Montherlant

LA REINE MORTE, DE MONTHERLANT Biographie d’Henri de Montherlant : Il née à Paris en 1896. Il poursuit son parcours scolaire dans les établissements catholiques et là il fait l’expérience d’une formation morale et d’amitié adolescente. Dans la grande guerre il est blessé en 1918 et au cours de ses blessures, il en ressort une grande fierté et il va chanter dans ses pièces de théâtre l’effort et l’héroïsme. En 1924, il écrit un livre appelé La Tauromachie. Il est en admiration

Dissertation: "Tout ce qui n'est pas passion est sur un fond d'ennui". Henry Montherlant Je commencerai par la question suivante, est ce que tout ce qui ne nous intéresse pas, nous ennuient-ils ? Le manque de passion doit-il obligatoirement mener à l'ennui. La passion a toujours été un moteur qui nous permet de tenir le cours du temps sans flancher dans l'ennui. J'ajouterai en disant que, le manque d'intérêt est souvent synonyme d'oisiveté, d'inaction. Pour illustrer cela, prenons le cas d'un étudiant

consacrés au dopage dans la compétition sportive Pierre de Coubertin déclarait jadis qu’en matière sportive, «  l’ essentiel n’ [était] pas de gagner, mais de participer ». Le sportif pouvait alors partager l’émotion notée en 1938 par Henry de MONTHERLANT dans la préface de son œuvre romanesque Les Olympiques et se concentrer au seul épanouissement de son corps. Mais les temps ont bien changé, et, comme le fait remarquer Antoine HAMON en 1989 dans son article de l’Encyclopedia Universalis qui constitue

LEVAILLANT parut dans les Compacts de l’info en 1997 retraçant certaines étapes de la carrière d’Eric Cantonna, le texte d’O. MARGOT écrit en 1986 qui nous explique l’évolution du footballeur « Pelé » (comparé au trompettiste, M. Davis), celui de H. de MONTHERLANT, rédigé en 1924 mettant en scène un joueur de football qui analyse son propre comportement et ses choix pendant des matchs et enfin le poème d’HOMERE qui raconte une course de cochers, pendant la guerre entre Grecs et Troyens (VIII ème siècle avant

pas qu'un écrivain s'intéresse trop à son époque, sous peine de faire des œuvres qui n'intéressent que son époque ». Le romancier, Henri de Montherlant en affirmant cette phrase pense au futur, à l'avenir de son œuvre littéraire. Il est vrai que le but de l'écrivain est de créer des œuvres éternelles, de savoir toucher au-delà des siècles. Or Montherlant semble croire que l'intemporalité, c'est-à-dire la non-appartenance à une époque, est pour une œuvre, la condition essentielle à ça part sur

qu’elle existe par-delà toute possession : elle ne doit pas avoir les dimensions mesquines de l’épouse ou de la maîtresse. » (p. 318).  Cinq essais littéraires sont consacrés à des écrivains. Cela va d’un pamphlet sur Henry de Montherlant à un éloge de Stendhal. Montherlant est visé par une argumentation étayée par de nombreuses citations de son œuvre (on peut donc dire que Beauvoir se fait une conception labossienne de la critique !), en tant que contempteur des femmes, aussi bien que comme admirateur

Dissertation Le temps use les œuvres littéraires ; les chefs-d'œuvre même quoiqu'on en dise. » Montherlant. Les œuvres perdraient-elles de leur public de génération en génération ? Seraient-elles moins attirantes et moins compréhensibles ? En effet, l’évolution de la langue, les idées, les contextes historiques diffèrent d'une époque à une autre. C’est ce que pense Montherlant lorsqu'il affirme dans ses Carnets que « Le temps use les œuvres littéraires ; les chefs-d'œuvre même quoiqu'on en

Difficile ici de ne pas faire le rapport avec le constat antithétique que dresse Montherlant dans sa préface, tant la tournure est proche et le sens à l'antipode : « Le théâtre est fait pour être lu, non pour être vu ». Comment expliquer alors une telle évolution dans le rapport des deux dramaturges au genre théâtral ? Entre le 17ème siècle de l'auteur des « précieuses ridicules » et le 20ème, où écrit Montherlant, c'est assurément tout un monde qui diffère. Sur le plan politique d'abord - les pressions

L’Avare (Acte I, scène 4), fut écrit par Molière en 1668. Le second texte est une œuvre d’Alfred de Musset. Il s’agit de la scène 1 de l’acte I de Il ne faut jurer de rien datant de 1836. Enfin, le dernier extrait est issu d’un texte d’Henry de Montherlant : La Reine morte (Acte I, tableau 1, scène3) qui est daté de 1942. Les points communs des trois personnages adultes sont l’autorité, la critique et la comparaison de deux générations. En effet, dans la pièce de Molière, Harpagon montre son autorité

Dissertation : Molière affirme “La comédie n'est faite que pour être vue” mais, de son côté, Henry de Montherlant déclare que “voir n'est pas lire, et seul le volume compte”. Etudiez ces deux opinions en les appliquant au Malade Imaginaire de Molière. Le théâtre est né au VI° siècle avant Jésus-Christ, en Grèce. Il n'a cessé d'évoluer en fonction des siècles, passant du théâtre antique au théâtre contemporain. Molière, soit Jean Baptiste Poquelin est un auteur de théâtre classique