Moral Des Misérables

moribonds à chaque étage, illustre parfaitement cette vue. Par quels moyens Céline montre une vision de l’homme et du monde pessimiste et désabusée ? Trois axes, le personnage antihéroïque de Bardamu dans un premier temps, une situation de dénuement moral et physique dans un deuxième temps et un style au service de la vision en terminaison. Ferdinand Bardamu est l’antihéros. Son comportement, son regard, ses intentions s’inscrivent dans l’homme. Il ne donne pas d’impulsion à l’action mais transporte

la peste, La Fontaine La Fontaine commence à publier ses fables en 1668 , il les dédie au dauphin alors âgé de sept ans. Ces fables visent à donner sous une forme légère et ludique un enseignement moral (plaire et instruire). La Fontaine part d’une histoire grâce à laquelle il illustre une morale. Ici le récit présente des animaux qui tiennent conseil et qui cherchent à déterminer lequel d’entre eux est le plus coupable et mérite de mourir pour sauver le reste de la population de la peste, fléau

avait-il un danger pour ces auteurs engagés ? Au XXIIe et IXe siècles la France commed’autres Empire/Monarchie connaissait de grandes inégalités ; les nobles se retrouvaient avec le plus de pouvoirs et de droits tandis que les gens du peuple étaient misérables et n’avaient peu de droits etpresque pas d’argent. Ces philosophes ont donc utilisés le style argumentatif pour faire passer un message au peuple, pour faire comprendre aux personnes malheureuses que leur situation n’était pasjuste. A travers ses

dénoncent : « Manger l’herbe d’autrui ! Quel crime abominable !» (v.60), comme pour crier victoire. Nous pouvons apparenter cette partie à l’élément de résolution. A la situation finale, nous apprenons donc la morale qui est on ne peut plus explicite : « Selon que vous serez puissant (le Lion) ou misérable (l’Âne), les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. » (v.63-64). Deuxièmement, nous pouvons nous épancher sur les discours faussés des courtisans. Tout d’abord, nous pouvons noter que tous les

roseau qui évoque non seulement la grandeur de l’homme mais aussi sa fragilité : « La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. Pensée fait la grandeur de l’homme […] L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature. Mais c’est un roseau pensant » Toute conscience est une conscience morale La conscience serait donc la capacité de se séparer de soi-même pour se « représenter » soi-même. Elle constitue notre dignité mais aussi

fabriquant. □ Il le détruit. 9. Qu’est ce qui en découle ? □ Il n’a plus le veston, mais conserve ses richesses. □ Il devient encore plus pauvre e misérable qu’avant, □ Il perd toutes les richesses accumulées et revient à son ancienne vie. 10. L’histoire entre le héros et le tailleur est-elle terminée ? Justifiez votre réponse.(sur la copie)

mêmes sentiments. Le spectacle qu'il leur propose est, en effet, comme celui qu'il proposait à “ [s]on âme ” un spectacle “ vraiment affreux ”. C'est celui d'un homme qui “ [s]e traîne ” lui “ aussi ”, et ce terme est à prendre, bien sûr, dans un sens moral beaucoup plus que physique. C'est l'âme de Baudelaire qui se traîne beaucoup plus que son corps. Il n'avait d'ailleurs pas dit que les aveugles “ se traînaient ”. Il s'était contenté, en les comparant à des “ mannequins ” et à des “ somnambules ”,

la vérité d'un voile mais au contraire, "dire la vérité nue aux enfants". Quand bien même, ils comprendraient les fables, cela ne serai pas mieux car la morale est très complexe, "elle les porterait plus au vice qu'à la vertu". Les morales relèvent l'existence de vices comme le mensonge et la flatterie. Ainsi donc, pour l'enfant, la morale "du Corbeau et du Renard" est une leçon de flatterie et celle "du Loup et du Chien" est une leçon d'indépendance. Enfin, les fables ont une mauvaise influence

Pour amasser diligemment Les épis que la faux moissonne, Ma Nanette va s’inclinant Vers le sillon qui nous les donne. — L’Aveugle s’écria-t-elle. Et Emma se mit à rire, d’un rire atroce, frénétique, désespéré, croyant voir la face hideuse du misérable, qui se dressait dans les ténèbres éternelles comme un épouvantement. Il souffla bien fort ce jour-là, Et le jupon court s’envola ! Une convulsion la rabattit sur le matelas. Tous s’approchèrent. Elle n’existait plus." ANALYSE L'extrait se

de Figaro, Hugo, dans le chapitre X du cinquième livre des Misérables, et Pierre Perret, dans sa chanson « Lily », dénoncent la condition féminine. ❖ Beaumarchais, à travers le personnage de Marceline, dénonce les hommes qui condamnent les femmes qu'ils ont eux-mêmes séduites : « Hommes plus qu'ingrats, qui flétrissez par le mépris les jouets de vos passions, vos victimes! » les accablant de leur opprobre (honte, déshonneur) morale et les condamnant à vivre misérablement, puisque les filles