Monstruosité

jours. Tandis qu’un héros hors-norme, suscite une envie, un intérêt de connaître son origine, son passé, son présent mais surtout de comprendre le pourquoi de sa différence. L’humain n’est pas intéressé par les différences du monde actuel, par la monstruosité de la réalité d’aujourd’hui, il les fuit d’ailleurs. Un héros d’un livre ou d’une pièce de théâtre même s’il se rapproche souvent de la réalité, reste fictif. Cependant, le tragique, l’effrayant use à la longue. L’homme, même s’il est à la

possible par les comédies, elles sont un excellent moyen de rire de nos propres défauts. Par exemple dans la pièce l’Avare de Molière nous rions de notre avarice, dans rhinocéros d’Ionesco nous rions et réfléchissons sur notre agression et notre monstruosité. Quand on sort du théâtre la plupart des gens on changer, il sont plus calme, ils savent se qu'il veulent et ou il vont. Le théâtre peut aussi changer notre personnalité un petit moments après la pièce ou pour un plus long moments. Cela nous ai

basculer vers l’ombre, tout le texte va s’obscurcir « V40au fond du chemin creux, 42il cherchait la nuit, 49l’ombre s’épulcrale, 57au fond d’une cave. Dans cette description, apparait un crapaud dés le vers6 qui va être décrit avec un ch lex de la monstruosité « V7l’horreur contemplait la splendeur ». Hugo donne à cette expression une dimension ironique en montrant que le crapaud va être victime de son innocence. Ce crapaud va être décrit comme un monstre  « V19,25,43,44,50,52,60 ». Cependant, Hugo va

qui leur vaut d’être blâmés. De même en 1857 un procès est intenté à Gustave Flaubert pour son œuvre « Madame Bovary ». C’est dans ce contexte que paraissent les « Fleurs du mal », suscitant le déchainement de la presse qui dénonce de semblables monstruosités. Les attaques des journalistes attirent l’attention de la justice sur certains poèmes considérés comme un défi aux lois qui protègent la religion et la morale. Selon Baudelaire, «  Le livre doit être jugé dans son ensemble, et alors il en ressort

contredit idee de préméditation du procureur. Majeure partie plaidoyer s’intéresse au caractère de M, sa moralité (occurrence mot « âme »). L’avoc fait portrait de M élogieux : bon travailleur, bon fils, (termes mélioratifs) ce qui remet en cause sa « monstruosité ». Avoc conclut prestation par carac non prémédité de crime. : « une minute d’égarement ». Il demande que vie M épargnée. Met en évidence « remords eternels : de M comme châtiment suffisant. Il essaie d’attirer bienveillance des jures, de

par être puni en étant éliminé. Le château, malgré ses apparences cache des mystères affreux et cette maison devient un piège dont il est impossible à fuir. Pour conclure, je constate que dans ce conte, barbe bleue, qui a voulu cacher sa monstruosité et qui malgré les apparences, n’a pas pu cacher plus longtemps ses crimes, a un côté moralisateur, propre à Perrault. Le château, prison funéraire, a permis entre autres biens du monstre a la barbe originale, à faire repartir sur un nouveau chemin

mythe ---------------------------------p a) Mythes fondateurs---------------------------------p b) Le vampire dans l’histoire--------------------------p c) Le vampire dans la littérature---------------------p II/ Un être fascinant et sensuel---------------------p a) Une monstruosité désirable------------------------p b) La morte amoureuse--------------------------------p c) Le vampire d’Edvard Munch------------------------p III/ Un monstre infiltré parmi les humains---------p a) Une apparence humaine-----------------------------p

Phèdre ? I. Un personnage tragique 1) Le champ lexical du divin 2) La réfutation des Dieux II. Une humanité cachée par la monstruosité 1) Un aveu pesant 2) La sentence des Dieux OU I. Un cri d’amour 1) L’expression de la passion 2) Un sentiment incontrôlable II. Une déclaration sacrilège (sacré) 1) La monstruosité du personnage 2) Un sentiment incontrôlable * ACT II SCENE V : Tirade de Phèdre : Aveu à Hippolyte « Ah ! Cruel, tu m’as trop

tous[footnoteRef:22] » ?... [21: Ibid., p. 262.] [22: Ibid., p. 252.] Scandaleuse aux yeux d’un monde qui méconnaît le véritable scandale, Colette peut faire sienne enfin cette monstruosité qu’on lui renvoya d’elle-même, et s’en parer : « Au point de vue humain, c’est à la connivence avec la bête que commence la monstruosité[footnoteRef:23] ». [23: La Naissance du jour (1928), op. cit., p. 303.] Elle ira plus loin que l’accord avec la nature ou même la préférence de la nature : vers la

Cela est admis par tous : la manipulation des masses a su mener, par le passé, à des crimes d’une monstruosité invraisemblable. Hitler en est un exemple concret : son goût marqué pour la propagande a su faire de lui non seulement un homme populaire, mais aussi un guide que le peuple acclamait, subjugué devant tant de pragmatisme. La confiance des hommes est donc la clef qui ouvre toutes les portes aux mauvaises intentions de celui qui l’a acquise grâce à son intelligence, à son charisme