre ». Cette double définition cherche à expliquer la symbolique du monstre dans la pièce Rhinocéros. D’abord, l’analyse suivante portera sur la monstruosité du personnage de Jean, puis il sera question de la marginalité de Bérenger. Tout d’abord, Ionesco illustre la monstruosité à travers les personnages de la pièce. En effet, l’auteur présente Jean, l’un des personnages et monstres de la pièce, comme étant un homme de fort caractère, un

« Des monstres et prodiges », A. Paré, 1574 «Les essais », M. Montaigne, 1595 Introduction : Ambroise Paré était chirurgien des derniers Valois 1510-1590 (France). Il est considéré comme le père de la chirurgie moderne et a publié un certain nombre de traités scientifiques. Michel Montaigne (1533-1592) est, avec Rabelais, le principal auteur humaniste, aristocrate, il fait une réflexion sur l’Homme en s’étudiant lui-même. Chacun de ces auteurs nous livre une thèse différente sur l’origine des « monstres »

personnification : « la plaine…ne se défend plus…et la ville la mange», nous comprenons que cet espace est las de se battre contre l’inexorable extension de la ville et a fini par céder sous la pression croissante. Ici, le terme « mange » donne l’image d’un monstre. Ensuite, la deuxième strophe nous explique la victoire des machines sur la campagne. Celles-ci sont caractérisées comme étant « criminelles » et « diaboliques », en opposition aux « blés évangéliques » et au geste du vieux semeur qui