Montherlant

complète, sincère du milieu social de l’époque où l’on vit », ce qui est bien représentatif de ce que Balzac s’est efforcé de faire en écrivant le Père Goriot. Pourtant, selon Montherlant « il ne faut pas qu’un écrivain s’intéresse trop à son époque, sous peine de faire des œuvres qui n’intéressent que son époque ». Montherlant exprime ici un point de vue contraire à celui de Balzac à l’aide d’une phrase au présent gnomique qui à valeur d’avertissement( « sous peine de »), et prononcée avec autorité(«

5 œuvres de Dom Juan -Texte 1 : Molière, Dom Juan 1665 -Texte 2 : Tirso De Molina, Le trompeur de Séville et l'invité de pierre 1630 -Texte 3 : Lorenzo Da Ponte, Don Giovanni 1787 -Texte 4 : Henry De Montherlant, La mort qui fait le trottoir 1956 -Texte 5 : Éric Emmanuel Schmitt, La nuit de Valognes 1991 Introduction Nous allons donc étudier 5 textes, mais plus précisément 5 fin d’extrait de plusieurs version de Dom Juan Molière, Dom Juan 1665 Molière de son vrai prénom Jean Baptiste Poquelin

guère pourrait ici nous servir de guide: Henry de Montherlant. En 1972, peu avant de se donner la mort, l'auteur des „Olympiques“ est revenu sur ce qui avait été la passion de sa jeunesse dans un très beau livre, „Mais aimons-nous ceux que nous aimons“? S'interrogeant sur ses motivations, il y bascule entre deux citations. L'une est de Bertrand de Jouvenel qui, rendant hommage à Montherlant, avait écrit ceci: „Les premiers livres de Montherlant portent témoignage de ce que fut l'effort athlétique

CORNEILLE , Cinna Acte V scène 3 , 1642 HUGO , Quatre vingt treize, 1874 (fin du roman) MONTHERLANT , La Reine Morte, 1942 ANNEXE : Machiavel Le Prince, 1513 Question : Comment le pouvoir est-il défini dans ces textes ? Montrez comment dans chacun d’eux, le dialogue permet d’exprimer ces conceptions. Les deux textes théâtraux extraits de la tragédie classique Cinna de Corneille et du drame de Montherlant La Reine Morte ainsi que le dialogue romanesque dans Quatre Vingt Treize montrent des hommes

la pression sociale. C’est dans une idée plus poétique que Henry de MONTHERLANT dans son ouvrage les olympiques pensait au lien qu’a le sport avec les valeurs naturelles et humaines. De ce fait le recours à ces substances dérange le mythe de la pureté du sport affirme Michel Richard, ce qu’appuie Blachon dans son illustration de 1999 dans le Nouvel Observateur, en faisant jurer le sportif, questionnant son honnêteté. MONTHERLANT soulignait que le sport relevait du plaisir physique. Les sportifs

pas seulement nos informateurs qui sont illusionnistes, mais la vie elle-même. C'est l'avenir qui saura ce que nous sommes. » Henry de Montherlant, « La dépossession de soi-même », extrait de la conférence du 8 mars 1935. Résumez ce texte en 140 mots (± 10%). (10 pts) Discussion : (10 pts) Vous vous demanderez s’il faut, comme Henry de Montherlant, critiquer sans réserve la presse, et plus généralement les médias. Sujet 2 : Dissertation : Vous commenterez et discuterez, en vous

cadavres humains, ce jour là fut horrible. La violence dans le sport, la division de la société causé par le sport sont les thèmes de ce corpus, sur lesquels notre étude va porter. Ainsi le document 1, est un texte littéraire ancien de 1938 de Montherlant, tiré de sa préface des Olympiques. Le deuxième document, est un dessin humoristique de Reiser, Le Mille-pattes le plus cher du monde. Le troisième document est un texte littéraire récent de Jean Lacouture, Le Rugby, c’est un monde qui porte sur

Henri de Montherlant affirme: "Il ne faut pas qu' un écrivain s'intéresse trop à son époque, sous peine de faire des oeuvres qui n'intéresse que son époque". Dans quelle mesure l'écrivain, ou l'artiste, qui critique son époque et sa société peut il faire réfléchir le lecteur sur l'homme en général? Pouvez m'aider a faire une dissertation sur ce sujets s'il vous plaît ?  J'ai réussi a faire le debut mais je bloque pour le reste  voilà se que j'ai fait :  Le romancier Henri de Montherlant (1896-1972)

intitulé « compétitions et dopage » nous présente le lien entre ces deux facteurs. Puis Frédéric Baillette dans son article « A la vie à la mort » dans Le corps surnaturé nous explique le gain de performance des sportifs dans le temps. Henry de Montherlant dans son poème en prose « Vesper » tiré de son recueil Les Olympiques dresse un tableau idyllique de l’athlète. Enfin la photo d’actualité représente la main de dieu faite par Maradona en 1986. Nous pouvons alors nous demander si le sport est

De Balzac La bêtise ne consiste pas à n'avoir pas d'idées, cela, c'est la bêtise douce et bienheureuse des animaux, des coquillages et des dieux. La bêtise humaine consiste à avoir beaucoup d'idées, mais des idées bêtes. Henry De Montherlant Balzac et De Montherlant, quant à eux, différencient deux type de bêtises, la bêtise passive, “douce”et ”supportable”, qui ne fait de mal à personne. Et la bêtise active, un peu plus dérangeante... La bêtise, c'est de la paresse. Jacques Brel Pour Brel