Montesquieu Principe De La Démocratie

La démocratie directe est elle plus « démocratique » que la démocratie représentative? Rousseau, dans le contrat social nous laissait imaginer que la vraie démocratie serait un système dans lequel tous les citoyens participeraient au pouvoir, ce serait un système à la manière des Landsgemeinden suisses actuels. Cependant, dans le contexte actuel, cette démocratie est impossible à réaliser matériellement. En effet on ne pourrait réunir tous les citoyens dans une salle afin de voter une loi et cela

CONSTITUTIONNELS Introduction générale : La conception de ce cours est un prolongement du cours précèdent relatif à la théorie générale puisque celle-ci est censée produire les outils, les concepts et les notions fondamentales du droit constitutionnel. En principe ces notions telles qu’elles sont développées permettent d’aborder la suite du cours puisqu’on est munis des outils nécessaires. Ce cours intitulé, « Grands Systèmes constitutionnels », consiste en une illustration et un développement des principaux

despotique. Au contraire, dans les démocraties, elle est détenue par le peuple constitué en un corps politique appelé nation. Il s'agit là de ce que l'on appelle Souveraineté populaire (demos-kratos). La notion de souveraineté nationale apparaît aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle avec John Locke et Montesquieu, qui introduisirent le principe de séparation des pouvoirs, principe conduisant à la création des systèmes de représentation. On retrouve explicitement posé le principe de Souveraineté nationale

Elaborée par Locke (1632-1704) et Montesquieu (1689-1755), la théorie de la séparation des pouvoirs vise à séparer les différentes fonctions de l’Etat, afin de limiter l’arbitraire et d’empêcher les abus liés à l’exercice de missions souveraines. Si cette théorie est souvent invoquée dans les régimes démocratiques, elle a été plus ou moins rigoureusement mise en pratique. La France a, pour sa part, développé sa propre conception de la séparation des pouvoirs, fondée sur la limitation des attributions

s’appuyant sur l’étymologie, il ne peut y avoir d’idées politiques sans l’existence de la « polis » (cité, communauté civique) elle-même. Dès lors, les idées politiques ne verraient le jour qu’avec les premières cités grecques, fondées sur les principes autarciques, au 7ème siècle avant Jésus-Christ, et dans les discours platoniciens. En acceptant ce point de vue, il serait alors plus judicieux de parler d’histoire des « œuvres » politiques plutôt que des idées politiques : seule la transmission

- La théorie de la souveraineté nationale - La théorie de la souveraineté populaire A- La théorie de la souveraineté nationale Cette théorie est d'origine française et elle résulte de la révolution française de 1789 . Elle repose sur le principe que la souveraineté appartient à la nation . C'est dans ce sens qu'on peut dire à l'article 3 de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 17 août 1789 > . * La souveraineté est une et indivisible * S'exerce par l'intermédiaire de

technique de renforcement, mais d'affaiblissement du pouvoir. Sans doute ce trait ne lui est-il pas particulier : il est le propre de tous les régimes libéraux, puisque l'idée dont procède cet affaiblissement n'est autre, nous l'avons rappelé, que le principe libéral lui-même. Seulement, dans le régime présidentiel, le procédé employé est particulièrement grave, puisqu'il consiste à placer en tête-à-tête l’exécutif et le législatif sans solution ni arbitre pour trancher les désaccords susceptibles de

français controversé, affirme que « la démocratie politique fédérative » est une organisation qui ne peut être mise en place que par la volonté des citoyens. Complétons ce propos en guise d'introduction par cette note philosophique du même polémiste : « La plus haute perfection de la société se trouve dans l'union de l'ordre et de l'anarchie. » La notion de fédéralisme a notoirement inspiré de grands noms tels que Victor Hugo, Aristide Briand , Montesquieu, Alexis de Tocqueville ou encore Emmanuel

gouvernement civil » en 1960. En effet, John Locke est le premier a avoir pensé a la théorie de la séparation des pouvoirs et Montesquieu à suivie cette théorie dans son ouvrage « l’esprit des lois » en 1748 énormément inspiré par le modèle Britannique que Montesquieu a observé et plus ou moins retranscrit dans son ouvrage. Cette séparation des pouvoirs est un principe qui préconise les 3 grandes fonctions de l’état, soient chacune exercé par un organe différents et donc séparés. Mais ces 3 pouvoirs

Points Seuil 1995. Amartya SEN, La démocratie des autres, Rivages poche. |Louis Nucéra |Livre |Adulte | |321.8 SEN | |Disponible | LE DROIT *HEGEL*, Principes de la philosophie du droit, Vrin ou Quadrige ou Tel Gallimard. 10-15 RAWLS*, Théorie de la justice, Points Seuil |Louis Nucéra |Livre |Adulte | |172 RAW | |Disponible | SPINOZA, Traité Théologico-politique, G.F. MONTESQUIEU, L’esprit des Lois, I, G.F. ROUSSEAU