Montaigne Quand Je Danse Je Danse

adulte miniature été déjà apparu chez certains philosophes : Montaigne (1533 – 1592) : pour lui, dès le 16ème siècle l’homme n’est pas fait pour accumuler des connaissances. Une bonne éducation est une éducation qui permet à la nature humaine de se réaliser, c'est-à-dire permettre à l’individu d’être heureux. Une éducation heureuse est une éducation qui ne néglige pas le corps. Il parle donc dès le 16ème d’éducation corporelle. Pour Montaigne, l’éducation corporelle est indispensable à la santé, elle

(CHEDID (2000) p. 9). Les scènes principales se déroulent dans des espaces bien déterminés: le pont, la rue principale, l’autobus,... et d’autres qui sont suggérés par les déplacements elliptiques des personnages ou ceux qui apparaissent en flash-back quand ils remon- tent vers leur passé et qui ne font pas partie du temps présent. Les lectures de Gorgio, dans la solitude de l’appartement abandonné où il loge, pourraient nous situer dans un contexte de culture francophone. Elles appartiennent à une culture

(2000) p. 9). Les scènes principales se déroulent dans des espaces bien déterminés: le pont, la rue principale, l’autobus,... et d’autres qui sont suggérés par les déplacements elliptiques des personnages ou ceux qui apparaissent en flash-back quand ils remontent vers leur passé et qui ne font pas partie du temps présent. Les lectures de Gorgio, dans la solitude de l’appartement abandonné où il loge, pourraient nous situer dans un contexte de culture francophone. Elles appartiennent à une

transmettre des connaissances.  Susciter le désir d’apprendre (en étant attentif à celui qui reçoit l’éducation). Eduquer : apprendre à réaliser un équilibre entre les exigences du corps et celles de l’esprit. Autonomie  Nous sommes plus libres quand nous formulons nous même la loi que nos devons suivre : principe moreaux de nos vie. II- La vérité par la démonstration Qu’est ce que la démonstration ?  Un syllogisme (inventé par Aristote) : l’art de mettre ensemble les raisonnements/ les

d’outre-tombe, de Chateaubriand (5) Récits de la Kolyma, de Varlam Chalamov (5) Si c’est un homme, de Primo Levi (5) Voyage au bout de la nuit, de L.F. Céline (5) 1. Shakespeare, Théâtre 3. Proust, À la recherche du temps perdu 4. Montaigne, Essais 5. Rabelais, Les Cinq Livres 7. Blaise Pascal, Pensées 8. Molière, Théâtre 9. Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions 10. Stendhal, Le Rouge et le Noir 11. Platon, Dialogues 12. Stendhal, La Chartreuse de Parme

désintéresse par ailleurs de la question de savoir si les jeux de pur hasard sont licites (ce que récuse unanimement la tradition théologique précitée) et qu’en strict mathématicien il propose une méthode permet tant de partager équitablement les gains quand une partie est interrompue avant la fin2. Discordance dans les deux cas fructueuse, puisqu’elle signe d’un côté l’ « acte de naissance » de la théorie moderne de la décision 1. Voir par exemple, aux deux bouts de ce siècle, saint François de Sales

_______________(1) Ibid.(2) Ibid., p. 71.(3) Ibid., p. 76.(4) Ibid.(5) Ibid.(6) Ibid., p. 77.qu'inspire l'agitation fourmillante « se rationalise dans la variante du schème de l'animation que constitue l'archétype du chaos »(1). En effet, selon Durand, quand le schème de l'animé s'accélère, il ne fait « que compenser un changement brusque par un autre changement brusque »(2). Il exprime une grande peur face au changement, voire face à la mort. La mort que l'on retrouve aussi, note Durand, avec la chevauchée

prétendus exploits guerriers « dans un certain lointain dramatique» alors que « nous demeurions nous combattants, en fait de fariboles [...] grossièrement temporaires et précis » (page 80) ; - que n'aurais-je pas donné « pour avoir, par exemple, quand c'était si facile, prévoyant, volé quelque chose? » (page 15) Céline, poussant plus loin les tendances de la langue populaire, forge des phrases qui paraîtront orales bien que nul n'en ait jamais entendu l'équivalent : « Je me pensais que j’aurais

Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner ; De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée, D'un incurable amour remèdes impuissants ! 15 En vain sur les autels ma main brûlait l'encens : Quand ma bouche implorait le nom de la Déesse, J'adorais Hippolyte ; et le voyant sans cesse, Même au pied des autels que je faisais fumer, J'offrais tout à ce Dieu que je n'osais nommer. 20 Je l'évitais partout. O comble de misère ! Mes yeux le

académique "pertinent". C'est une affaire de travail, une application de mois... peut-être d'années... On arrive à tout... comme dit le proverbe espagnol : "Beaucoup de vaseline, encore plus de patience, Eléphant encugule fourmi." Mais je suis quand même trop vieux, trop avancé, trop salope sur la route maudite du raffinement spontané... après une dure carrière "de dur dans les durs" pour rebrousser maintenant chemin ! et puis venir me présenter à l'agrégation des dentelles !... Impossible