Montherlant

retape sur une machine que j'ai achetée en 1990 et qui n'a même pas le traitement de texte. Flu : Les écrivains que vous lisez le plus volontiers ? A.N. : La liste est longue ! Flu : Choississez en 5. A.N. : Diderot, Mishima... Tanizaki, Montherlant... et - comme c'est compliqué comme question - Proust. Flu : ... Et parmi les vivants ? A.N. : Eric-Emmanuel Schmidt, Simon Leys, Jacqueline Harpmann, Yoko Ogawa, Kazuo Ishiguro. Flu : Vous reconnaissez-vous des influences ? A.N. : C'est

Mélisande). * Théâtre d'avant-garde : Alfred Jarry (Ubu Roi). 7. Le XXème siècle * Un théâtre littéraire & poétique : la force de ce théâtre est dans le texte. Les principaux dramaturges rattachés à ce mouvement sont : Claudel, Montherlant, Anouilh (Antigone), Giraudoux (Electre), Cocteau (La Machine infernale). * Un théâtre engagé : l'Américain Arthur Miller peint une allégorie de la période du maccartysme dans Les Sorcières de Salem; l'Allemand Bertold Brecht avec Maître Puntila

pratiquement de la littérature française dans le courant du XXe siècle , plusieurs auteurs ont repris des sujets de tragédies grecques qu’ils ont modernisés : c’est le cas de Jean Giraudoux , Jean Anouilh , Jean Paul Sartre , Albert Camus et Henri de Montherlant . Mais ces reprises ne respectent plus les règles de la tragédie classique et n’hésitent pas à introduire une certaine distanciation ironique Le théâtre dans l’Antiquité : Le théâtre grec a une forte composante religieuse, comme

1934), Jean Giraudoux (La Guerre de Troie n'aura pas lieu, 1935 - Electre – 1937), Albert Camus (Caligula, écrit en 1939 mais créé en 1945) et Jean-Paul Sartre (Les Mouches, 1943). On peut associer à cette approche certaines pièces d'Henry de Montherlant comme La Reine morte (1942) ou Le Maître de Santiago (1947), nourries d'une méditation sur l'Histoire. Cette interrogation sur la marche du monde et l'influence de Brecht et de Pirandello vont déboucher sur des pièces plus engagées politiquement

aux marches de la mort, avant de découvrir l'Allemagne vaincue, en compagnie des soldats américains. Il s'installe à Paris après la guerre et produit une série de dessins sur les camps dès 1945. Il illustre ensuite les oeuvres de Malraux, Sartre, Montherlant, Kessel et Kazantzákis. C'est aussi l'auteur du monument du Vél' d'hiv", place de Grenelle. Il a publié Sauvé par le dessin, Buchenwald, préface d'Elie Wiesel, Editions Favre, 2004. Buchenwald, la corvée de brique, 1945. Léon Delarbre :

demande-moi ma vie, je te la donnerai, mais ne m’évite pas ; je ne saurais plus vivre sans toi… » (Diderot p. 207). En dépit de toutes ces persécutions interminables, Diderot « paillette ce roman noir avec beaucoup de gentillesse humaine » (de Montherlant p. viii). Ce sont des personnages nés d’un geste que Diderot nous présente sous forme d’un tableau mouvementé, inspiré du réel, mais qui doit émouvoir de façon éthique et morale. Dans le personnage de Sœur de Moni, Diderot peint une femme dont les

"patrimoine national" que représentait la maison, il a demandé au président de la BNP d'organiser le rachat des parts détenues par la famille. Pour le président, fin lettré, il aurait été insupportable que l'éditeur de Marcel Proust ou d'Henry de Montherlant tombe dans l'escarcelle d'un Bouygues, d'un Havas, voire d'un investisseur étranger. 然而，假如哈利·波特没有诞生，也没有另一个魔法师的一挥神棒的话，伽利玛集团很可能会陷入低谷，在1988—1990年间失去了它独立的地位。这场危机是由克洛德·伽利玛四个孩子（克里斯蒂安，安托万和两个姐姐）之间的不和导致，其中长子克里斯蒂安在1983年被排除在公司管理之外，安托万在1988年被父亲指定为家族事业继承者。

« Pas d’œuvres littéraires qui vieillissent aussi vite que des comédies » ------------------------------------------------- « Le temps use les oeuvres littéraires; les chefs-d’oeuvre même, quoi qu'on en dise », affirmait Montherlant dans ses Carnets. En effet, toute œuvre littéraire, roman, poème ou pièce de théâtre, est soumise au temps qui passe et coure le risque de tomber dans l’oubli, dans la désuétude, de « vieillir » au fil des années et des siècles. On ne compte d’ailleurs plus le nombre

composer ‘’L’aigle à deux têtes’’. Se conformant à l'armature scénique que lui avait imposée Jean Marais, Cocteau y greffa une deuxième tête : celle de la reine. Aussi pensa-t-il d’abord intituler sa pièce "La reine morte" (titre pris ensuite par Montherlant). Mais il opposait une reine d'esprit anarchiste à un anarchiste d'esprit royal, d’où le titre final : ‘’L’aigle à deux têtes", deux têtes qui s'affrontent violemment et qui se séparent dans un déchirement loin de toute attente. Comme toujours dans

comprennent tout, qui dégagent de la pièce des indications, des subtilités méconnues de nousmêmes ». a. Le théâtre présente tout l’échantillonnage des êtres humains – une « comédie humaine » qui nous renseigne sur l’homme et explore l’âme humaine. Montherlant : « Une pièce de théâtre ne m’intéresse que si l’action © Hatier Paris 2006 extérieure réduite à la plus grande simplicité n’est qu’un prétexte à l’exploration de l’homme », une leçon de « caractères ». b. Avoir une image de notre société