Montaigne Accepter La Différence

Sujet : Les formes de l’altérité dans « Nous et les autres ». L’altérité est le caractère de ce qui est différent, autre. Cependant, elle peut aussi être définie d’une part comme la reconnaissance de l’autre dans sa différence aussi bien religieuse que culturelle. D’autre part, comme un témoignage de compréhension de la particularité de chacun, hors normalisation, individuellement ou en groupe. Lequel implique une relation laïque, accueillante qui s’associe au métissage des cultures. Cette dernière

première vu aucuns problème de compréhension et au contraire même, serais bénéfique pour l’homme mais plusieurs culture en revanche peux la ralentir : De tout temps nous a été prouver le rejet des différences chez l’homme, les cultures étant communautaire sont toutes différentes. Par exemple Montaigne qui montre que le cannibalisme qui consiste à manger un bout du corps de son ancêtre est une pratique tout à fait normal pour ceux qui la pratique mais aussi répugnante pour ceux qui font partie d’une

L’ARGUMENTATION : LE PROJET DE MICHEL DE MONTAIGNE : LES ESSAIS (1595) Problématique : Quel est le projet des Essais ? Comment cette œuvre s’inscrit-elle dans le courant humaniste ? Quelles interrogations Montaigne partage-t-il avec ses lecteurs ? Éclairages: En faisant de son œuvre l’essai de son entendement dans son œuvre, en examinant, le monde dans lequel il vit et les hommes qui l’entourent, en doutant du savoir d’hier et d’aujourd’hui, Montaigne s’interroge sur la condition de l’homme,

caractéristiques innées, sans que l’homme ne soit intervenu. On se demande si il y a chez l’homme de l’innée y compris la morale, ou si tout a été construit, tout est historique, culturelle ? Est ce que la notion d’humanité à encore du sens ? Est ce qu’on doit accepter que nous soyons tous différents? I. La diversité des moeurs semble exclure l’unité du genre humain A) Il n’existe pas de nature humaine Jusqu’au XVIIIème siècle (Lumières), on a admis qu’il existait une nature humaine. C’était une croyance cohérente

comprendre de telles choses ? C’est la différence, en elle-même ! C’est la rencontre entre nos cultures qui nous pousse à de telles interrogations. Comme vous l’aurez constaté, nos différences ne nous rapprochent pas. Bien au contraire, elles nous séparent. Les différences sont les bases de la xénophobie, du racisme. Toute fois, ces choses ne sont en soi que des rejets, je dirais même, des peurs face à nos différences. Alors qu’est-ce qui fait que nos différences nous éloignent ? Comment se fait-il

Michel de Montaigne, né et mort (28 février 1533 - 13 septembre 1592) au château de Montaigne à Saint-Michel-de-Montaigne en Périgord, écrivain, philosophe, moraliste et homme politique français de la Renaissance, est l’auteur d’un livre, les Essais, qui a influencé toute la culture occidentale. Fondateur de l’introspection, il en vient peu à peu à l’unique projet de faire son propre portrait : « Je n’ai d’autre objet que de me peindre moi-même » Mais il dépeint principalement ses pensées, il veut

forme-t-elle ? Quels sont ces éléments ? A-t-elle une dimension affective ou rationnelle ? Quelle est sa nature ? Est-elle innée comme le réclame Rousseau, ou est-elle acquise comme le suppose Freud et Durkheim ? Et si elle est innée, comment expliquer la différence des valeurs morales entre les sociétés ? Si elle est acquise, comment expliquer la ressemblance de structure entre les différentes sociétés ? Enfin, et en dépit de ces problèmes, quelle valeur faut-il accorder à la conscience morale ? Est-elle

la q° de l’identité individuelle un véritable objet de réflexion. Ces trois éléments sont relatifs à : · Aux travaux de pré-humanisme · A l’ humanisme de la bienveillance (Montaigne) · A l’affirmation du sujet autonome càd l’affirmation du moi comme substance (Révolution introduite par Descartes) * Le premier moment porte sur les travaux

 Le relativisme moral a permis de s’opposer au  colonialisme.  Montaigne : "​ Les Barbares ne sont en rien plus étonnants pour nous que nous pour eux."        Montaigne, Essai, il y a une forme de relativisme morale. Le barbare est l’autre, le jugement  porté sur un barbare est relatif. Montaigne énonce le cas d’une personne qui trouve tout à fait  surprenant le fait de se moucher dans un mouchoir : ce qui semble délicat et civilisé par l’un  est considéré comme répugnant par l’autre. Montaigne écrit alors : « ​ L’habitude m’avait ôté la 

Michel de Montaigne sont fait sur divers sujets sans ordres ni laisons et le corps de leur discours a encore un plus grand mélange…l’auteur y entremêle des pensées rares et hardies qui sont toutes de lui, lesquelles ne tendent qu’à faire connaître à l’homme sa faiblesse et sa vanité, et à le porter à la recherche de la vertu et de la félicité par des voies légitimes ». En quoi ce jugement de Charles Saurel vous paraît il pertinent au vue de votre lecture du Livre I de Michel de Montaigne ? Les