Monstruosité

sortie d’un monde fantastique, une araignée aux dimensions gigantesques, pourvues d’yeux et d’un sourire humain, semble s’engager dans une danse macabre : tel est le sujet choisit par Redon pour cette peinture de 1881.Redon ose s’aventurer dans la monstruosité, en accordant à l’araignée des caractéristiques humaines ; son sourire cependant, semble plutôt ironique et morbide. Et pourquoi une araignée ne sourirait-elle pas ? Redon est macabre, c’est bien différent. Le morbide est contre la vie tandis

changer, être en pleine clairvoyance) - 2§ : scène d’intimité, scène domestique. Plaisir/torture. Côté malsain et scabreux. - 3§ : très subjectif - 4§ : Chevalier de la barre. Ironique, subjectif, personnel, sensible (colère, révolte contre la monstruosité et l’injustice) - 5§ : Sorte de quiproquo, pas plus cruel que la France. Contradiction entre la construction et le ton. → imitation du dictionnaire → pas de transition → texte pas du tout objectif, forte sensibilité et prise de position :

Racine : regard déterminant un coup de foudre, aliénation et dépossession de soi ; ces aspects qu'on retrouve dans Britanicus et dans Iphigénie sont portés ici à un degré de violence extrême en raison de la nature même de cet amour qui, par sa monstruosité, inscrit Phèdre dans une filiation maudite. Cette violence dans la peinture de l'amour laisse ainsi sentir le tragique de la pièce d’une manière très touchante. Le spectateur peut être soumis au degout du aux contradictions des principes humains

I.La monstruosité du cannibalisme est relativisée en montrant calmement les raisons... A.Montaigne nous livre une présentation éthnographique sans pathos, des mœurs guerrières tupis... « rapporte » (L.5), « attache »(L.5), « ont », « vont » « Chacun rapporte pour son trophée la tête de l'ennemi qu'il a tué, et l'attache à l'entrée de son logis. » (L.5-6) B. … qui fait apparaître l'humanité et la raison du rituel anthropophage... « Après avoir longtemps bien traité leurs prisonniers, […],

depasser d'un monde réel à un monde qui semble surnaturel ? Figures de styles : métaphore l1 « obscurité d'une épaisseur d'encre » atmosphère sombre , pesante personnification « respiration » beaucoup de fumée, montre que la mine est vivante, monstruosité de la mine. « noyée de nuit et de fumée » Personnification « cinq ou six lanternes tristes » synecdoque désigne les mineurs et la tristesse des mineurs « ciel mort » forme d'oxymore contraste entre le ciel et l'intérieur de la mine technique picturale :

Roguin Vergniaud Delbecq Résumé par parties Une étude d’avoué : Godeschal dicte une ordonnance que les autres copient. Cela parle de biens à rendre. Boucard le sermonne. Description de l’étude où les clercs travaillent. Les Etudes sont des « monstruosités parisiennes » : tout y est laid. Entrée d’un plaideur : les clercs sont indifférents. Le plaideur ne veut parler qu’au patron indisponible jusqu’à minuit. L’homme veut revenir de nuit. Les clercs parient sur le pauvre homme. Quel rôle joue Simmonin 

s’attaquent à la représentation humaine pour en donner une image disloquée, géométrisée, déformée et défigurer. 1) défigurer : Pablo Picasso : le cubisme fait voler en éclat la représentation du réel et deforme la figure humaine jusqu'à la monstruosité. En 1907 il a revolutionné l’art moderne avec les demoiselles d’avignon. Le corps humain est traitée de manière géométrique. On y voit également mutiplication des plans fruit de l’éclatement du point de vue. Dépersonnalisation de la figure.

centrés sur la sensation, l’ombre et la lumière, à la fois horreur vécue et dramatisation d’un poème de la conscience humaine. Plus qu’un réquisitoire contre la peine de mort, à quoi on le réduit souvent, ce texte, pour dire la monstruosité de la guillotine, invente une monstruosité (au sens hugolien) littéraire: la voix anonyme.

inquiétude car nous savons bien que ce qui est caché est toujours quelque peu inquiétant car ceci représente l’inconnu c’est-à-dire un des fantasmes les plus connus : l’angoisse humaine. En bas d’image, nous pouvons visualiser la laideur et la monstruosité de cette anatomie variée liant la beauté et la vénusté du reste du corps et en même temps faire un lien psychologique avec ce portrait car il évoque les fantasmes issus de l’inconscient comme par exemple l’horreur et la peur succèdent à l’attirance

haine tragédie, présentation de pers liés à l’horreur V12 antithèse met en valeur le monstre Destin figé chiasme V33/35 V43 met en valeur la crainte du devenir monstrueux pour Néron V57 antithèse rappelant le sadisme de Néron et donc la monstruosité de ce caractère CONCLUSION Cette scène est donc réellement une scène d’exposition classique de la tragédie puisque l’on y voit bien une très claire présentation des personnages. Le lecteur reçoit rapidement une information très dense qui lui