Moral Des Misérables

V. Hugo, Les Misérables, « Je suis JVJ » Au XIXe siècle, le roman se fait l’écho des grandes mutations industrielles et de leurs conséquences sur la société : le renforcement des inégalités sociales et les conditions de vie désastreuses des ouvriers. V. Hugo, choqué par tant de misère, s’empresse d’écrire plusieurs œuvres dont la principale est Les Misérables, publiée en 1862 et qui remporte un grand succès auprès du peuple. Dans l’extrait « Je suis JVJ », Javert vient de retrouver JVJ sous le

Commentaire de texte Comme dans son livre antérieur le portrait du colonisé (1957), où il s'est intéressé au colonisé et au colonisateur, Albert Memmi fait de nouveau le portrait de personnes oppressées par d'autres (le juif, la femme,le Noir...) dans son essai L'homme dominé . Ici l'extrait est tiré du chapitre sur « Les nouveaux esclaves ». Dans cet extrait l'auteur vient faire le portrait d'un étranger qui est venu en France pour

unde grande place dans nos conversations; elles vous devorent le coeur, le creveau et vos pensees. Elle nuit a l’ame aussi bien qu’au corps. Et elle fait sombrer dans l’obscurite les valeurs sociales et morales qui sont des concepts abstraites utiles a une societe. le guide des jugement moral des individus et des societes, et les manieres de faire et d’agir qu’une collectivite reconnait comme ideale, crees et transmises par nos ancetres, et les religieux se mennacent w disparaissent succesivement

PERSONNAGES Les personnages de Corneille sont de rang élevé et sont donnée d’une haute vertu, confronté au courant classique. Don Rodrigue, l’héros de la pièce. Jeune guerrier Jeune guerrier, Rodrigue est doué d’une âme noble, de hautes qualités morales et d’un caractère chevaleresque. Il en fait preuve dans le combat avec le comte : Je suis jeune, il est vrai ; mais aux âmes bien nées, La valeur n’attend point le nombre des années. (vers405-406) A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.

dans lesquels une histoire fictive à but argumentative déborde sur une morale touchant la société et les défauts humains. Sa fable sous forme de poème, Le Loup et le Chien, reprend cette caractéristique de l’apologue à l’aide d’une confrontation entre un loup et un chien. Quels sont les caractéristiques de ce récit ? Pour y répondre, intéressons nous aux deux protagonistes que sont le chien et le loup, ainsi qu’à l’enseignement moral qui y est fait. Le récit fictive que développe l’auteur raconte

grandes œuvres comme les misérables, il était très polyvalent, passant de la poésie, au théâtre, au roman historique. Il sera le symbole du mouvement romantique en France. Il aura été un des piliers de la lutte contre la peine de mort. B ) Bibliographie Théâtre : - Cromwell, 1827 - Hrnani, 1830 - Le roi s’amuse, 1832 Poésie : - Odes, 1822 - Les chants du crépuscule, 1835 - Les voix intérieurs, 1837 Roman : - Notre Dame de Paris, 1831 - Les Misérables, 1862 - L'homme qui

Lecture du texte Trois d'entre eux, ignorant combien coûtera un jour à leur repos et à leur bonheur la connaissance des corruptions de deçà, et que de ce commerce naîtra leur ruine, comme je présuppose qu'elle soit déjà avancée, bien misérables de s'être laissé piper au désir de la nouvelleté, et avoir quitté la douceur de leur ciel pour venir voir le nôtre, furent à Rouen, du temps que leur feu roi Charles neuvième y était. Le Roi parla à eux longtemps ; on leur fit voir notre façon,

je crois, chez ces pauvres êtres, le signe correspondant du rire et du sourire, s'approche et pose curieusement son nez humide sur le flacon débouché ; puis, reculant soudainement avec effroi, il aboie contre moi, en manière de reproche. « Ah ! misérable chien, si je vous avais offert un paquet d'excréments, vous l'auriez flairé avec délices et peut-être dévoré. Ainsi, vous-même, indigne compagnon de ma triste vie, vous ressemblez au public, à qui il ne faut jamais présenter des parfums délicats

Il était en train de rédiger son testament. . C’est un récit singulier et autobiographique • car vbp.s « J’ouis » (v.4) « Si suspendis….mis » (v.7) « jecuidai » (v.11) « trouvai » (v.13) « si m’endormis » (v.15) situation difficile et misérable ? . • « seulet » == il est seul • hivers et fait très froid, sa chambre n’est pas chauffée : « encre gelée…mon cierge trouvai soufflé ». • il est sur son lit « si m’endormis, tout emmouflé » (v.15) •peu pas faire du feu : il est pauvre « et n’eusse

ouvre le 2e recueil des Fables, publié en 1679 (soit 11 ans après le 1er). - Dans ce texte, on notera tout de suite un ton différent par rapport aux fables plus enfantines qu’on lui connaît : ici, il délaisse le comique pour le tragique, et la morale prend un sens particulièrement fort. - La fable est proche d’un drame, avec ses acteurs principaux ; une intrigue qui se déroule comme une pièce de théâtre ; et enfin, un ton digne d’une tragédie classique. A travers ces 3 axes, nous tâcherons